(13 commentaires)

  1. Françafrique : le réseau Chirac, la relève Sarkozy ?
    Nicolas Sarkozy pourrait aussi compter sur Michel Roussin.

  2. C’est sur que les casserolles de Chirac vont aussi tomber ..
    celles de Mitterand et de sonfils au Togo sont pas mal non plus ..
    J’avais regardé un temps .. mais je suis partie en courant tellement ca sentait mauvais .. 😉

  3. ah ah ah, ce que je viens de trouver … on retrouve les mêmes:)
    je reviens

  4. M. Jean-Christophe Mitterrand, fils de l’ancien président, surnommé « Papamadit », a été mis en examen et écroué cette nuit, dans le cadre d’une enquête sur un trafic d’armes entre la France et l’Afrique ; il vient de demander sa libération.
    L’écrivain Paul-Loup Sulitzer, mis lui aussi en examen, a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire.
    La liste est longue : Jean-Christophe Mitterrand, fils de l’ancien président de la République, a été mis en examen cette nuit pour « complicité de trafic d’armes, trafic d’influence par une personne investie d’une mission de service public, recel d’abus de biens sociaux, recel d’abus de confiance et trafic d’influence aggravé ».
    Il a été écroué et a passé la nuit à la prison de la Santé. Son avocat a fait appel dès ce matin du placement en détention de son client. Il a demandé la mise en liberté de son client en référé, procédure qui aboutit rarement, mais qui a profité dernièrement à Michel Roussin.
    Maître Jean-Pierre Versini-Campinchi a par ailleurs précisé que son client « a reçu 1,8 million de dollars car il était intervenu dans des opérations de financements bancaires qui n’ont rien à voir avec un trafic d’armes. C’est complètement régulier », a-t-il ajouté.
    L’argent transitait vers un compte en Suisse. D’après Le Monde, Jean-Christophe Mitterrand a expliqué lors de sa garde à vue de jeudi que sur ces 1,8 millions, 700 000 dollars lui appartenaient. Il se serait juste servi du compte pour entrposer l’argent.
    Paul-Loup Sulitzer a été lui aussi mis en examen, mais il a pu passer la nuit en liberté, sous contrôle judiciaire.
    Les deux hommes sont soupçonnés d’avoir reçu de grosses sommes d’argents pour faciliter, en 1993 et 1994, une vente d’armes au régime du président angolais José Eduardo dos Santos.
    Jean-Christophe Mitterrand connait bien l’Afrique : de 1986 à 1992, il a été le conseiller pour les Affaires africaines à l’Elysée.
    Pierre Falcone, dirigeant de l’entreprise de vente d’armes Brenco International, aurait profité des relations de ce dernier pour vendre des armes russes à l’Angola.
    Et, pour les services rendus, aurait versé plusieurs centaines de milliers de francs au fils de l’ancien président. Qui, pour l’instant, n’a pas reconnu avoir touché cet argent.
    En revanche, M. Sulitzer a reconnu, d’après son avocat, avoir reçu 1,2 millions de francs de la même société, pour « une prestation qu’il appartient à la justice de qualifier ».
    L’affaire pourrait bien toucher d’autre personnes. Le 1er décembre dernier, une perquisition avait été menée non seulement au domicile de Jean-Christophe Mitterand, mais aussi chez Jacques Attali, chez Jean-Charles Marchiani (RPF), au siège du Rassemblement pour la France, le parti de Charles Pasqua et au Conseil général des Hauts-de-Seine, présidé également par Charles Pasqua.
    L’ancien directeur général de la Sofremi (Société française d’exportation du ministère de l’Intérieur), Bernard Poussier, a été mis en examen et écroué la semaine dernière dans cette affaire.
    Jean-Noël Tassez, ancien président de la Sofirad, est également poursuivi mais a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire.
    Leurs noms apparaissent sur des disquettes informatiques, saisies par les enquêteurs et comportant une liste de personnes et de sociétés rémunérées par Brenco International en marge de contrats d’armement.
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    Sofremi et Sofirad … cf. Dassault en Libye … on reboucle ..
    http://www.denistouret.net/constit/Mitterrand_JC.html#reste%20en%20prison

  5. ce que j’aime c’est qu’au moins , ca met tout le monde d’accord … Mitterrand et Pasqua … vaste sujet …

  6. La cela devient carrément « truculent » … 🙂
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    Jean-Christophe Mitterrand et Pierre Pasqua, les fils cachés de la Françafrique
    Tentant de justifier les « cadeaux de divorce » consentis à son épouse Fatima Belaïd, pour un montant d

  7. Passé à l’as .. cause élection …
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    10.04.2007
    Renvoi en correctionnel pour 42 personnes suspectées d’être impliquées dans des ventes d’armes à l’Angola

