Cash, désendettement et commandes sont sortis supérieurs aux attentes du marché.
D’où le bond de 7%, hier, de la valeur dans de gros volumes (200 millions de titres).
L’amélioration tendancielle du sort d’Alstom fait dire à son PDG qu’Alstom n’a « besoin de personne ». Mais le groupe a pour obligation (Bruxelles) de nouer des partenariats industriels et capitalistiques dans les 4 ans.
Son dilemme est alors le suivant : attendre le plus possible en souhaitant que son redressement lui permette de mieux négocier ses rapprochements, mais risquer alors de rater de grands appels d’offres – en particulier dans le domaine des trains à grande vitesse.
Une union avec Siemens dans ce domaine diminuerait ce risque.
Boursiers, suivez la tendance.