Immobilier : revue de presse du mois de juin 2007 2/2

1545454545457Voici une revue de presse « immobilière » et pas seulement (économique, financière…), du mois de juin 2007. N’oubliez pas que  les articles économiques et financiers nous permettent de prendre la température de la conjoncture, dont l’immobilier est indissociable. Ils sont plus que bienvenus, en plus des articles consacrés à l’immobilier.

Si vous avez un scoop, que vous souhaitez partager, ou une image ou un pdf à transmettre, voici mon mail : marie.phoenix@gmail.com.

Mais il est évident que ce qui ne passe pas ici (à cause du format), peut m’être envoyé là : marie.phoenix@gmail.com

(60 commentaires)

  1. En ce moment sur TF1, l’émission « Reportages » diffuse un documentaire sur le recouvrement de dettes. L’immobilier n’est pas trop abordé, mais l’exemple de personnes endettées jusqu’à la mort est assez effrayant. De quoi faire réfléchir avant de prendre un crédit.

  2. Et pendant ce temps, les prix stagnent…
    [LesEchos 15/06/07 ]
    Dans le contexte euphorique lié aux annonces gouvernementales, les chiffres de l’indicateur mensuel Boursorama-PAP (De particulier à particulier) font l’effet d’un seau d’eau froide. En mai, sur la base des 14.202 transactions recensées dans les 8 plus grandes agglomérations françaises, les prix des appartements et des maisons sont restés pratiquement étales : 0,1 % et 0,06 %. A ce niveau, l’évolution ne parvient plus à compenser l’inflation. Révélatrice aussi, la variation annuelle : elle s’établit à 0,84 % pour les appartements et à 0,85 % pour les maisons. Alors qu’en juin 2006 l’évolution sur 12 mois faisait apparaître une progression de 8,81 % pour les appartements et de 8,28 % pour les maisons. Autre facteur d’inquiétude : le délai moyen de transaction. Il était de 6 semaines pour les appartements et de 8 semaines pour les maisons en 2006. Il est respectivement passé à 7 et 9 semaines.
    url : http://www.lesechos.fr/weekend20070615/swe_immobilier/4586805.htm

  3. tout ceci s’appelle une bulle du credit . si on fait les comptes , les credits achetent plus que les liquidites et de loin . les prix sont donc surevalues ce qui cree une bulle . celle ci est vouee a exploser .

  4. Un petit article typique de la tendance actuelle
    Ouest France Rennes

  5. EMPRUNTIS;
    Sur le marché du crédit immobilier, la tendance est très nettement à la hausse des taux d’intérêt. Il faut dire que l’OAT 10 ans est en nette hausse.
    Il est donc plus que temps de songer à passer à l’achat pour ne pas voir l’addition de votre opération s’alourdir de trop.
    J’aime assez la dernière phrase, du style dépéchez-vous y en aura pas pour tout le monde.
    OK, mais comme un certains nombre j’attends les soldes!

  6. Sans connaître encore de chute vertigineuse, les valeurs boursières liées à l’immobilier commencent à donner des signes de faiblesse, les rendements baissent, les performances déçoivent.
    En observant l’indice Euronext Cac Real Estate, un indice mesurant la valorisation boursière des sociétés du secteur immobilier, on remarque que depuis mi février 2007, l’indice est sur une pente largement baissière.
    On est passé d’une valeur au dessus des 2000 points en février à 1775 points aujourd’hui, soit une dégringolade de plus de 15% en 4 mois.
    La Cac Real Estate est un indice publié par Euronext suivant la nomenclature ICB (Industry Classification Benchmark), qui représente les valeurs les plus significatives du secteur immobilier français. L’indice est composé de 11 valeurs : Icade, Groupe Affine, CeGeReal, Foncière des régions, groupe Gecina, Klepierre, Locindus, Lucia, Mercialys, SIIC de Paris, Silic, Unibail.
    L’action Foncière des régions est passé d’un cours de bourse de 164,90 euros en février, à 114 euros aujourd’hui (19 juin), soit une chute de 30% en 4 mois.
    Unibail passe de plus de 240 euros en avril à moins de 199 euros en juin, soit une baisse de 17%.
    C’est pratiquement le même scénario qui se produit pour toutes les valeurs de l’immobilier, depuis février, la survalorisation des cours prend fin, et donne place à ce qui peut être considéré comme plus qu’un simple assagissement : une vraie orientation baissière généralisée.
    Même si beaucoup de ces foncières sont orientées vers l’immobilier d’entreprise, la santé de ce secteur reste fortement corrélée avec l’immobilier résidentiel.
    Les facteurs qui expliquent cette tendance baissière : tout d’abord l’augmentation des taux d’intérêt, et la volonté apparament affichée de la Banque Centrale Européenne de continuer dans cette vague de durcissement monétaire.
    Mais surtout, les investisseurs commencent à se rendre compte que la rentabilité du secteur (le ratio prix de vente / loyer), devient de plus en plus désavantageux, notamment à cause de la surévaluation des actifs survenue ces dernières années. Les estimations ne sont pas vraiment enthousiasmantes concernant les perspectives de moyen et long terme, ce qui explique les prises de bénéfices grandissantes, et qui devraient se poursuivre.
    Nous recommandons la plus grande prudence pour tout investissement boursier lié à l’immobilier.
    Christophe Baillon
    Prix Immo

