Rendons à César..etc : j’ai trouvé cette information sur le fameux bulle-immobillière.org grâce à un certain ibargure (c’est basque non ?). Une agence immobilière apparemment très bien référencée dans Google (ils mettent en avant leur classement en numéro 1 sur Google en tapant « immobilier basque » en recherche web alors que désormais, ils sont numéro 2, j’ai testé…°) et basque de surcroit nous la joue franco : « Il y a 10 ans, le prix moyen du m² vendu se situait à Biarritz autour de 2.000 Euros. Dans les (folles) années de forte croissance, il a atteint des sommets avec des pics allant jusqu’à 6 et 7.000 Euros et une moyenne de près de 5.000 Euros. Aujourd’hui, le prix moyen du m² est d’environ 4.000 Euros et il est probable que nous allons revenir à une fourchette (plus raisonnable) de 3 à 4.000 Euros hors les biens exceptionnels… »
Et de mettre en avant sa réorganisation suite au retournement du marché : « l’Agence continuera de cantonner ses commissions dans des limites très raisonnables comme elle a su jusqu’ici s’y astreindre … et de ce fait tirer son épingle du jeu dans une conjoncture devenue difficile. Pour se le permettre, Gaztelua renonce à ses locaux du quartier des Halles… » Où comment la jouer transparent lorsque la conjoncture devient difficile….
Amis acheteurs, c’est le moment de faire de bonnes affaires !
Le soleil semble enfin pointer le bout de son nez, la chaleur monte
Le problème c’es que cela risque de durée les bonnes affaires. D’ailleurs les agents commence a afficher leur prix hors frais de notaire afin d’attirer les clients. Mais c’est clair qu’une offre a la baisse reste toujours une offre et que cela a des chances de fonctionner. Mais il ne faut pas hésiter sur la baisse. -20% ca peut le faire.
les agents n’ont jamais affiché leur prix avec les frais de notaire.
Aucun intérêt d’acheter maintenant si on sait que ca va baisser après! Autant attendre qqs mois pour économiser des dizaines de milliers d’
Je ne donnerais pas des brevets d’honnêteté si rapidement aux AI qui communiquent sur la baisse. Ils sont payés à la commission et préfèrent gagner moins plutôt que rien du tout.
Par ailleurs, je suis convaincu qu’ils pensent qu’en favorisant une baisse « contrôlée » de 25 %, ils empêcheront la baisse de 50 % qui se profile.
L’AI, compte tenu de son mode de rémunération, n’est pas et ne sera jamais l’allié de l’acheteur. A méditer…