La ville la plus sure en cas de baisse est Paris

Paris Je vous ai déjà parlé hier de cette réunion internationale d’A.I. à Cannes : une étude sérieuse (vous avez déjà vu une étude pas sérieuse) faite par Urban Land Institute (ULI) et PricewaterhouseCoopers (célébres) démontre que Paris est à l’abri en cas de gros grain. Il apparait que, comme le salon se passe en France, que beaucoup d’A.I. parisiens sont descendus sur la Côte d’Az, c’est toujours très rassurant d’entendre chez soi que c’est mieux qu’ailleurs ! Vous suivez mon raisonnement ? Où alors je fais de la super mauvaise fois pour ce post ! « Paris bénéficie d

(22 commentaires)

  1. Cet article ne concerne que l’immobilier professionnel et non pas résidentiel.

  2. Immobilier professionnel ou résidentiel, je pense que les deux ne tarderont pas à descendre… Et j’ai des souvenirs de la dernière baisse, si on a quelque chose de la même ampleur (ou pire) on a quelques années assez intéressantes devant nous…

  3. de la part de Beber:
    La bulle immobilière en passe d’éclater
    source: AOF – http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?&news=5261068
    (AOF) – Les prix de l’immobilier devraient emprunter une tendance baissière dans les mois à venir, d’après une étude réalisée par Marc Touati pour Global Equities. L’économiste se base sur des chiffres sans appel : ceux de la demande de logement neufs en France, au plus bas depuis 1996 ou encore celui des mises en chantier, en baisse de 31,9% depuis juin. Une donnée qui semble indiquer que la bulle immobilière est en train d’éclater, alors même que beaucoup niaient encore son existence.
    Pour Marc Touati,  » il existe une très forte corrélation sur longue période entre les prix des logements anciens et l’évolution du PIB en valeur « , qui constitue donc une bonne approximation de la valeur réelle de l’immobilier en France. Or d’après l’économiste, « de 1984 à 1991, les prix des logements anciens avaient augmenté de 210%, contre une hausse de 65% du PIB en valeur, soit un rapport de 1 à 3,5. Huit ans plus tard, cet écart était ramené à zéro, via une baisse de 40% des prix de l’ancien ».
    Or, selon Marc Touati, « aujourd’hui, l’écart entre ces deux grandeurs est de 1 à 4, soit encore plus que lors de la précédente bulle immobilière ». Ces données prouvent un décalage entre la valeur financière des actifs immobiliers et leur valeur réelle, preuve que la bulle immobilière est une réalité.
    Face à la crise financière actuellement à l’oeuvre sur les marchés, au resserrement de l’accès au crédit et à la baisse du pouvoir d’achat, la demande pour les biens immobiliers est en train de se tarir. Ce qui pousse Marc Touati à anticiper « que les prix des logements anciens devraient baisser de 10 à 15 % dans les deux années à venir ». Seule consolation possible selon l’économiste : « cette évolution devrait permettre de relancer l’appétence pour les placements boursiers ».

Les commentaires sont fermés.