  7. voici un petit article de la tribune sur la crise immo et les hedge fund.
    « Bank of America se dégage de ses positions dans deux hedge funds de Bear Stearns. Un coup dur pour le courtier qui est de plus en plus seul pour affronter la crise immobilière déclenchée par les crédits « subprime ».
     »
    suite de l’article sur le lien

  8. La barre des 900.000 annonces a été franchie sur le SeLoger, avec 901.383 annonces ce matin, dont 750.354 annonces vente.
    Bientôt LE MILLION, LE MILLION, LE MILLION!

  9. FLASH IMMO DU PAP;
    ACTUALITES;
    Plus vert, plus grand. Selon un arrêté ministériel du 3 mai dernier, les constructions qui emploient des énergies renouvelables pourront bénéficier d’une extension de leur coefficient d’occupation des sols. Il sera ainsi possible d’accroître la surface constructible de 20 % si elles sont équipées d’une pompe à chaleur, de panneaux solaires ou si elles répondent à des critères de haute performance énergétique. Pour le collectif, c’est un bon moyen d’accroître l’offre de logements en préservant l’environnement. côté maison individuelle, c’est l’occasion de construire plus grand et/ou de s’agrandir sans problèmes dans le futur.

  10. les rumeurs du palais brognard sont de plus en plus fondees . les fonds d’investissement americains sont en panique et sont sur pilotage automatique genre sos . ils n’ont plus qu’a attendre le bancroute . certaines grosses banques sont sur le point de mettre la clee sur la porte . bien fait . les lois economiques prennent le dessus et nul ne peut intervenir . des dizaines de milliards de dollars sont en train de partir en fummee . c’est comme faire disparaitre les valeurs surestimees . c’est une bonne chose , beaucoup vont rester sur le carreau . en france ce sera la meme chose quand les taux depasseront 5/100 .

  11. Pour rumeurs :
    j’ai lu, hier matin, un dépliant commercial de Nexity (qui était distribué dans la gare SNCF) qui présentait un futur nouvel immeuble, magnifique, superbe, bien placé, avec une espace vert, etc, etc…
    Bien sûr, ils ont inclus, dans leur brochure, une simulation de financement pour l’achat d’un 2 ou d’un 4 pièces. Cette simulation était effectuée en partant de l’hypothèse que le prêt était accordé par BNP Paribas, à un taux TEG de 5.05 % !!!
    Donc, les taux qui dépassent 5%, c’est déjà le cas !!!
    Au passage, dans leur simulation pour le 4 pièces, ils partaient du principe que l’apport était de 140.000 euros … No comment…

  12. a james . les taux depassants les 5/100 sont ceux de la bce .d’ici qu’ils atteignet + de 5/100 il faut au moins 8 mois 1 an . regarez aux states , c’est le depassement des 5/100 qui ont alerte les speculateurs . aujourd’hui , nous somme sure que les taux vont monter et non le contraire que certains esperaient encore . la baisse provoque des bulles et le seul remede est de les faire exploser , pour recommencer apres . seule la date est incertaine , mais le fait se produira inevitablement .

