D’anciens gisements délaissés par Total et Shell deviennent rentables désormais pour les compagnies pétrolières américaines, la hausse du cours du pétrole ayant aussi pour effet … d’en rentabiliser l’exploitation.
Le Gabon a signé vendredi un contrat d’exploration et de partage de production portant sur un bloc pétrolier dans le sud du pays avec la compagnie américaine Vaalco Energy, a annoncé le ministère gabonais du Pétrole dans un communiqué.
Ce bloc terrestre baptisé « Mutamba Iroru », d’une superficie de 1.093,60 km2, était auparavant exploité par le groupe anglo-néerlandais Shell, qui en a abandonné l’exploration en raison d’un potentiel alors jugé insuffisant.
A la faveur de la hausse récente des prix du baril, ce bloc au « potentiel pétrolier indéniable », selon le ministère gabonais du Pétrole, a été repris par la compagnie américaine Vaalco, qui exploite déjà le champ pétrolier gabonais off-shore d’Etame.
Après avoir connu un pic en 1997 avec 18,5 millions de tonnes (Mt), la production gabonaise de brut a chuté à 13,5 Mt en 2000 puis à 11,5 Mt en 2002, avant de remonter à 13,5 Mt en 2003 puis de se stabiliser à 13,6 Mt l’an dernier. Selon les dernières statistiques officielles, la production 2005 devrait être d’un niveau équivalent.
Exploité depuis 1956, le pétrole reste la principale source de revenus de l’Etat gabonais. Les compagnies Total, Shell et Perneco y sont notamment présentes.
Cette annonce m’interpelle néanmoins et commence sérieusement à confirmer mes soupçons d’une probable stratégie pétrolière américaine planifiée en deux, voire même trois temps :
– faire monter le cours des pétroles via une diplomatie pétrolière appropriée
… en vue de rentabiliser certains champs qui ne l’étaient pas …. et rafler ainsi les parts de gateau d’un pétrole soi-disant de plus en plus rare (je reste encore sceptique sur ce sujet, certains états pouvant justement trouver interet à diffuser de telles informations, en vue de faire monter les cours)
– agissant ensuite pour ramener les cours à la baisse, une fois leur « marché » réalisé, lequel marché garantissant leur approvisionnement en volumes nécessaires à la production industrielle américaine.
Rusé, non ? !
Y’a t il eu appel d’offre ?
Bizzare que Total Gabon se soit fait soufflé un tel gisement…
L’inspecteur va mener l’enquete …!!! 😉 je vous tiens au courant … et vais chercher mon dico d’Anglais !!!
Info trouvée par hasard sur le Net… en cherchant qd même spécifiquement les infos sur le Gabon
voulant verifier l’info , je n’ai à l’heure actuelle trouver qu’un seul article en francais (c’est vrai que cela s’est fait hier) par contre articles en anglais sur sites spécialisés …
L’info est donc tres peu retransmise en langue francaise …. mais pas de pb en langue anglaise…
je confirme : pas de pb pour les sources anglaises , quant à la procedure d’appel d’offres , pas encore trouve d’infos desssus
La surface indiquee, est elle exacte ou il s’agit juste d’une conversion del 270 000 « acres » publiee par la societe Vaalco?
D’ou provient l’info indiquant qu’il s’agit d’un bloc de Shell auparavant? Pourrait-il s’agir d’un permis de Elf?
je traite vos questions une par une , en tt cas c’est bien un ancien bloc de shell
je vous tiens au courant
US explorer Vaalco is has added the onshore Mutamba Iroru G4-219 permit to its Gabon portfolio after signing a new production sharing contract with the west African country’s Ministry of Mines, Energy, Petroleum & Hydraulic Resources.
www_upstreamonline_com -.htm
c’est bien 270 000 acres
VAALCO Production (Gabon) Inc., a subsidiary of VAALCO Energy, Inc. signed a new production sharing contract with the Ministry of Mines, Energy, Petroleum, and Hydraulic Resources of Gabon. The Mutamba Iroru G4-219 Permit located onshore Gabon contains approximately 270,000 acres, the equivalent in size to 50 blocks in the U.S. Gulf of Mexico.
At its southern end, the Mutamba Iroru Permit surrounds the Gamba-Ivinga Field (Shell), a 300 million barrel field, and is on trend with the giant Rabi-Kounga Field (Shell/Total) 60 km to the north, which is estimated to hold over 1 billion barrels of recoverable reserves. In addition, these two fields, along with the Etame Field (VAALCO) located offshore, all produce from the same prolific Gamba and Dentale sandstone reservoirs.
« We feel our experience developing the Etame Field gives us an advantage as we begin exploring the Mutamba Iroru Permit, not only because of our seismic expertise, but also our geologic understanding of this trend, » said Mr. Gerry. « VAALCO has been looking to acquire a new venture area with proximity to established production, world class reservoirs and source rock. Mutamba Iroru solidly fits that bill. »
Mr. Gerry went on to state, « We believe this is a start to VAALCO’s stated position of expanding beyond our original concession and we continue to aggressively pursue other opportunities within West Africa and elsewhere. »
Ce bloc terrestre baptisé « Mutamba Iroru », d’une superficie de 1.093,60 km2, était auparavant exploité par le groupe anglo-néerlandais Shell
source : Afrique centrale
la suite …
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Le Gabon vient de signer deux contrats pétroliers avec la société française Perenco et quatre compagnies indiennes, qui font ainsi leur entrée sur le marché gabonais, a-t-on appris vendredi 25/11/2005 auprès du ministère gabonais du Pétrole.
