Pour estimer la valeur d’un bien immobilier, nous utilisons tous la bonne vieille méthode du prix au m² que nous multiplions par la surface habitable du logement considéré.
Cette méthode permet d’obtenir un prix moyen calculé par rapport aux prix observéx sur le marché immobilier. La principale difficulté est de trouver un prix au m² suffisamment représenatif du type de logement que l’on cherche à estimer : maison, appartement, nombre de pièces, villes, quartier, prestations…
Il explique que les mieux placées pour faire les estimations sont les agences immobilières, mais je regrette, elles font de la surenchère depuis des années et tiennent un discours particulièrement mensonger ou ignorant, « les prix ne baisseraont pas chez nous parce que… bla, bla, bla…) pourvu que l’acheteur signe.
L’auteur a demandé qu’on l’aide en postant vos remarques, n’hésitez pas…
Source : Estimation d’un actif immobilier (Merci Joycity)
Un sénateur critique les indices immobiliers, enfin ! (1/4)
IDF : aucune baisse des prix pendant l’été dans l’ancien ? (3/4)
les notaires – Le premier qui dit la vérité ! Prévisions sur novembre et décembre 2007.:
http://www.immonot.com/tendance-marche-immobilier-notaire.html
[…]
Pour la première fois depuis la création de cette enquête en 1998, la proportion des notaires ayant constaté des baisses de prix est majoritaire (52 %). Heureusement, les prévisions pour les 2 mois à venir ne présentent pas de détérioration par rapport aux précédentes qui, il est vrai, étaient déjà très pessimistes. Cette situation est fort bien résumée par Me Fayard : « L’activité de négociation a été dynamique sur les mois de septembre et d’octobre, cela permet de rattraper le retard pris suite aux élections et à leurs incertitudes. Les prix sont fortement négociés à la baisse et cela permet d’assainir le marché et d’y voir plus clair ».
[…]
Le problème de la surestimation a toujours existé,car le prix est fixé par le propriétaire, et le plus souvent validé par l’agent immobilier sans avoir fait aucune contre expertise, voire même contrôlé les « dire » du vendeur, exemple concret, surface habitable, ou faire un état des lieux fait par un expert, autre que lui même. Comment vendre un bien immobilier en dénonçant les problèmes pouvant cassé la vente ou risquer de contrarié le vendeur sur le prix trop élevé, la peur qu
Bismara, je reste en admiration devant la précision et la cohérence de ton analyse !
Bonne chance pour ipha.fr.
Prêts immobiliers/crise: aggravation ?
Le secrétaire américain au Trésor Henry Paulson a dit s’attendre à une aggravation de la crise des prêts immobiliers à risque en 2008, dans une interview au Wall Street Journal.
En 2008, la qualité des prêts consentis à taux variables et qui subiront leur premier ajustement à la hausse « sera moins bonne » qu’en 2007, a estimé M. Paulson dans cette interview dont des extraits ont été publiés sur le site du WSJ en ligne.
« Environ 10% des prêts consentis en 2005 déboucheront sur des défauts de paiement (…) La nature du problème sera nettement plus importante l’an prochain parce que les prêts hypothécaires de 2006 ont été consentis avec des critères moins exigeants, sans amortissement et sans apport initial », a-t-il ajouté.
Le secrétaire au Trésor a de ce fait appelé les professionnels du secteur à agir « de façon décidée » pour tenter d’amortir le processus.
M. Paulson parlait des prêts « subprime », consentis à des ménages trop fragiles financièrement pour prétendre au circuit classique, mais qui en échange se sont vu imposer des conditions risquées et des taux pénalisants pour acheter leur logement.
Typiquement, ces emprunts à taux variable couraient sur 30 ans, avec deux ans à taux très bas et des ajustements ensuite qui font bondir les montants des mensualités. Les prêts consentis en 2006 subiront leur premier ajustement l’an prochain.
M. Paulson a pas ailleurs répété qu' »il faudra du temps » pour que les marchés digèrent la crise du crédit. « Il faut s’attendre à de la volatilité et des mauvaises surprises », a-t-il ajouté.
Source : AFP
Comment évaluer le prix d’un bien immobilier ?
Facile, la réponse est dans la charte de l’expertise en évaluation immobilière. Ce document détaille les diverses méthodes admises dans le cadre d’une expertise, méthode que l’on peut certainement trouver sur le net en cherchant un peu.
La Charte de l’expertise parlons en un peu,
elle a été élaborée par 14 associations d’experts immobiliers dont le principal LA CHAMBRE DES EXPERTS IMMOBILIERS DE LA FNAIM
« et la Chambre des notaires »
A laquelle les experts doivent se référer qui donne la valeur vénale et qui correpond au prix auquel un bien pourrait être cédé dans les conditions du marché.
Et comme le chef d’orchestre c’est la FNAIM, la partition est déjà écrite!!!
Charlène,
Les méthodes d’expertises de cette charte sont admises devant tous les tribunaux de france.
Elles ne sont pas parfaites et c’est pour cela qu’il y en a plusieurs, après on peu soit se dire que c’est un outil qui permet de définir des méthodes communes pour l’évaluation des biens immobiliers, soit se dire qu’il existe un grand complot de la FNAIM, des notaires et des petits hommes verts…