Staline.
Avec 80 % de fraudeurs, ou pas loin, avec un système financier ne brillant pas non plus par son honnêteté, mais par son opacité (lire : sa corruption profonde et systématique), on ne pourra pas s’étonner de voir ressurgir ce genre de personnages, qui eux sauront tout à fait s’occuper des corrompus.
A l’inverse, les quartiers « chauds »ont une grande proportion de gens honnêtes (sans doute pour ça qu’ils sont dans la M…, ils ont pas compris le système).
D’ailleurs, pour les acteurs du « marché » tout est clair : les crapules, c’est tous les autres, et soi avec.
Les liquidités disparaissent aussi vite que crées. Beau cas de déflation.
Mais les banques centrales ont la solution. C’est qu’elles prennent en charge la monétarisation des dettes publiques, la politique menée de 1945 à 1973, et sauve ainsi l’économie réelle.
La monétarisation par les avances automatiques au trésor, à cette époque ne concernait que les déficits et pas le stock de dette. Mais la configuration actuelle (disparition rapide des liquidités), il est clair que la banque centrale peut aussi monétariser ce stock.
Quand aux crapules en tout genre, ça tombe bien, il va y avoir un tas de matières premières à extraire du pôle nord, des centrales nucléaires à décontaminer. Au moins, là, ils pourront être utile …