  13. Achetez !
     » La menace immédiate d’un effet domino de la crise semble donc écartée, mais pour combien de temps ? «Les problèmes des hedge funds risquent non seulement de se propager à Wall Street mais aussi à l’économie réelle », rappelle CNN vendredi. Si la crise de l’immobilier, qui dure depuis un an, n’a pas encore eu de grandes conséquences sur la consommation des ménages, la hausse des taux longs pourrait gripper ce principal moteur de la croissance américaine. Les taux des emprunts sur 35 ans ont bondi de plus d’un point et demi en cinq semaines; les ménages endettés à taux variable ont d’autant moins de ressources à consacrer aux achats. Ce qui fait craindre à certains une récession avant la fin de l’année. La plupart des économistes se contentent pourtant de parler de ralentissement au deuxième semestre. « Finis les taux de croissance annuels de l’ordre de 3% ou plus », prévient notamment sur CNN John Silvia, économiste en chef du broker Wachovia.  »
    http://www.lexpansion.com/art/17.0.159429.0.html

  14. http://www.debka.com/headline.php?hid=4334
    L’attaque de l’Iran d’ici la fin de l’année ?
    Les USA et Israël l’ont retardé mais elle aura bien lieu. Objectifs :
    1) Montrer au reste du monde que la puissance militaire US est toujours bien réelle (malgré échec des israéliens au Liban) = emploi de mini bombes atomiques.
    2) Mettre la main sur le pétrole iranien.
    3) Créer une récession par un choc inflationiste sur l’énergie afin de : a) réduire la consommation énergétique actuelle en réduisant la population mondiale… b) accélerer et faciliter la transition vers de nouvelles technologies d’énergies renouvelables…

  15. Sur l’outil de cotation de prix immo du SeLoger;
    http://www.seloger.com/prix-immobilier.htm
    6 flèches vertes(baisse)
    8 flèches bleues(stabilisation)
    9 flèches rouges(hausse)
    il y a encore très peu de temps, les flèches rouges étaient largement majoritaires, celà ne semble plus être le cas aujourd’hui.
    Toujours sur le SeLoger, 906.859 annonces ce soir(784.330 annonces vente).
    Le million d’annonces avant la fin de semaine?

  16. CHALLENGES.FR
    25/06/07 13:27 Immobilier : les murs tremblent à Paris dans le sillage de Wall Street
    Les secousses survenues vendredi dans l’immobilier aux Etats-Unis se sont répandues sur les places européennes ce lundi, et particulièrement à Paris, où de nombreuses valeurs du secteur affichent des replis significatifs.
    Le retour des craintes liées aux crédits à risque (‘subprime’) a plombé l’ambiance sur les marchés américains en fin de semaine dernière, sur fond de peur d’une hausse des taux d’intérêt à quelques jours seulement de la réunion de la Fed.
    Sans surprise aujourd’hui, Unibail-Rodamco (-2,8%), Klepierre (-2,7%), Kaufman and Broad (-2,4%), Fonciere des Regions (-2,3%), Orco Property Group (-2,3%), Silic (-1,6%) ou encore Nexity (-1,5%), figurent au palmarès des plus fortes baisses du SRD parisien.

  17. Légère baisse des prix sur le marché de l’immobilier au mois de mai 2007
    Jusqu’alors linéaire, le moi de mai 2007 a vu le marché de l’immobilier entamer une légère baisse par rapport aux mois précédents. Le prix des appartements a amorcé une courbe descendante et ce quelles qu’en soient les régions : le prix du mètre carré passant de 3280 euros en avril à 3186,41 euros en mai (la région parisienne fait exception à la règle, passant de 5329 euros à 5489 euros). Les maisons, quant à elles, affichent un prix stabilisé à 2706 euros par mètre carré. C’est aussi ce que constate René Pallincourt, président de la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) : « Dans les secteurs où les prix s’étaient affolés, nous assistons à un phénomène de rééquilibrage. »
    Cette baisse des prix sur le marché de l’immobilier est tout à l’avantage des acheteurs qui n’hésitent plus à négocier un rabais ou à prolonger la transaction. Une étude réalisée par le groupe De Particuliers à Particulier met en évidence à la fois une augmentation du rabais moyen accordé à l’acheteur (passant de 2,57% en avril 2007 à 3,14% en mai) et un accroissement du délai moyen de transaction d’un bien immobilier (7 semaines en avril 2007 contre 9 semaines en mai).
    En outre, les conditions de crédits immobiliers constituant toujours un frein au désir des particulier d’accéder à la propriété (maison ou appartement), sont peu à peu contrebalancées par l’apparition du prêt à taux zéro, du prêt écologique ou encore des nouvelles mesures, annoncées par le président de la république Nicolas Sarkozy, relatives à la defiscalisation des taux d’intérêts sur les crédits immobiliers.
    http://www.diagnostic-expertise.com/credit/actualite-credit-immobilier-prix-en-baisse-au-mois-de-mai-746.php

