Situations bancaires.

Images_4 Jamais une banque ne dira de ne pas rembourser. C’est contre sa vocation, son état d’âme, sa religion.
Il ne reste qu’à suivre SCRUPULEUSEMENT leur exemple, et rembourser nos dettes, jusqu’au dernier sou.
On peut donc s’inspirer de leur exemple, dans cette crise.
Dans le match CREDIT SUISSE /UBS, pour savoir quel est le vainqueur du diner (il faut dire que ce sont là, deux fort beaux gabarits), Crédit Suisse marque un point. 5 milliards de francs (suisses) de dépréciations.
Les clients sont appelés à voter en décampant le plus vite et en plus grand nombre possible.
Dans cette nouvelle banque-académie, la lutte entre les deux prétendants au titre ne manquera pas de rebondir, le concurrent s’avérant coriace.
Mais il faut bien reconnaitre le titre mondial par tête d’habitant qu’il faut décerner à ces deux banques.

Loin derrière, viennent les zétazunis, vous savez ce-pays-d’où-venait-tous-les conseils-qu’il-fallait-absolument-suivre-pour-créer-de-la-richesse-sinon-on-est-un-épouvantable-marxiste.
Bon, on va pas toutes les citer, prenez le bottin. Pour les détails l’article.
Mais elles ont bien de la bonté en indiquant que c’est les banques zeuropéennes les plus touchées.
C’est des connaisseurs, ils savent les « choses » qu’ils leurs ont vendus.
Pour ce qui est de Sachsen LB, visiblement, ils n’ont pas tort.
Mais si les gouvernements ont donnés 100 jours aux banques pour révéler leurs pertes, ont ils pensé le montant était tellement énorme qu’il n’était même pas avouable. On a commencé par 100 milliards (ce sera vite absorbé disait on !), on en est à plus de 400, chiffre auquel tiennent ceux qui disent : « c’est fini », les plus pessimistes annoncent 1000 milliards.
Pour les vraiment pessimistes, les pertes s’élèvent à 10 000 milliards
Mais pour répondre à certain, quand brulera la maison, et que les chiffres du chômage et de la faim monteront en flèche, on s’apercevra que la question monnaie et dette est tout à fait subsidiaire.
Une ou des banques amènent toujours ses clients (damnés) au même endroit, quand on leur laisse le pouvoir, en enfer.  Il y a de grandes chances que la situation du Zimbabwé se répande largement.
C’est à ce genre de  guignols qu’il faut faire confiance ?