Paulson, l’autocrate.

Images Le président d’union soviétique n’avait aucun pouvoir.
On a d’ailleurs largement oublié leurs noms.
Le plus célèbre et le plus populaire était kalinine.
Il a laissé son nom à l’ancienne Konigsberg, en Prusse orientale.
Le pouvoir américain a un gouvernement largement nominal aujourd’hui.
Le militaire s’est émancipé avec l’amiral Muellen, R. Gates est largement prépondérant sur le pentagone, bien plus que le président, et en matière économique, le soviet est dirigé avec des pouvoirs dictatoriaux depuis 2006, par Henry Paulson et Goldman sachs.

Le crédit se tarit, les magasins ferment les uns après les autres, les citoyens sont dans une logique de survie, les mexicains rentrent au pays et on ne construit plus rien.
Pour Paulson « Le système bancaire des Etats-Unis est solide ».
Le FDIC a recensé 90 banques OUT, sans compter, bien sûr les plus grosses, dont la plupart des placements ont une valeur « exotique » ou nulle.
Les deux candidats aux présidentielles, d’ailleurs, doivent jouer le jeu du mensonge.
Ils sont totalement dépendant pour leur financement de ces grosses firmes aux abois, mais qui trouvent encore de l’argent pour corrompre le système.
La statistique s’éloigne de plus en plus de la réalité de vie des américains, on bascule dans la « surréalité soviétique », le régime ne repose plus que sur le mensonge, la répression policière, en « attendant ».
On attend quoi ? Un miracle.

Mardi 5 août 2008

(2 commentaires)

  1. USA: Paulson estime que la crise de l’immobilier persistera bien au-delà de la fin 2008
    La crise du secteur immobilier persistera bien au-delà de la fin 2008 aux Etats-Unis avant d’être surmontée, a estimé dimanche le secrétaire américain au Trésor Henry Paulson.
    « Je pense qu’il nous faudra aller bien au-delà de la fin 2008 avant que nous surmontions les problèmes de l’immobilier », a-t-il déclaré depuis Pékin dans une interview à la chaîne de télévision NBC, réitérant des propos tenus fin juillet.
    « Je crois que la principale question (pour l’économie) est celle de savoir quand la plus grande partie de la correction de l’immobilier sera derrière nous car jusqu’à ce que nous le sachions nous allons continuer à connaître une instabilité dans nos marchés des capitaux », a poursuivi M. Paulson.
    Paulson a également indiqué sur NBC qu’il ne resterait pas à son poste au Trésor quel que soit le prochain président élu en novembre.
    http://afp.google.com/article/ALeqM5ie8c09DtrobXiUjwLCTlJIcY7t3w

  2. Bonsoir,
    merci pour le signalement.
    Cordialement
    Christophe

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