Peu de temps après mon dernier soupir de désespoir (le 15 juin), la fenêtre haussière s’est vite refermée.
Mais quelle malédiction pèse sur cette action ? Il y avait enfin un léger mieux, un rebond au-dessus de 9 euros l’action : le marché s’était rassuré sur les ambitions de S. Tchuruk dans la Défense à l’occasion du Salon du Bourget : profil bas. Puis, rechute, le voilà qui reparle de l’avenir d’Alcatel dans la Défense.
Et dernièrement, le patron de Nokia a crû bon de faire savoir qu’il avait repéré des signes de faiblesses chez les « petits » constructeurs d’infrastructures pour réseaux mobiles (Ericsson est n°1, Nokia n°2) parmi lesquels figurent Alcatel… Ses commandes dans la 3G laissent à désirer. Il s’attaque alors aux zones en voie de développement.
En bref, la lisibilité du groupe ne s’améliore pas, et voilà la calamiteuse action retournée près de 9 euros. Attention, à ne pas mettre en PEA, réservée aux traders pour lesquels la hausse ou la baisse, c’est du pareil au même – juste une question de bon sens.
ça y est, ouf, le plus destructeur de valeur de l’histoire du CAC 40 fait la malle.