« Nouveau constat : les ventes immobilières se tassent et les prix décélérent en Ile-de-France. Les notaires franciliens annoncent un recul de 3% du nombre de transactions tous bien confondus (59734) au deuxième trimestre 2007.
Tous les départements à l
Je ne veux par paraître haussier mais entre 1954 et 1966, les prix ont été multipliés par six. de manière ininterrompu.
Aucune baisse des prix n’a suivi.
Au regard de l’augmentation annoncée des denrées alimentaires, on peut s’attendre à une augmentation de l’inflation.
Cela se traduira par une diminution relative dans la part des dépenses de ménages de leur remboursement d’emprunt.
Dés lors, pourquoi le prix de l’immobilier baisserait-il ?
petit, minuscule détail: c’était les 30 glorieuses.
sont-elles de retour? je n’en suis pas si sûre.
Mais oui, cateri, tout a changé, l’économie, l’emploi surtout, il s’est raréfié et précarisé, et les taux et l’inflation n’ont carrément plus rien à voir.
>>Au regard de l’augmentation annoncée des denrées alimentaires, on peut s’attendre à une augmentation de l’inflation.
Parce que la hausse de l’immobilier ne participe pas à l’inflation?
>>Cela se traduira par une diminution relative dans la part des dépenses de ménages de leur remboursement d’emprunt.
Si on paie le lait plus cher, on remboursera moins du prêt immobilier?
>>Dés lors, pourquoi le prix de l’immobilier baisserait-il ?
Parce qu’il n’y a plus d’acheteur.
Il n’y a plus d’acheteurs MOTIVES en ce moment, m’a dit un agent immo croisé ce soir. Les gens savent ce qui se passe et ne font que visiter (dans le 78, je précise).