Les modèles n’en sont plus…

… ils chavirent. C’est le sens d’un article du Monde.
Les modèles, britannique, américain, espagnol, n’étaient que de la « fausse monnaie » :
« Que reste-t-il du dynamisme de ces pays, une fois enlevés l’expansion des services financiers et de la construction, qui y représentaient 50 % à 80 % des créations d’emplois »?
L’un et l’autre viennent d’expirer.
Le rôle de ces banquiers centraux, aussi est sur la sellette.
Trop raide pour l’un, trop souple pour l’autre, en réalité, la question est de savoir comment des personnages aussi ridicules, insignifiants, conformistes, bêtes et méchants ont ils pu prendre une telle importance.
La présidentielle américaine est un moment de remise en question, remise en question de la mondialisation, de l’immigration, des impôts trop mal répartis, et on ne va pas échapper à la remise en cause du président de la Banque centrale, et de la banque centrale elle-même.

En réalité, il faut remettre ces tristes sires à leur place insignifiante qui est la leur.
Aujourd’hui, il est malheureusement clair que quoi qu’ils fassent, ce sera mauvais.
On ne gouverne pas une société avec la seule montée ou descente d’un taux d’intérêt.
3 journaux –The Economist, le Financial Times et le Wall Street Journal- (plus moi, mais je compte pas),accusent la banque centrale américaine d’avoir paniqué.
En réalité, ces trois journaux ne recherchent qu’un bouc émissaire, qu’un coupable expiatoire, chargé d’être jugé, condamné et brulé, alors que finalement, c’est le système qui craque.
Aujourd’hui, la baisse de la FED a fait long feu, les bourses repartent à la baisse. 
0.75 % de baisse et 175 milliards d’euros de la part de la BCE auront apporté quoi ?
UN JOUR DE REPIT !
Entre temps, autre nouvelle immobilière. Les prix de présentation auraient baissé.
(Merci à entreparticuliers.com)
Le krach généralisé se produit donc bien, et visiblement atteint même l’immobilier, plus réactif que l’on ne pensait.