(2 commentaires)

  1. Bien sûr, tout cela est horriblement vrai. Sacrifier sa vie au profit d’un logement hors de prix est une décision aussi absurde qu’irréversible. Je rappelle et je voudrais que tout le monde partage le terme que j’emploie depuis des mois : « La mutilation économique des ménages ». Dés lors qu’il n’y a plus d’espoir de retrouver le juste équilibre financier pour les foyers endettés, il y a « mutilation ». L’argent est trop utile à trop de choses pour être dilapidé quasi-exclusivement dans l’immobilier fluctuant.
    J’aimerais aussi que tous les blogs, dont celui-ci, cessent d’employer le terme « attendre » pour acheter. Ce terme favorise le maintien de la surévaluation des biens immobiliers car au fur et à mesure de la baisse, ceux qui ont attendu intègrent le flot des victimes et freinent la chute voire l’en empêchent. Il faut désormais encourager au renoncement, seul capable de bloquer la spéculation et contraindre les marchés à plus de sagesse et l

  2. Pourquoi ne pas parler plutôt de ‘négociation’ au lieu de ‘renoncement’ ?
    réapprendre à négocier les prix au lieu de les accepter comme un fait accompli ?

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