  18. Immobilier: hausse des prix de 3% en 2007, effet de la déduction d’intérêts
    La déductibilité des intérêts d’emprunt de l’impôt sur le revenu pourrait provoquer une hausse de 3% des prix de l’immobilier ancien en France en 2007, selon le baromètre BIPE/Empruntis, qui tablait sur une stabilisation avant l’annonce de cette mesure.
    L’hypothèse s’appuie sur une application de la déduction à tous les acheteurs, premiers accédants ou non, champ retenu dans le projet de loi présenté par le gouvernement. La déductibilité prévoit notamment un crédit d’impôt plafonné et égal à 20% des intérêts d’emprunt payés sur les cinq premières années de remboursement.
    Selon Cyril Blesson, directeur au sein de la société d’études et de conseil BIPE qui s’exprimait lors d’une conférence de presse, cette mesure devrait « resolvabiliser entre 22.000 et 30.000 transactions » immobilières sur l’année, opérations qui n’auraient pas été effectuées sans la déduction, sur un total de 750.000 transactions environ.
    Le baromètre prévoit néanmoins une baisse de 3% du nombre total de transactions, contre 6% hors effet de la déduction, et M. Blesson estime qu' »on va bien vers une poursuite de l’atterrissage » du marché de l’immobilier, malgré la mesure. « Il ne faut pas s’attendre à un boom de la demande », ajoute-t-il.
    Le ralentissement est dû, en grande partie, à la hausse des taux d’intérêt. Egalement présent lors de la conférence de presse, le président du directoire du courtier immobilier en ligne Empruntis, Geoffroy Bragadir, a estimé que la moyenne des taux d’intérêt des crédits immobiliers en France est actuellement de 4,20% environ. Après avoir atteint un point bas à 3,5% en octobre 2005, ils n’ont cessé de remonter depuis.
    Bipe et Empruntis anticipent une poursuite de la hausse des taux jusqu’à 4,5% environ en moyenne dans le courant de l’année. Si la déduction des intérêts revient à une baisse de 0,30 point du taux d’intérêt de l’emprunt (de 4,5% à 4,2% par exemple), l’effet sera peu ou prou annulé par la hausse des taux, selon les deux intervenants.

  19. Lu dans 20 minutes ce matin :
    – IMMOBILIER : l’aide fait monter les prix. Le BIPE prévoit que la déductibilité des intérêts provoquerait une hausse de 3% du marché immo en 2007.
    – ET LA PERLE DU JOUR : l’état vient de racheter les anciens batiments de l’imprimerie nationale. Il l’a racheté 4.5 fois le prix qu’il l’avait vendu en 2003 !!!!!
    vendu en 2003 : 85 Millions,
    Travaux réalisés depuis : 125 Millions,
    Prix racheté : 376 Millions…
    Cherchez l’erreur …

  20. Source BOURSORAMA;
    Mise en location de logements vides à Paris : bilan modeste
    L’opération d’aide à la mise en location de logements vacants, lancée par la Ville de Paris l’an dernier, se traduit par un maigre résultat. Sur les 12 000 logements vacants dénombrés officiellement, 177 ont été remis sur le marché du logement social avec l’aide de la société d’économie mixte de la Ville de Paris -Siemp- (subventions, prise en charge de la gestion locative).
    Siemp, communiqué du 25 juin 2007

  21. Cherchez l’erreur …
    => ils ne savent pas négocier avec les américains ? durs en affaires ? 😉
    je déconne un peu, j’ai le droit 🙂 de tps en tps.
    La news du jour à votre avis, par quoi je commence ? (J’ai déjà un sujet écolo presque prêt), mais s’il y a un gros scoop, j’attends vos réponses 😉

  22. Northern Rock a perdu 11,98%, à 834 pence, hier. Le spécialiste britannique du crédit immobilier a prévenu que ses bénéfices annuels seraient moins élevés que prévu du fait de la hausse de ses frais de financement. Les hausses répétées des taux, que le groupe n’a pas pu répercuter entièrement sur… …

