L’immobilier fait craquer l’Euroland.

ImagesLe vieil empire, les états-unis sont en crise, d’autres puissances émergent, comme l’union européenne, mais risquent elles aussi de craquer devant la crise.
En effet, il n’y a rien de commun entre l’Allemagne, 3° au classement des balances commerciales, la France, 159°, l’ Espagne 162°, et pour ne pas la citer (elle ne fait pas partie de l’euroland), la Grande Bretagne, 161°.
Les économies divergent complètement, et de plus en plus, et l’euro n’a fait que renforcer ces divergences.
La lettonie, en particulier et les états baltes en général, n’ont jamais autant dépendu de la part mafieuse de l’économie russe, avec un coût de la vie occidental, et des salaires ridicules (150 euros).

L’Espagne, de par sa folie immobilière, vit une fuite des capitaux, et la banque centrale espagnole est en train de bazarder ses réserves d’or, jusqu’à épuisement, ou sortie de l’euro ?
Qui en entraineraient d’autres pour ne laisser qu’un euromark élargi ?
Dans ces conditions, la volonté de faire voter une non constitution, mais un vrai traité, apparait aussi surréaliste que la coutisanerie déplacée et anachronique vis-à-vis d’un empire exsangue financièrement, économiquement à bout de souffle et militairement inefficace.
Curieuses fin d’empires, tués par… des tas de briques. Il n’y a pas à dire, la Bérézina, ou une grande bataille, cela avait quand même plus de classe…