Be British…

Trichet est pathétique.
Désormais, il ne lui reste plus que le dernier message de Nelson à envoyer : « England expect that every man will do his duty »…
« Nous faisons ce que nous devons faire, mais tout le monde doit faire son devoir et, au premier chef, les institutions financières, les banques, l’ensemble de ceux qui ont des responsabilités dans le secteur privé »
En bref au secours, j’ai besoin d’aide…
« nous assistons précisément à cette correction de marché, qui se développe »

Enfin une vérité. Je ne contrôle plus rien, je n’y peux rien, au secours…
Cette crise, vieille de trois mois, désormais, échappe à tout contrôle.
Cette simple évolution du tableau des changes, indique quel créance accordé aux « bonnes nouvelles » sur la croissance et l’emploi américain : 3.9 % de croissance, rapporté à la dévaluation monétaire indique une contraction nette du pib importante.
Le montant des pertes sur le marché immobilier atteindrait 2000 milliards de $ pour une baisse de 10 % des cours. Hors, on est désormais bien au delà de ces 10 %…
En réalité, le problème est de remettre les banques à l’endroit, et à la place qu’elles n’auraient jamais du quitter : le néant intrinséque.
La gestion de la crise par les banques centrales prouve désormais son inefficacité.