et pendant ce temps chez nos voisins:
Démission du patron du fonds public allemand d’aide au secteur bancaire
AFP le 21/01/2009 à 19:21
Le patron du fonds public allemand d’aide au secteur bancaire (Soffin) va démissionner de son poste fin janvier, marquant la seconde défection en deux mois au sein du comité de direction, a-t-on appris mercredi auprès du ministère des Finances.
Günther Merl, un ancien patron de la banque régionale de Hesse-Thuringe Helaba, avait pris ses fonctions au Soffin en octobre lorsque ce fonds avait créé pour contrecarrer les effets de la crise bancaire.
Selon la revue économique Managermagazin, M. Merl aurait démissionné en raison de divergences avec le gouvernement sur la façon de diriger le fonds qui aide à recapitaliser les établissements en difficultés et à garantir les prêts interbancaires.
Ce sont les représentants du gouvernement au Soffin qui ont pris toutes les décisions importantes ces derniers mois, selon la revue.
Le comité de direction de l’institution comprend trois sièges. En décembre, Karlheinz Bentele du parti social-démocrate (SPD) avait déjà claqué la porte. Le chrétien-démocrate (CDU) Gerhard Stratthaus reste le seul membre du comité de direction d’origine.
Le Soffin était injoignable pour commenter mercredi soir. Basé à Francfort (ouest), le fonds a été doté par l’Etat de 400 milliards d’euros de garanties publiques et 80 milliards d’euros de recapitalisation. Une quinzaine de banques l’ont déjà sollicité, parmi lesquelles Commerzbank et Hypo Real Estate.
et chez nos autres voisins de la perfide Albion, Barclays est dans la mouise!!!!!:
« Une clause prévue lors de l’investissement de la famille royale d’Abou Dhabi dans Barclays PLC (BCS) en octobre dernier a rendu quasiment impossible l’achat par le gouvernement britannique d’une participation significative dans la banque, rapporte jeudi le journal The Times.
La révélation de cette clause est susceptible de raviver la controverse sur les méthodes employées par Barclays pour lever des fonds, estime le journal. L’action Barclays a chuté de 9% mercredi, après avoir perdu jusqu’à 35% en séance, pénalisée par les spéculations selon lesquelles la banque pourrait devoir lever de nouveaux capitaux – en faisant appel au marché ou bien au gouvernement, selon The Times.
Or d’après la clause prévue lors de l’opération qui a permis à Barclays d’obtenir 7,3 milliards de livres auprès du Qatar et d’Abou Dhabi, si la banque lève de nouveaux fonds avant la fin juin, ses investisseurs du Moyen-Orient recevront un plus grand nombre d’actions pour leur investissement initial sans débourser un sou de plus, explique The Times.
Si Barclays devait lever des fonds au cours de clôture de mercredi soir, elle devrait, par exemple, mettre automatiquement près de 50% de son capital entre les mains de ces investisseurs, poursuit le journal. Le seul moyen de contourner cet obstacle serait de lever des capitaux à un prix supérieur aux 153 pence par action auxquels les titres remis au Qatar et à Abou Dhabi peuvent être convertis en actions Barclays, conclut le journal. »
Site Internet : http://timesonline.co.uk
et pendant ce temps chez nos voisins:
Démission du patron du fonds public allemand d’aide au secteur bancaire
AFP le 21/01/2009 à 19:21
Le patron du fonds public allemand d’aide au secteur bancaire (Soffin) va démissionner de son poste fin janvier, marquant la seconde défection en deux mois au sein du comité de direction, a-t-on appris mercredi auprès du ministère des Finances.
Günther Merl, un ancien patron de la banque régionale de Hesse-Thuringe Helaba, avait pris ses fonctions au Soffin en octobre lorsque ce fonds avait créé pour contrecarrer les effets de la crise bancaire.
Selon la revue économique Managermagazin, M. Merl aurait démissionné en raison de divergences avec le gouvernement sur la façon de diriger le fonds qui aide à recapitaliser les établissements en difficultés et à garantir les prêts interbancaires.
Ce sont les représentants du gouvernement au Soffin qui ont pris toutes les décisions importantes ces derniers mois, selon la revue.
Le comité de direction de l’institution comprend trois sièges. En décembre, Karlheinz Bentele du parti social-démocrate (SPD) avait déjà claqué la porte. Le chrétien-démocrate (CDU) Gerhard Stratthaus reste le seul membre du comité de direction d’origine.
Le Soffin était injoignable pour commenter mercredi soir. Basé à Francfort (ouest), le fonds a été doté par l’Etat de 400 milliards d’euros de garanties publiques et 80 milliards d’euros de recapitalisation. Une quinzaine de banques l’ont déjà sollicité, parmi lesquelles Commerzbank et Hypo Real Estate.
et chez nos autres voisins de la perfide Albion, Barclays est dans la mouise!!!!!:
« Une clause prévue lors de l’investissement de la famille royale d’Abou Dhabi dans Barclays PLC (BCS) en octobre dernier a rendu quasiment impossible l’achat par le gouvernement britannique d’une participation significative dans la banque, rapporte jeudi le journal The Times.
La révélation de cette clause est susceptible de raviver la controverse sur les méthodes employées par Barclays pour lever des fonds, estime le journal. L’action Barclays a chuté de 9% mercredi, après avoir perdu jusqu’à 35% en séance, pénalisée par les spéculations selon lesquelles la banque pourrait devoir lever de nouveaux capitaux – en faisant appel au marché ou bien au gouvernement, selon The Times.
Or d’après la clause prévue lors de l’opération qui a permis à Barclays d’obtenir 7,3 milliards de livres auprès du Qatar et d’Abou Dhabi, si la banque lève de nouveaux fonds avant la fin juin, ses investisseurs du Moyen-Orient recevront un plus grand nombre d’actions pour leur investissement initial sans débourser un sou de plus, explique The Times.
Si Barclays devait lever des fonds au cours de clôture de mercredi soir, elle devrait, par exemple, mettre automatiquement près de 50% de son capital entre les mains de ces investisseurs, poursuit le journal. Le seul moyen de contourner cet obstacle serait de lever des capitaux à un prix supérieur aux 153 pence par action auxquels les titres remis au Qatar et à Abou Dhabi peuvent être convertis en actions Barclays, conclut le journal. »
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