« il faut que ça s’effondre, de 20 à 30 % minimum » selon un A.I.

Image002 La Presqu’île de Rhuys, vous connaissez ? Non ? Pourtant, on y trouve les agents immobiliers les plus baissiers de France (pour l’instant), prêts selon eux, à se serrer les coudes face à la crise qui s’annonce et à attendre. Attendre que les prix baissent d’au moins 20 à 30 % pour que le marché reparte, tel est l’objectif de l’un des A.I. du coin, un A.I. de la vieille école. « A Arzon, les professionnels de l’immobilier notent déjà une forte décote de l’ancien, de 30 à 40 ans, sans personnalité et avec des travaux. Une décote qui peut aller jusqu’à 40 % »

Effectivement, moins 40 % c’est une belle décote,  le reste des biens connait une baisse de 5 à 10 %. Bien entendu, le cas de la Presqu’île de Rhuys est particulier, peu de monde en hiver et l’inverse en été, que la baisse soit autant prononcée sur les ruines est normal, les biens corrects souffrent moins au début de la baisse. On voit bien dans cet article de Ouest-France, signé Armelle Loiseau, que les prix sont désormais flexibles.

(2 commentaires)

  1. Un titre comme celui là, tous les matins dans les journaux… la vie serait plus belle, le printemps arrive, les petits oiseaux gazouillent… C’est se lever dans la bonne humeur. MERCI Christophe

  2. Ces A.I. ne sont pas les premiers a tourner leur veste.
    Qu’ils gardent leur ruines, le mouton que je suis n’a jamais voulu se faire tendre, je suis juste de passage pour la transhumance.

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