Le docteur Diafoirus de la reserve federale soigne les alcooliques du crédit en leur proposant encore plus d’alcool.
Le résultat en est des adjudications qui passent de 60 milliards à 100. Visiblement la panique gagne.
La BCE aussi est prête à servir des dollars aussi.
« le feu parti des créances immobilières s’est propagé à tous les marchés de crédit aux particuliers, aux municipalités et aux entreprises. « .
L’état de Pennsylvannie n’accorde plus de prêts étudiants, malgré la garantie fédérale.
Les états fédérés augmentent les impôts et diminuent les dépenses, aggravant ainsi la crise.
Le port de New-York, l’état du Wisconsin ont vu leurs adjudications placées au prix d’un taux d’intérêt multiplié par des ratios de 2 à 4.5.
Le crédit immobilier ? Pschitt !
Les entreprises privées voient aussi les taux d’intérêts se tendrent et pire, les trésoreries placées des entreprises devenir indisponibles.
La dégringolade de l’immobilier commercial commence, après une temps de retard, à être aussi grave que l’immobilier résidentiel.
Les petites banques US ne devraient pas survivre à cette crise là.
« Les entreprises privées voient aussi les taux d’intérêts se tendrent et pire, les trésoreries placées des entreprises devenir indisponibles. »
_Voilà à mon sens l’un des derniers piliers vacillants de notre paradigme économique.
Je n’oublie pas la mise en cause des pôles d’évaluations que sont les monolines et la dérobade toujours plus fuyante d’une banque (qui si l’on est un peu honnete passait, il y a peu, pour un empire à elle seule), mise à nue.
Inutile d’engager des fonctions mathématiques complexes pour faire ce simple calcul; entrepreneur mis à mal + banque mise à mal et assureur de l’ensemble pris en défaut. Mes études sont loin mais il me semble que c’est le trépied sacré du capitalisme fonctionnel.
Si on se pose içi la question du rapport avec l’immobilier je repondrai simplement que cet ensemble est la garantie du bon fonctionnement global. C’est, pour être plus précis, l’indice représentatif de la valeur fonctionnel de cet ensemble, et de sa supériorité de fait sur tout autre système qui ne pourrait pas garantir autant de services à une société. Le rêve étant de garantir un équilibre entre le moteur (systeme économique choisi) et « passager ». A ce jour, le moteur ne s’est pas qu’emballé, il donne les signes évidents de sa proche combustion…les passagers sont priés de quitter le vehicule, en esperant pour eux qu’il reste des niches refuges non infestées!
Un cas d’école pour les futurs étudiants pluridisciplinaires de crise systémique.
article surprenant et inquiétant!
En espérant que la BCE soit plus lucide !
Et oui l’immo reste un sous jecent non néglivable bien que souvent négligé par les non initiès.
Si ont prend un belle immeuble 200*20 sur 6 etage, cela fait 24000 m². au prix de 10000Euro le m² cela fait 240 Million D’euros.
38 immeuble cela fait plus de 9 Millards d’euros. Soit le capitalisation d’une entreprise comme Michelin.
faites le cacul pour une des avenue parisiènne est vous verrez a quelle point l’immo est un sous jacent nous négligeable.
Maintenant il a pris 300% en 7 ans. Cela represente la garantie possible pour des pret immo ou autre.
Le bulle immo n’as eu pour seul objecif de permettre l’emmision de credit massif.
Le retournement risque de faire tres mal a tout ceux que se sont endetté avec comme sous jacent leur patrimoine immo.
C’est d’ailleur pour cela que tous les instritutionnel prient pour que l’immo reste a des prix élever. Il leur permet d’équilibrer leur actifs.
Si l’immo baisse, comme je le pense, cela va avoir encore d’autre impact.