Les banques européennes se sont faites saignées comme des gorets.
110 milliards de $ seront encore nécessaires, après -déjà- 127 milliards précédemment levés.
Pertes domestiques et pertes sur le marché US s’y côtoient.
Bien sûr, le refus de la réalité, refus pathologique très répandu à l’époque actuelle, continue.
malgré la carence d’acheteurs, malgré la carence de locataires, malgré les prêts bancaires qui se réduisent tels peaux de chagrins, les prix devraient « rester surévalués« …
Bien sûr, nul part on ne parle de la carence totale d’une alternative à l’économie immobilière. Elle s’effondre…Mais, devrait rester debout ?????
Bien sûr aussi, les signes de crise immobilière ne sont pas facile à voir, ils ne se voient d’ailleurs pas de l’extérieur.
Il faut qu’elle devienne massive pour que les panneaux « à vendre » et « à louer » envahissent les espaces, il faut parler avec les voisins, pour s’apercevoir que l’environnement change, que tel appartement (ou immeuble) n’est pas loué, ou que tel autre est à vendre depuis des lustres.
Le voisin qu’on croise tous les jours, et auquel on ne dit pas autre chose que bonjour/bonsoir, ne parlera sans doute pas de sa situation financière dégradée, de ses difficultés de fin de mois et on ne verra que le stade terminal : la saisie, le logement vide ou le panneau.
Mais, de temps en temps, le voile se déchire. Le « figaro« , note que l’indice FNAIM, brut passe de 208 à 202 en un an. Soit 2.9 % de baisse, conjugué à autant d’inflation.
Il ne faut pas oublier que chaque point de baisse, c’est aussi des vies brisées et broyées.
Vies peut-être qui n’avaient eu que le tort d’être trop naïves…
Et oui Patrick, de nos jours le naîvété et un fleau pour notre civilisation. Tant qu’elle n’existe qu’aux niveau des masses loborieuses, cela va encore, Mais lorsqu’elle atteint les milieux dirigeant c’est plus problèmatique(attali,touati et bien d’autre). M’enfin je pense quand même que nos dirigeant ne sont pas si con que cela, voir plutot complice de tout se désastre.
D’aileurs comme chef d’ochestre de la naïvété nos dirigeant sont des experts. Surtout ceux qui arrivent a se propulser au rang suprême. Ils y arrivent grâce a leurs capacité a duper, mentir et tricher a nous faire prendre des vessies pour des lanterne. Les bons dirigeant se retrouvent souvent mis au rencard par d’autre plus habile et plus semsible au pulsions humaines ( je pense que tu es trés bon Patrick a se jeux ).
M’enfin imaginer un monde ne comportant que des gens équilibere et intelligent c’est un peux difficile lorsque seul 5% de la population mondiale est capable d’additionner, de multiplier, et de diviser, et de faire une règle de trois.
M’enfin je t’encourage a continuer ce simulacre de fin des temps. qui a mon avis ne sont que les premices d’un nouveau monde. Celui de l’escroquerie en tout genre et de l’abus de confiance.
M’enfin je tiens quand même a préciser certaine chose afin que mes propos ne puis être déformé.
Une fois que l’ont a compris qu’un grande part de la population est naîve. Il y a deux façon de réagir
1) profiter de cette naîveté. Et en profiter
2) l’éduquer cette naîveté. afin d’éviter les effets pervers de la colère et de la révolte. « la peste de Camus » c’est avant tout la désespoir de ces gens qui se sentent floué et humilié
logique, les gens les plus redoutables dans les periodes de troubles ne sont pas celles qui ne croyaient pas au système, mais au contraire celles qui lui faisaient confiance.
Elles sont sanguinaires et cruelles à l’aulne de leur naïveté précédente.
On peut citer Barras assistant en spectateur à la prise de la bastille, puis rentrant tranquillement chez lui dans le midi pendant cet été 1789…
J’aime beaucoup la distinction être croire et faire confiance. Trés interessant comme remarque. Je vais y réflechir un peut.
C’est vrai due l’on peut croire en un sytème sans pour autant croire que les personnes qui en ont les clefs soit des anges. Je dirais mêm qu’ils faudrait pour que cela fonction a peut près correctement mi-ange, mi-demon.
Eduquer c’est aussi rendre difficille, puisque cela nous oblige a faire travailler notre cervelle, m’enfin il faut tout faire travailler quelleques chose.
Certain font travailler leur bite d’aute leur cervelle.
C’est une liberté de choix. Et se choix dépends beaucoup de l’information même si pour cela il faut la décortiquer.
Je tenais a préciser que l’on paux trés faire travailler sa bite et sa cervelle.
D’ailleur je peux même rajouter que l’on peux faire travailler sa cervelle plus que sa bite.
:))
PS: sinon c’est très gave !
« Je tenais a préciser que l’on paux trés faire travailler sa bite et sa cervelle.
D’ailleur je peux même rajouter que l’on peux faire travailler sa cervelle plus que sa bite.
:)) »
En français ça donne quoi monsieur le moralisateur ?
Apres une bouteille de rosé en apéro sa donne un tas de conneries et beaucoup plus de fautes d’orthographes.
Désolé pour le laissé allé.
Ma foi, il faudra que l