En marge de l’interview sur le l’oenotourisme de luxe, je n’ai pas résisté à la tentation de solliciter l’avis de Bernard Magrez sur les conséquences de la crise sur le monde des grands crus bordelais.
Avec des prix dont le recul peut parfois atteindre 40%, et une consommation qui fléchit, on peut se demander si le secteur fait face à un choc de conjoncture ou si l’on paie une inadequation structurelle: réponses.