« Jusqu’à 30 % de ventes en moins chez les grandes enseignes de l’immobilier depuis le début de l’année. » Et les petites agences, dont le budget pub est plus petit et la marge plus difficilement révisable à la baisse, la chute des transactions est d’après mes « informateurs » plus importante.
« C’est le constat dressé par la Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim) de Gironde. «Les produits restent plusieurs mois à la vente, contre quelques jours ou semaines auparavant » observe Michel Balland, directeur de l’agence Foch Immobilier à Bordeaux. «Après dix années d’euphorie, il y a moins d’acheteurs. Et de nombreux biens sont aujourd’hui surévalués». Leurs propriétaires, qui pensaient profiter de la hausse des prix pour réaliser de belles plus-values, sont aujourd’hui contraints de modérer leurs appétits.
Du coup, la marge de négociation augmente : « Un bien surévalué à 300 000 euros se négocie à présent autour de 250 000. Il y a un an, il pouvait encore partir à 280 000 ». Une tendance amorcée fin 2007, «qui a assaini le marché », selon lui.
Je pense qu’un bien à 400.000, se négocie à un peu moins de 350.000
Je te confirme que les gens que je connais qui ont acheté a 30km de leur travail commence à se poser des questions sur leur mode de transport (co voiture et utilisation du train de plus en plus forte).
Je pense que cela va être un point important dans la baisse des prix qui sera très dépendante de la localisation du bien par rapport aux zones d’activités.