  23. Agents commerciaux: L’immobilier en chute?
    19 juin 2007
    Selon des travaux parlementaire de 2005 (Lire le rapport du sénat) présidé par M. Jean Arthuis, la hausse des prix de l’immobilier arrive au plafond du fait que les ménages ne peuvent plus s’acheter de biens immobilier; d’une part à cause des tarifs et de leurs progressions excessives, et d’autre part de revenus qui n’ont pas progressés à la même vitesse (3,6 fois inférieure).
    Nous voici en 2007, et cet état de fait semble se correller avec le besoin (et le turn over) que l’on perçoit parmi les commerciaux indépendants de ce secteur qui abandonnent, non pas faute de biens rentrés, mais faute d’acheteurs; avec une baisse des transactions (de 20 à 40% par rapport à l’an passé selon les agents).
    D’autres part les demandes en recrutement dans se secteur sont de plus en plus nombreuses, ce qui est egalement un signe annonciateur d’un avenir difficile à la fois pour les agences immobilières (qui ont explosées en nombre ces 4-5 dernières années) et pour les agents commerciaux de l’immobilier qui veulent bien gagner leur vie.
    Source : immobilier agents commerciaux – LANIAC

  24. http://www.boursier.com/vals/US/kb-home-un-marche-immobilier-toujours-aussi-deprime-aux-etats-unis-news-240758.htm
    « Selon la Direction de KB Home, les résultats du second trimestre traduisent l’actuelle situation de surstockage dans l’immobilier neuf et ancien aux Etats-Unis, ainsi qu’une concurrence agressive et une demande toujours faible.  »
    « Le Groupe ajoute qu’il ne peut prédire de timing d’amélioration du marché, mais KB Home reste engagé dans une stratégie de discipline opérationnelle et de flexibilité financière. »
    Pour une crise qui devait durer 6 mois (8 maximum), ça traine un peu
    l’article est très clair

  25. Bonjour,
    voici un articles commentant les derniers chiffres Boursorama/PAP, ceux-ci étant nettement moins optimistes pour le marché immobilier que l’article des échos indiquant un possible hausse suite aux « mesures Sarkozy ».
    Immobilier : les prix commencent à baisser (mediassur Jeudi 28 Juin 2007)
    Les réductions d’impôts sur les intérêts d’emprunt promises par Nicolas Sarkozy n’auront pas fait de miracle.
    Selon l’indice du mois de juin établi par Boursorama et le site de Particulier à Particulier (PAP.fr), le prix de vente des appartements aurait même diminué de 0,05% au cours du mois de juin, limitant la hausse à 0,54% sur l’ensemble du premier semestre.
    > soulignent les auteurs de cette étude, portant sur plus de 14 000 transactions réalisées dans les huit principales agglomérations françaises.
    Cette étude est donc à mettre en parallèle avec celle du BIPE, qui mise sur une baisse de 3% des transactions en 2007, sans toutefois s’accompagner d’une baisse des prix.
    Reste désormais à savoir si le second semestre 2007 se cantonnera à une stagnation des prix ou si il s’engagera, comme aux Etats-Unis ou en Espagne, vers une net reflux.
    url :http://www.mediassur.com/Immobilier-les-prix-commencent-a-baisser_a262.html

  26. Donnez le lien du site, pas d’une ville… et laissez les gens choisir la ville. Vous pouvez donnez votre ville… la citer.
    A chaque connexion, les lecteurs du site gonflent artificiellement la population de la ville dont vous donner LE LIEN.
    J’ai eu raison je pense, c’est un jeu, ne le faussez pas.
    http://ituscity.miniville.fr/search

