Rafales de dépêches immobilières ce soir sur des canards du web tels les Echos, La Tribune, Capital…etc. Les raisons de ce barouf se nomment Xerfi, Meilleurs Taux, Empruntis. En effet, tout le monde sort ses propres prévisions baissières mais pas avec les mêmes chiffres d’où des écarts qui décrédibilisent les professionnels de la prévision. On a surtout l’impression qu’à la hausse comme à la baisse personne ne sait calculer l’incalculable ! Car honnêtement, comment prévoir l’évolution de ce marché si particulier qu’est l’immobilier ?
Il y a un tel degré affectif dans l’achat d’un bien, une telle irrationalité dans le comportement des acheteurs ces dernières années, et surtout cette crise financière aura forcement un impact sur le comportement des acheteurs (impact non quantifiable même par un prix nobel d’économie) que l’on ne peut que se marrer devant chaque enseigne sortant ses propres chiffres en même temps que le voisin concurrent. Mais le fait de faire paraitre des chiffres permet d’occuper médiatiquement le devant de la scène et de promouvoir encore la marque de l’enseigne.
Certes, le marché baisse(ra). Mais jusqu’où et jusqu’à quand, ça personne ne sait !