Devant la pénurie de couillons d’investisseurs avisés, on a décidé d’élargir la cible potentiel.
Si le montant global reste conséquent (300 000 euros possibles pendant 4 ans, soit 1200 000 euros), il bénéficie de 25 % de réductions d’impôts, étalée sur 9 ans, à raison de 5 % la première année et 2.5 les années suivantes.
« Quel que soit le régime fiscal retenu, les particuliers doivent être très vigilants sur la qualité de la construction, la localisation du bien et surtout le marché locatif. Attention à ne pas regarder le seul avantage fiscal. «
Y aurait il eu un loup quelque part ?
A lire cette mise en garde, on sent un malaise.
Sans doute à cause des centaines de milliers de logements vides, et pour certains, qui ne trouveront jamais locataires ?
Reste que les investissements locatifs se sont effondrés à 30 000 en 2008, dont 20 000 avant la crise financière, nous dit on.
C’est d’ailleurs assez « fun », moi, j’avais l’impression que toute l’année avait été sous le signe de la crise financière.
Pour ce qui est de la localisation, à lire : « retard d’effondrement« , de Dmitry Orlov.
» Un élément important de la préparation à l’effondrement est de s’assurer que l’on n’a pas besoin d’une économie en fonctionnement pour garder un toit au dessus de sa tête. «
lundi 29 décembre 2008