  27. La hausse des taux risque d’amplifier la décélération du marché de l’immobilier (Le Monde 30.06.07)
    L’envolée des taux de crédit inquiète les banquiers. Ils craignent de voir se réduire les achats immobiliers des Français. Sur les cinq premiers mois de 2007, la souscription de nouveaux crédits n’a progressé que de 1 % par rapport à la même période un an auparavant. Les montants prêtés ont grimpé de 5 %, hausse partiellement compensée par une baisse des transactions de 4 %. « Le temps du crédit à moins de 4 % est révolu », constate Christophe Cremer, PDG du site Internet de courtage Meilleurtaux.
    Depuis octobre 2005, point le plus bas – on pouvait alors emprunter à moins de 3,25 % -, la hausse des prêts immobiliers est constante et devrait se poursuivre. Un bond qui devrait avoir des conséquences pour les emprunteurs : lorsque le taux d’un prêt de 150 000 euros sur 20 ans passe de 3,25 % à 4,20 %, sa mensualité augmente de 74 euros (+ 6,5 %).
    Jusqu’à présent, les banques, engagées dans une vive compétition, répercutaient les hausses de taux de la Banque centrale européenne (BCE) avec parcimonie, préférant réduire leur marge, voire y renoncer.
    Cette politique n’est plus tenable : « On n’a jamais vu un tel écart, en faveur des emprunteurs, entre les taux de référence et ceux facturés puisqu’il atteint entre 30 et 50 points de base (0,3 % voire 0,55 %) », explique Geoffroy Bragadir, directeur général d’Empruntis, autre site Internet de courtage de prêts.
    RECUL DES TRANSACTIONS
    Philippe Stolz, responsable du marché des crédits à l’habitat chez BNP Paribas, reconnaît que sa banque, qui a déjà relevé ses barèmes de crédit immobilier, va devoir encore « procéder à des ajustements ». « Par petites touches de 0,05 % les banques révisent leurs tarifs. Elles auront comblé leur retard d’ici mi-juillet », pronostique M. Bragadir. On pourra alors emprunter sur 15 ans à 4,15 % et, sur 20 ans, à 4,30 %.
    Depuis fin 2006, les banquiers resserrent leurs conditions de crédits, se montrent plus exigeants sur l’apport personnel et vigilants sur le taux d’endettement.
    La première conséquence est que la mesure de déductibilité des intérêts d’emprunt à hauteur de 20 %, annoncée par le nouveau gouvernement, est d’ores et déjà absorbée par la hausse des taux, pour les nouveaux acquéreurs. Ce crédit d’impôt pendant cinq ans devrait, toutefois, leur apporter une petite bouffée d’oxygène et rendre les banquiers un peu plus bienveillants sur les dossiers à la limite de l’endettement.
    En revanche, les acheteurs des années passées bénéficieront à plein de l’aubaine fiscale, ce qui ne contribue guère à stimuler le marché. « Il serait plus efficace que cette mesure soit ciblée sur les nouveaux accédants, et d’un montant plus conséquent, afin d’être plus « solvabilisatrice » », suggère Jean-Michel Six, responsable d’études chez Standard & Poor’s.
    Deuxième conséquence, la décélération du marché, déjà à l’oeuvre depuis l’automne 2006, va s’amplifier. Conjuguée à la cherté des logements, la hausse des taux va, en priorité, décourager les primo- accédants : « Par rapport aux 750 000 opérations d’accession réalisées en 2006, il faut s’attendre à un recul, en 2007, de 25 000 opérations, soit 3 % à 4 % de moins », prédit Cyril Blesson, économiste au Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE).
    Isabelle Rey-Lefebvre

  28. A propos du marché américain, l’article « So Much for the Spring Selling Season! » est baissier/bearish à fond :
    http://www.moneyandmarkets.com/press.asp?rls_id=838&cat_id=6
    Je cite :
    « You see, the nationwide supply glut in the new home market is extremely large.  »
    Ou encore :
    « If you’re selling […] pricing below other recent comparable sales is a great way to do it. »

  29. C’est pas de l’immobilier mais remis dans le contexte des dernières mesures fiscales celà prête à réfléchir!
    La dette publique a augmenté de 33,7 milliards d’euros
    [2007-06-29 12:15]
    PARIS (Reuters) – La dette publique de la France a augmenté de 33,7 milliards d’euros au premier trimestre 2007 pour atteindre 1.175,9 milliards d’euros soit environ 65% du PIB contre 1.142,2 milliards et 63,7% du PIB à fin décembre, selon les données publiées par l’Insee.
    La dette de l’Etat a progressé de 31,1 milliards d’euros sur les trois premiers mois de l’année et celle des organismes de sécurité sociale de 7,6 milliards.
    La dette des administrations publiques locales a diminué, comme c’est traditionnellement le cas au premier trimestre, de quatre milliards d’euros contre une baisse de 2,9 milliards un an plus tôt, précise l’Insee dans un communiqué.
    La dette des Organismes divers d’administrations centrales (ODAC) a diminué de un milliard.
    Outre la dette de l’Etat (915,1 milliards d’euros à fin mars), la dette publique au sens du traité de Maastricht prend en compte celle des administrations de sécurité sociale (48 milliards), des administrations publiques locales (123,4 milliards) et des ODAC (89,5 milliards).

  30. Vous êtes apparamment l’AI qui a fait un site soit disant « haussier » mais qui in fine ne fait que villipander les « baissiers » de manière carricaturale et le plus souvent sans valeur ajoutée.
    Dommage, l’idée était bonne. Il aurait été intéressant d’avoir un site haussier sérieux pour avoir une vision différente.

  31. Les haussiers ressemblent de plus en plus à des dinausaures, en voie d’extinction.
    Comment peut-on être encore haussier?
    Stagnassier à la limite!

Les commentaires sont fermés.