Et jean claude injecte, injecte, injecte du cosmogol 999, euh pardon des liquidités sans plus de résultats que les shadocks.
Il injecte, un peu plus qu’hier, mais bien moins que demain, dans une crise désormais qui n’en finit plus.
Et il apparait que ces injections aggravent le mal sans soigner.
Goldman sachs envisage désormais une chute de l’immobilier américain de 15 à 30 %, la baisse envisagée était de 15 %, mais « le niveau des prix comparé aux revenus et aux loyers dépeint un tableau beaucoup plus funeste »,
« Ces perspectives sont peut être problématiques, mais nous soupçonnons qu’elles sont encore trop optimistes ».
En effet, les scénarios de consolidation ne prennent pas en compte, ni les subprime, ni les apports exigés, ni les prêts à 110 %.
Cette baisse des prix « augmente les risques d’une spirale de détérioration du crédit, de raréfication de l’accés au crédit et de réduction de l’accès à la propriété qui pourrait peser sur l’activité économique pour une période prolongée »…
Quand aux ambulances, elles commencent à ramasser les blessés : Paribas, mais aussi Axa, très développé aux USA, qui commence à sentir plus que mauvais.
Les licenciements sont passés aux USA de 21 000 à plus de 40 000.
Les crises de liquidités s’aggravent dans les banques allemandes, où elles sont maximum, mais aussi canadiennes avec la SGF, avec dans tous les cas, des papiers commerciaux gelés, car la crise touche, non seulement les hypothèques, qui sont à plus long terme, mais les papiers commerciaux, à court terme …
En réalité, la seule arme qui reste aux banques centrales, et qui pourrait fonctionner un tant soit peu, serait de redonner un souffle d’air aux états, et de monétiser par avances non remboursables, les obligations d’états…
Dans un tel contexte, la rentrée risque d’être sanglante dans la construction.