Ces salauds de pauvres, ils ont finis par avoir la peau de l’économie de marché.
Alors qu’on était si bon avec eux, qu’on leur faisait des prêts immobiliers alors qu’on ne les auraient même pas regardés hier.
C’est le patron de la réserve fédéral qui l’a avoué au cours d’un « aveu » de 45 minutes devant le sénat.
« Les marchés financiers ont été mis à rude épreuve« .
En effet, les dettes deviennent criardes, les prêteurs obligent les emprunteurs à vendre au pire moment accroissant encore la crise.
Dit d’une autre manière :
» Le système entier est bouché par du papier à chiottes et la dégradation du nantissement « .
Mais cela continue :
« Les banques ont aussi rapporté d’importantes pertes, reflétant la baisse marquée du prix du marché du prêt hypothécaire et d’autres actifs qu’ils détiennent. Récemment, la détérioration de la situation financière de certains assureurs obligataires a conduit quelques banques d’affaires et d’investissement à accepter de nouveaux démarquages, ajoutant aux tensions des marchés financiers. «
Certains assureurs obligataires ? Seulement « certains » ? Belle précaution de style !
Les banques protègent leurs liquidités et restreignent les nouveaux prêts…
«