L’aveugle et le paralytique.

Images_8 Dans la fable, le paralytique était les yeux de l’aveugle et celui-ci, les jambes du paralytique.
Dans le monde bancaire, c’est plutôt le duel au revolver. Un seul doit survivre.
« Merrill Lynch voit l’avenir de Lehman Brothers en noir  « .
Bien entendu, un jugement aussi impartiale serait beaucoup plus crédible si Merrill Lynch n’était pas dans la même situation.
Mais ce qui est le plus réjouissant est quand même l’attitude des grandes sociétés.
Elles trouvent désormais beaucoup moins de mérites à la cotation en bourse, et trouvent cela, même, comme une pénible formalité.

D’une manière générale, la totalité des sociétés financières sont invitées au « bal des morts-vivants » outre-Atlantique.
Celle qui se porte le mieux -officiellement-, Goldman Sachs, étant affublée du plus long nez.
Bien entendu, même si l’une seule s’en tirait bien, elle serait coulée par les contreparties négatives.
Les banques ont « oubliées » que la finalité, ce n’était pas de jouer aux sous, ensembles, c’était de financer l’économie.
L’immobilier dégringole. Jusqu’où ? Il peut baisser de 50 %, de 80 %, de 100 % et même, ça c’est déjà vu, en dessous de zéro (être une charge et non plus une valeur).

Samedi 2 août 2008

(6 commentaires)

  1. Marie où es-tu? Ton blog a été squatté et on n’y parle plus d’immobilier…

  2. A propos des crédits immobiliers.
    Une chose incroyable que je viens de constater Vendredi pour la 1ère fois de ma vie
    Et bien, les taux variables sont bien plus chers que les taux fixes. Que se passe-t’il au niveau des banques? Peut-on m’expliquer le phénomène? Allez donc voir sur:
    http://www.meilleurstaux.com/
    On constate encore des taux d’emprunts qui augmentent fortement et qui ont encore augmentés cette semaine. Ce qui va fortement dissuader les acheteurs ou les forcer à fortement négocier.
    Les vendeurs ont de sérieux soucis à ce faire et de sérieux rabais à faire si ils veulent vraiment vendre.

  3. Ouai je le soupconne de s’être dopé! il tape maintenant plus vite que son ombre.

  4. Marie ?
    Je suis content de ne plus la lire.
    Laissez là bien loin, merci.

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