Le glissement dans des périodes troublées est long, parait surprenant, alors que ce n’est que l’aboutissement d’un long processus.
A la fin, tout s’accélère, comme un château de carte inversé, il ne s’écroule pas, la crise s’imbrique et s’accélère et se monte, toute seule.
Les « sauvés » par les états continuent les grandes bouffes, au frais de la princesse, sans voir leur caractère profondément immonde, immoral, provocateur.
La responsabilité des hommes en place est mis en cause : Bush, Bernanke, Paulson pour la troïka US, en en attendant d’autres, moins gros.
Le montant des sommes dilapidés donnent des idées de meurtres et de meurtres absolument bestiaux à la majorité de la population qui vit ou survie avec quelques centaines de $ ou d’euros.
Le glas est en train de sonner, le seul papier vendable est le papier d’état à court terme. Le prix de l’or flambe, et les primes sur les achats deviennent phénoménales… En attendant plus. La mauvaise monnaie chasse la bonne. Il est de plus en plus probable qu’on vit la dernière tentative de sauvegarde de la monnaie US, et de son corolaire, la dette publique US.
L’échec de la monnaie fiduciaire au service du néolibéralisme libre échangiste est éclatant.
Un empire y disparait, un autre ne renaitra pas, du moins pas tout de suite, il faut des conditions particulières : une grande guerre gagnée et des ennemis ruinés. Ce n’est pas le cas. Les USA de 1945 bénéficiaient aussi de l’effacement de leurs concurrents.
Une autre victime collatérale, l’immobilier. A beaucoup de remarques, on voit que les leçons de l’avant 1945 sont oubliées.
Bien sûr, il existait des besoins, mais ils n’étaient pas satisfaits, tout simplement, faute de structure de financements.
L’immobilier va évoluer. Dans le sens de la baisse pour les ventes, dans le sens de la baisse pour les locations. Les derniers arrivants sont les plus inquiets, je vois des immeubles réhabilités récemment, où les pancartes « A vendre » ont été remplacées par des « A louer ». Mais la population qui n’existe pas pour l’achat, n’existe pas davantage pour la location. La seule stratégie en cours, c’est de piquer les locataires à quelqu’un, en jouant sur la seule variable : le prix. En attendant, bien sûr, les vagues de licenciement qui balaieront encore le marché.
Dimanche 12 octobre 2008
Que du bonheur, dans ce monde de brutes.
Que l’immobilier coule,
Qu
En fait, tout a ete speculation depuis 1982. Bourse, Bon du tresor, immobilier…les banques jouaient a ce jeu , sachant certainement qu’un jour ou l’autre que l’on allait payer…
Certain feront allusion a Nostradamus…ils diront que c’etait ecrit.
D’autre feront reference a la bible et l’apocalipse…
Certain, continue de croire que le monde de demain sera le meme que le monde de demain…
Les temps changent…en attendant l’immobilier ne vaut plus rien …car non liquide…
Est-il possible de penser à un scénario optimiste, où tout le monde en ressortirait gagnant?
Oh que si : Faire revoter les Irlandais, Français, Néerlandais, Islandais
Les monde avec un grand M, s’en sortira gagnant, car beaucoup de pays ont compris qu’il ne seront pas a l’abris d’une déblacle financière. Avant ont organisait des gueurre, il semblerait qu’aujourd’hui ils accepte de jouer et de perdre. Par contre ils y aura beaucoup de petit perdant dans cette histoire. Et je pense que l’immo sera le plus grand perdant. Car je ne pense âs que les banques vont se laissé avoir une deuxième fois. (M’enfin avec les abrutis ont n’est jamais sur de rien).
Une petite annecdote. En 2001, bien qu’aillant un apport consequent, j’ais voule faire un credit de 15 000 euros pour acheter un bien. Hors je n’ais jamais eu se credit et il m’as fallu le payer cash. 3 ans aprés j’ais eu besion de 100 000 euros et je les aient eu en 3 jours. Pourtant a situation n’avait pas changer. Je pense que se coup si il se sont brulé sérieusement les doigts. Espérons qu’ils s’en souviendront.