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  1. C’est normal, il ne lui reste plus que la fonction de 1er ministre qu’il espère obtenir si Royal gagne. Finalement, il n’est pas si différent des autres, aveuglé par le pouvoir…

  2. PARIS, 3 mai (Reuters) – Nicolas Sarkozy considère que François Bayrou a pris date pour l’élection présidentielle de 2012 en indiquant qu’il ne voterait pas pour lui dimanche au second tour, face à Ségolène Royal.
    « Je respecte le choix de François Bayrou, je ne sais pas pourquoi il s’est mis dans cette situation, nos programmes sont très proches, nous avons été amis pendant des années », a déclaré le candidat de l’UMP jeudi sur France 3.
    « Je crois qu’il se pré-positionne déjà pour la présidentielle de 2012. J’ai envie de lui dire ‘reste calme’, il y a déjà celle de 2007 à faire, on est pas en 2012 », a-t-il ajouté.
    Nicolas Sarkozy a insisté sur le fait que « tous les élus » du président de l’UDF l’avaient rejoint et que « les dernières études montrent que la majorité des électeurs de l’UDF aujourd’hui me rejoignent. »
    François Bayrou a déclaré au qutodien Le Monde qu’il ne voterait pas au second tour pour Nicolas Sarkozy, sans toutefois préciser s’il opterait pour le bulletin blanc ou pour la candidate socialiste.
    A l’entendre Nicolas Sarkosy est le seul calme est tous ses adversaires sont énervés !

  3. François Bayrou reste la personnalité politique préférée des Français, selon un sondage
    PARIS (AP) – François Bayrou reste la personnalité politique préférée des Français parmi celles qu’ils souhaitent voir jouer un rôle important au cours des mois et des années à venir, selon un sondage TNS Sofres pour « Le Figaro Magazine » publié jeudi.
    Avec 65% d’avis favorables (66% à gauche, 65% à droite), le leader centriste gagne 10 points par rapport au même baromètre du mois d’avril. Il devance les deux finalistes de l’élection présidentielle.
    Nicolas Sarkozy, candidat de l’UMP, recueille 56% (83% à droite, 25% à gauche), en hausse de 7 points, contre 52% (85% à gauche, 29% à droite) pour la candidate socialiste Ségolène Royal, qui progresse de 6 points.
    Les deux principaux « Premier-ministrables », Jean-Louis Borloo à droite et Dominique Strauss-Kahn à gauche, avancent tous deux d’un point, respectivement à 46% et 41%.
    Quant aux partis politiques, 55% des personnes interrogées disent avoir une bonne opinion de l’UDF, contre seulement 31% d’un avis contraire. Le parti centriste fait mieux que l’UMP (48% contre 41%), les Verts (46% contre 43%), le PS (45% contre 45%), le PCF (25% contre 60) et le FN (16% contre 77%).
    – sondage réalisé les 25 et 26 avril auprès d’un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de l’ensemble de la population âgé de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

  4. Mieux que dans les Deux sevres !!!
    Ségolène Royal réalise son meilleur score en Algérie
    Plus de 52% des suffrages exprimés dans les bureaux d

  5. Le Premier ministre algérien accuse Sarkozy de vouloir « réhabiliter » l’OAS
    PARIS – Le Premier ministre algérien Abdelaziz Belkhadem a accusé le candidat de droite à la présidentielle française Nicolas Sarkozy de vouloir réhabiliter l’Organisation de l’Armée Secrète (OAS) qualifiée de « précurseur d’Al-Qaïda », dans une interview au journal Le Monde publiée jeudi.
    Selon M. Belkhadem, Nicolas Sarkozy veut « réhabiliter l’OAS », organisation créée en 1961 qui avait tenté, notamment par le terrorisme, de s’opposer à l’indépendance de l’Algérie.
    « L’OAS était une organisation criminelle, une organisation terroriste du même type qu’Al-Qaïda aujourd’hui. Elle été le précurseur d’Al-Qaïda, d’une certaine façon », a estimé M. Belkhadem.
    L’OAS, organisation politico-militaire fondée par des ultras de l’Algérie française, avait multiplié les attentats aveugles et les assassinats et tenté de tuer le général de Gaulle, alors président français.
    Fin avril, le quotidien Le Monde avait fait état d’une lettre de M. Sarkozy à des associations de rapatriés français d’Algérie, dans laquelle il affirmait sa volonté de ne pas « sombrer dans la démagogie de la repentance ».
    M. Sarkozy souhaitait que les « victimes françaises innocentes » de la guerre d’indépendance et « tout particulièrement les victimes du 26 mars 1962 » se voient reconnaître la qualité de « morts pour la France ».
    Ce jour là, l’armée française avait tiré dans la foule lors d’une manifestation à l’appel de l’OAS à Alger, faisant une cinquantaine de tués.

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