Propagation de la crise.

Les grands argentiers veulent mettre au pied du mur, et contraindre les banques à dévoiler leurs pertes, en 100 jours.
Sans doute sont ils donc prêts à nationaliser la totalité du secteur bancaire et de l’économie, mettre fin à 30 années d’idiotie consommée.
On en parle, tout en restant politiquement correcte. On n’évoque pas les gros mots : récession, ou autres.
Mais le comique de fin revient à C. Lagarde. Si on ne l’avait pas, il faudrait l’inventer :
« Christine Lagarde, a dit lors d’une conférence de presse que le G7 avait la « volonté commune » d’aller vers un fonctionnement des marchés « plus responsable et plus transparent » avec des produits financiers « moins illisibles » et « moins dérivés » que jusqu’alors  « .

Donc il faut abolir la déréglementation. C’est bien de ça dont elle parle in-fine.
En attendant, le gouvernement espagnol panique visiblement, là non plus le crunch n’est pas commencé, mais la courbe laisse peu de chance à une autre hypothèse.
Wall street se prépare au pire, et la fable des « fondamentaux sains et solides » va exploser. Le cout de l’énergie, le cout du transport va se manifester.
Un comté Yankee vient de faire faillite. Le comté de Jefferson en Alabama vient de rejoindre le comté d’Orange dans la légende. La FED va t’ elle nationaliser aussi les comtés, les municipalités, les états ?
Toujours est il que le fonds de pension appréciaient beaucoup, vu leur statuts, les bons des autorités locales.