Un million d’emplois menacé dans la construction outre-atlantique, chiffre à comparer aux 1.4 millions crées depuis 2001.
Le secteur emploi 7.7 millions de personnes et lors de la dernière récession, 15 % avait été licenciés.
Le secteur souffre déjà d’un taux de chômage de 5.9 % contre un taux global de 4.6 %.
75 000 personnes ont déjà perdu leur emploi depuis le pic de septembre 2006 (on peut donc dater de septembre 2006 le début de récession), sans compter les latinos clandestins.
Pour ceux-là, on ne peut que constater l’effondrement du flux financier avec le Mexique.
On peut constater, d’ailleurs qu’une crise immobilière US, ravagerait le Mexique, de par son impact direct (sur le million d’emplois supprimés, les latinos sont aussi sureprésentés), mais qu’elle se conjuguerait aussi avec la rétractation du secteur pétrolier mexicain. En effet, à l’allure actuelle, dans 7 ans, le secteur pétrolier (40 % du PIB) sera exsangue. Faute de pétrole.
La crise alimentaire agite aussi le Mexique depuis la crise de la tortilla.
Le mécanisme d’extension de la crise au monde prend souvent des allures inattendues.
Un problème de taille sur la frontière sud, donc en perspective…