  8. Affaire des lycées d’Ile de France : sanctions pour entente de 47,3 millions d’euros
    Le Conseil de la Concurrence a puni douze entreprises de BTP dont Bouygues, Eiffage et Vinci pour s’être réparti les marchés publics avant les appels d’offre dans les années 1990
    Le Conseil de la Concurrence a sanctionné 12 entreprises appartenant à des groupes de BTP à hauteur de 47,3 millions d’euros, pour « entente générale » dans l’affaire de la rénovation des lycées d’Ile-de-France. Les sociétés condamnées sont Bouygues SA et Bouygues Bâtiment IDF, Gespace France, Brézillon, Compagnie générale de bâtiment et de construction, Société industrielle de constructions rapides, Fougerolle, Spie-SCGPM, Vinci construction, Eiffage construction, Spie SA (ancienne Amec SA) et Boutonnat.
    « Les entreprises se répartissaient les marchés avant les appels d’offre lors de réunions tours de table « , estime le Conseil dans un communiqué. Cette entente a « duré sept ans sous l’égide de Patrimoine Ingénierie, assistant du maître d’ouvrage », qui donnait « en amont les informations aux entreprises sur les opérations à venir » et veillait « en aval à ce que l’entreprise pressentie obtienne bien le marché ». « Le mode opératoire était toujours le même et a permis à l’entente de fonctionner sur la durée », ajoute le Conseil qui dénonce « l’extrême gravité du comportement des entreprises ».
    « Cette entente généralisée a causé un dommage particulièrement grave à l’économie », souligne le Conseil de la concurrence qui justifie ainsi « le prononcé de sanctions exemplaires ». « En mettant en place de telles ententes, des entreprises du BTP, parmi les plus importantes, ont délibérément violé les règles de concurrence et ont pu réaliser indûment des marges bien supérieures aux marges habituellement constatées dans le secteur », insiste le Conseil.
    Il rappelle que les dirigeants de certaines des sociétés incriminées ont déjà été condamnés au pénal dans ce dossier. Le Conseil, qui s’est « saisi d’office », s’est appuyé sur « les déclarations concordante recueillies au cours de l’instruction pénale ». Dans cette affaire qui fut l’un des principaux scandales politico-financiers des années 1990, Michel Roussin, ex-bras droit de Jacques Chirac à la mairie de Paris, et Louise-Yvonne Casetta, ancienne adjointe des trésoriers du RPR, prédécesseur de l’UMP, ont été condamnés à des peines de prison avec sursis.
    Entre 1989 et 1996, 14 sociétés, « dont certaines issues d’une restructuration de plusieurs entreprises et appartenant aux six grands groupes de BTP opérant en France au cours de la période concernée, se sont livrées à une entente générale et continue pour se répartir 88 marchés publics d’un montant total de 10 milliards de francs ». Le seul programme de rénovation des lycées en IDF a conduit « la collectivité à attribuer 241 marchés publics de travaux pour un coût global de 23,3 milliards de francs dont faisaient partie les 88 marchés en cause ».
    « Compte tenu de ces éléments », les amendes infligées représentent 5% de leur chiffre d’affaires, « soit le maximum autorisé par la législation alors applicable ». Les nouvelles dispositions du Code du commerce permettent désormais des amendes à hauteur de 10% du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise.
    Liste des sanctions :
    -Bouygues SA : 3,213 millions d’euros
    -Bouygues Bâtiment Ile-de-France SA: 20,765 millions d’euros
    -Gespace France SA: 242.100 euros
    -Entreprises de Travaux publics André et Max Brézillon: 13,338 millions
    -Compagnie générale de Bâtiment et de construction SA: 9.200 euros
    -Société industrielle de constructions rapides: 516.300 euros
    -Fougerolle SAS 7.600 euros
    -Spie-SCGPM: 7,341 millions d’euros
    -Vinci Construction: 270.200 euros
    -Eiffage Construction: 527.500 euros
    -Spie SA (ex Amec SA): 1,078 million d’euros
    -Nord France Boutonnat: 6.300 euros.
    http://www.lesechos.fr/info/france/300167664.htm

  9. Et dire qu’ils accusent les soi-disants anarchistes de ne pas respecter la loi …
    comment voulez vous que certains n’aient pas envie de réagir quand politique rime à 100 % avec magouille .

  10. > comment voulez vous que certains n’aient pas envie de réagir quand politique rime à 100 % avec magouille.
    Parce que brûler des voitures dans la rue empêchera les magouilles ?!
    Qu’ils brûlent les politocards !
    Ce genre de réflexion est le reflet de la marxisation des esprits dont la France n’est toujours pas sortie.

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