C’est le moins que l’on puisse dire ! La situation n’est pas rose et cette flambée de l’immobilier, si elle ennuie, préoccupe voire immobilise les classes moyennes, et même moyennes supérieures, tourne au drame pour les classes les plus modestes.
Un fidèle lecteur de province, D.O., nous a fait parvenir un texte qui ne laissera pas de marbre les professionnels de la vente les plus endurcis, qui savent que leur survie nécessite parfois de vendre « du malheur en boite ». Source : A qui profite la hausse de l’immobilier ?
« Selon la Préfecture de police de Paris, le nombre d’expulsions locatives effectuées dans la capitale depuis le début de l’année, pour des problèmes d’impayés, a augmenté de 48% par rapport à la même période l’année dernière. Cela représente 665 expulsions, contre 445 en 2005.
Ce chiffre souligne encore à quel point la solvabilité des ménages a été mise à mal par la flambée des loyers de ces dernières années. Nous sommes ainsi dans une situation où les locataires, comme beaucoup de propriétaires endettés sur 25 ans ou plus, consacrent une très grosse partie de leur budget au logement, ce qui leur confère un niveau de vie de plus en plus faible. »
La suite de l’article : A qui profite la hausse de l’immobilier ?
La poursuite de la hausse de l’immobilier semble improbable, OCDE
immobilier = frein à la croissance et consommation intérieure ?
C’est un long débat, mais oui !
Les modestes trinquent mais les classes moyennes doivent compter leurs sous auj.
un article très intéresant, en effet
Merci Florin 🙂