« Un taux record de 26% des propriétaires de maisons aux Etats-Unis estiment que leur logement a perdu de sa valeur au cours de l’année écoulée, selon une enquête publiée vendredi. Cette proportion est supérieure au précédent record de 24% observé en 1992, précise l’enquête réalisée par Reuters et l’Université du Michigan. »
Bernanke, très critiqué parce qu’il a baissé le taux d’un demi point, ne cesse de se justifier dans la presse. Oui, la crise est grave, et hélas elle sera plus longue que prévu. Source : 20 minutes, Une crise bien plus forte que prévu
Le président de la banque centrale américaine, Ben Bernanke, a reconnu jeudi que les conséquences de la crise du marché hypothécaire aux Etats-Unis dépassaient les prévisions les plus pessimistes, justifiant a posteriori la forte baisse des taux de la «Fed».
Paulson, l’équivalent de notre ministre des Finances, et Bush restent optimistes.
« Comme il l’a dit à plusieurs reprises, M. Paulson a reconnu que la crise financière exercerait une ponction «modeste» sur la croissance de la première puissance mondiale. «La force intrinsèque de l’économie devrait permettre une poursuite de la croissance», a- t-il une nouvelle fois pronostiqué. »
La crise fragilise le système bancaire mondial
Vidéo : le diagnostic réservé du docteur Greenspan
Voilà pouquoi il faut préserver l’indépendance des banques centrales des gouvernances politiques…
Les BC agissent sur le long terme… ce qui n’est pas le cas des gouvernements… en général. Ces derniers cherchent des résulats… à court terme, et peu importe le prix à payer après !!!
Alors que par définition, gouverner, c’est prévoir et définir des orientations à long terme…
J’arrête, bon we à tous
Oui,
parce que la BCE ne fait pas du court terme peut-être, gouverner c’est prévoir, mais en économie les prévisions sont toujours fausse. Gouverner en fonction d’un futur imaginaire qui n’existera jamais ne fait pas de vous un bon gestionnaire. L’avenir n’est pas écris nous le faisons tout les jours, les politiques libérales prôner depuis trente ans ont mené l’occident dans l’impasse actuelle, rappelez-vous la phrase de Barre et son tunnel on attend encore le bout. A mon humble avis quand une politique appliqué avec constance échoue depuis trente ans un bon gestionnaire l’arrêterais et ferait autrement non?
Ne cherchez pas plus loin, Sarko tape sur la BCE pour justifier la faiblesse de la croissance française. Quand ça va mal, c’est bien la faute de quelqu’un. Quand ce n’est pas les 35 heures, c’est Metterand…
A relire avec les chiffres américains, la baisse des ventes de 12,8% sur un an