La vacance locative, qui prend de l’ampleur, ne sera pas de tout repos, pour les propriétaires comme pour les banquiers. Et les loyers baissent, chiffres à l’appui.
Tous les éléments exposés dans l’article des Echos, et que vous nous signalons régulièrement au fur et à mesure de nos analyses, laissent penser que le phénomène de blocage du marché locatif est finalement assez ancien et il daterait d’un an, voire davantage. Le nombre de logements vacants a augmenté probablement progressivement, depuis bien plus longtemps qu’on ne le dit, qu’on ne le pense. Pour que l’on arrive à manquer de locataires sur une bonne partie du territoire, vous conviendrez que le processus de la sur-offre a du se mettre en marche il y a un certain temps, d’autant plus que tout bail a une durée bien définie. Les logements qui se libèrent maintenant s’ajoutent aux inloués, aux logements neufs loués. Il y a donc un décalage entre le début réel du processus et l’abondance de l’offre qui s’accentue.
En ce début de 2006, un bien qui n’est pas habitable en l’état, pas esthétique, pas commode (mal placé, mal agencé, mal décoré, sans ascenseur, parking ou trop éloigné des transports) est en train de rappeler son propriétaire à la dure réalité : le prix d’une location s’établit aussi et surtout en fonction de sa qualité, de son habitabilité. Il y a fort à parier que le diktat de la pénurie, ou encore l’entraînement haussier du à la spéculation, touchent à leur fin dans de nombreux quartiers de France et de Navarre.
Et les apprentis-investisseurs adroitement improvisés « rois du pétrole Robien », vont apprendre à leurs dépends qu’ils auraient du préparer très soigneusement cette folle aventure dans la jungle des bailleurs impatients, partis à la chasse du locataire en voie de disparition, qui accepterait de couvrir le montant de leurs traites.
Mais certaines villes, surtout les petites surfaces, tireront mieux leur épingle du jeu : le Paris branché, chic ou central, bref pas banal, et une partie de l’IDF, ainsi que Toulouse ou encore Montpellier. Et apparemment Lille, qui n’en finit pas de remonter la pente, serait moins concernée par la déferlante des nouveaux logements, la demande pour les petites surfaces restant bien soutenue.
Il est désormais certain que la vacance locative ne sera pas de tout repos, d’autant plus qu’il faut trouver de vrais
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