Dans une interview à paraître jeudi dans La Tribune, le nouveau patron de Michelin, Michel Rollier, affirme qu’il veut « accélérer le rythme » des « gains de productivité et de réductions de coûts », grâce aux départs en retraite et sans licenciement.
Le groupe avait annoncé vendredi qu’il avait décidé de vendre son usine de Poitiers, dont les activités de production de pneumatiques poids lourds ont été transférées à Tours. Les conditions de cette cession feraient l’objet de discussions avec la société d’immobilier logistique ProLogis.
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