(4 commentaires)

  1. C’est hallucinant de connerie, jamais de vu de la propagande aussi nul lol
    Ce mec est là pour défendre la politique actuelle en France:
    Une politique de vieux fait par des vieux, cad une politique de rentiers.
    Mais bon il faut relativiser, si des cons sont prets à y croire(cad acheter), les autres seront d’autant plus gagnant.
    Par contre, contrairement aux « pauvres » ricains qui ont réussis à financer leurs connerie de subprimes sur les dos des autres avec la complicité de nos cheres banques style crédit lyonnais… , les nouveaux primos francais risquent eux de l’avoir bien profond.

  2. Il a dit pire que ça hier soir (mardi) sur BFM radio :
    « la solvabilité des ménages s’améliore, de peu il est vrai, mais elle progresse… »
    ou encore
    « la hausse modérée de 2008 sera profitable au marché » !!!
    Je n’avais pas d’animosité particulière contre ce monsieur jusqu’à présent, mais désormais il me fait vraiment penser à un vendeur d’armes : aucun scrupule, seul l’argent compte (en l’occurence celui des naïfs prêts à s’endetter leur vie de salarié pour avoir une ruine à la retraite).

  3. Je confirme les écrits de deff.
    La hausse sera profitable au marché ? Je ne sais pas ce que cela signifie.
    Il a aussi dit que tous les indicateurs sont bien orientés. A un moment, il a utilisé deux termes très techniques mais qui ne veulent rien dire.
    J’ai aussi remarqué l’absence du journaliste. On peut l’interpréter de deux manières :
    1- La rédaction lui a imposé cette interview mais dans son for intérieur, il n’y croit pas du tout au discours de la Fnaim. En gros, cause toujours
    2- Il joue le jeu du lobby et il n’y connaît rien à l’immobilier.
    Je me pencherai pour cette seconde hypothèse. Croyez-moi, j’en ai marre de ces charlots à qui on donne la parole pour raconter des mensonges. René mérite bien un procé. Mais bon, on se sent un peu seul nous les baissiers.
    Rien que ce midi, un collègue de boulot parlait d’achat. Je n’y comprends plus rien à cette mentalité.

  4. L’aire de l’assertion:
    Je ne vais pas être trop technique, mais je reste à chaque fois étonné de noter les réactions à ce type de déclaration d' »expert ». Avons nous oublié que nous étions dans un monde marchant? Qu’est ce qu’un vendeur, sinon un camelot, exhortant le passant à venir s’interesser à sa marchandise. Les régles de vente sont pourtant connues de tous: pas d’implication affective, seul compte le résultat.
    Là où ça coince, c’est quand on désire un débat rationel avec ce type d' »individu savant ». Pardon de le dire de manière aussi crue, mais autant demander à un arbre de bouger. Ca ne fait pas partie de ses attributions, il le fera en insistant, mais si peu. D’ailleur il est devenu courant d’entendre « je pense comme ça et peu importe ce qu’on en pense »; ou le récurrent « ce n’est pas mon problème, moi j’ai un travail précis à faire ».
    Les intervenants de ce blog ont tous une vue globale de ce qu’est « l’immobilier ». Cela ne s’est pas fait en deux jours, et pour l’individu lambda, les experts restent ceux qui sont les plus accessibles. En l’occurence à notre époque, ceux qui occupe médiatiquement l’espace pour des raisons marchandes. Pas étonnant alors, qu’il y est des arguments marchands diffusés et non des faits. Cela donne à terme des situations inextricables pour des particuliers qui se sentent floués.
    Absence de raison et forte majorité d’intervenant se servant de l’assertion appuyée comme mode de communication. On remplace l’argument rationel par la conviction affichée, ça n’a l’air de rien dit comme cela, mais c’est le fléau le plus efficace pour détruire le lien social, ou si vous préferez, dans le champ sémantique économique: la trame sociétale.
    On retrouve le besoin marchant de perturber le jugement du client decrit plus haut, notre boucle est finalisé. Mesurer que l’essence de ce que nous nommons « activité économique » aujourd’hui repose sur ce principe. Mesurer que cette activité, preuve de réussite, est la seule visée par le plus grand nombre. Si vous arrivez au même resultat que moi vous n’etes plus surpris, seulement inquiet du coût géneral à regler.

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