Les estimations concernant les conséquences financières de la tempête Klaus qui a sévi sur le sud-ouest de la France le 24 janvier dernier, a été réévalué à 1,2 milliard d’euros. C’est en effet ce que vient d’annoncer la Fédération française des sociétés d’assurance (FFSA).
Une projection provisoire établie juste après le week-end qui a suivi la tempête évaluait le coût des dégâts provoqués à « plusieurs centaines de millions d’euros ».
Déjà à cette date, la Fédération s’attendait à ce que le montant des dégâts se situe entre les dommages provoqués par la tempête d’Hautmont (mini tornade en août 2008 dans le Nord) qui s’étaient élevés à 70 millions d’euros, et ceux de la tempête de 1999, de près de 7 milliards.
La tempête Klaus devrait coûter entre 1 et 1,4 milliard d’euros aux assureurs, avec un nombre de sinistres estimés à l’heure actuelle à 500.000 personnes, dont 400.000 déjà signalés, a affirmé mardi Bernard Spitz, président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA).
Une estimation supérieure à celle du 28 janvier, contenue dans une fourchette de 600 millions à 1 milliard d’euros.
L’état de catastrophe naturelle a été déclaré dans neuf départements : l’Aude, la Haute-Garonne, le Gers, la Gironde, les Landes, le Lot-et-Garonne, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées et les Pyrénées-Orientales. Au grand dam de l’Ariège …
Il permet à toute personne ayant souscrit une assurance dommages sur son habitation, automobile ou entreprise, d’être automatiquement couverte contre les dégâts provoqués par les inondations, les coulées de boue et la sécheresse.
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