Le contrat indien, signé avec les sociétés Marvis PTE, Oil India Limited, Indian Oil Corporation Limited et Oil Natural Gas Corporation Limited, vise un bloc de plus de 3.700 km2 situé le long du fleuve Ogooué, entre les villes de Ndjolé et de Lambaréné, au sud-est de Libreville.
Rebaptisé pour la circonstance Shakti (« puissance divine en langue indienne), ce bloc a fait l
Points sur SHELL GABON
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Gabonews (Libreville)
3 Janvier 2006
Franck Denelle, ancien président directeur général de Shell Gabon récemment muté en Russie où il occupera les fonctions de directeur technique, a été élevé lundi à Libreville au grade de commandeur dans l’ordre du mérite gabonais pour sa contribution dans la stabilisation de la production pétrolière gabonaise et ses efforts dans la protection de l’environnement.
« Quand je suis arrivé, Shell Gabon était une société qui se demandait dans quelle direction elle devait aller. Nous avons beaucoup travaillé sur nos actifs », a déclaré ému, M. Denelle dans un discours improvisé.
Sa principale satisfaction a été le renouvellement de la licence sur le gisement de Rabikounga, le plus important champ dans l’histoire pétrolière du Gabon découvert entre 1985 et 1986.
« Quand je suis arrivé, le production de « Rabi » était autour de 53 000 barils par jour. Elle est remontée autour de 55 000 voir 65 000 barils par jour », s’est-il réjouit dans un bilan sommaire de son passage à la tête de cette entreprise, deuxième producteur de brut dans le pays après Total Gabon.
« Rabi » n’a pas été le seul motif de satisfaction pour M. Denelle. Il y a aussi le champ de Toucan découvert en décembre 2001. « Nous avons petit à petit, développé ce champ et mis en place des installations temporaires de production qui nous permettent de situer la production aux alentours de 15 000 barils par jour », a-t-il dit.
La société a par ailleurs, continué à « gérer le champ de Gamba, une vieille demoiselle de 40 ans » qui continue à produire entre 8 000 et 9 000 barils par jour.
Sur tout autre plan, Shell Gabon a exploré et découvert entre octobre et novembre 2004, les champ de Avoum, Koula et Damier.
« Maintenant nous allons les mettre en oeuvre », a-t-il affirmé, ajoutant qu’il a foi en l’avenir pétrolier du Gabon.
« Il n’y a pas de plafond dans l’industrie pétrolière au Gabon», a-t-il martelé contredisant ainsi tous les pronostics sur l’après pétrole.
Non, je ne crois pas que la reprise US de gisements gabonais (et plus généralement africains) soit le seul résultat d’un calcul machiavélique des américains . C’est avant tout la conséquence d’une présence industrielle française insuffisante et sur le déclin, en particulier dans le domaine pétrolier.
Trois facteurs y contribuent:
a/ les concentrations industrielles dans le secteur pétrolier français ont abouti à l’existence d’un seul opérateur pétrolier majeur – aujourd’hui largement contrôlé par des fonds étrangers – et à moins de 5 autres de taille bien plus petite .
b/ l’absence d’un tissu financier et réglementaire permettant le développement d’un secteur d’indépendants pétroliers français prêts à prendre la relève du major là où ce dernier cède du terrain, fait des erreurs ou ne va pas là où les intérêts du pays le voudraient.
c/ notre absence de vision géostratégique à long terme en Afrique au cours de ces 30 dernières années.
Plutôt que de nous en remettre avec fatalité à la stratégie américaine, il vaudrait mieux prendre des mesures chez nous pour redynamiser les PME pouvant agir au niveau pétrolier indépendamment des grands groupes – comme c’est le cas entre autres aux US, en GB et en Australie .
bonjour,
pas un commentaire mais une demande de renseignements. je ne suis pas une initiée du monde de la finance et de la fiscalité, et je cherche à comprendre pourquoi on dit de Perenco qu’il s’agit d’une entreprise « française », lorsqu’elle se dit « européenne » avec un siege à Londres et un autre à Paris. cette question peut vous paraître anodine mais pour moi il est très important de savoir ce qu’il en est exactement… merci d’avance pour vos éclairages
je recolte les éléments précis et vous tiens au courant , d’autant plus que cette question m’interpelle depuis longtemps.
je creuse donc et vous tiens au courant.
merci, je surveillerai cette rubrique
boujour….j’aimerai savoir comment un particulier peut t’il acheter des actions dans des compagnie pétroliére Gabonnaise? merci…..
boujour….j’aimerai savoir comment un particulier peut t’il acheter des actions dans des compagnie pétroliére Gabonnaise? merci…..
bonjour, je creuse et vous reponds
beaucoup de choses à dire sur le Gabon et son pétrole, je fais topo au plus tot .
Impact sur Total GABON
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