Honnêtement je m’en doutais. Mais pas eu trop le temps de chercher ces derniers temps.
C’est désormais un article du Monde – lequel est loin d’être réputé comme un site conspirationniste – qui confirme mes « impression » premières.
Mais de quoi veux-je parler me direz-vous ? d’éventuelles « accointances » entre les nouveaux dirigeants italiens et grecs et les « grands » de ce monde … ou plutôt des financiers qui tirent actuellement les ficelles sur notre planète … et en tout premier lieu Goldman Sachs.
Google lui-même ne s’y est pas trompé, proposant d’emblée d’associer le nom de la célèbre banque à Mario Monti dans son moteur de recherche.
Un article du Monde révèle en effet que – et ce n’est pas un simple hasard – le nouveau président de la Banque centrale européenne Mario Draghi, le nouveau Président du conseil italien Mario Monti et le nouveau premier ministre grec Lucas Papadémos appartiennent à ce que l’on surnomme le « gouvernement Sachs » européen.
N’oublions pas en effet que Mario Draghi fut ni plus ni moins vice-président de Goldman Sachs pour l’Europe durant la période 2002-2005.
Mieux encore : devenu « associé », il est chargé des « entreprises et pays souverains ». Une fonction qui le conduit tout droit à remplir une mission de toute première importance. A savoir : multiplier le nombre d’acquéreurs d’une pilule supposée miracle mais devenue à terme très difficile à avaler : le produit financier dénommé « swap » … lequel aura notamment pour « avantage » de permettre de dissimuler en partie de la dette souveraine. Une « solution « de toute première importance quand il s’agit d’afficher des comptes grecs en bien meilleure santé que dans la « vraie vie ».
est quant à lui conseiller international de Goldman Sachs depuis 2005.
Le journal italien « Il Fatto Quotidiano », repris par Courrier International, parle même de ce fait de « gouvernement Napolitano-Monti-Goldman Sachs « , rappelant que depuis six ans, Mario Monti est conseiller pour la banque américaine en qualité de membre du Research Advisory Council du Goldman Sachs Global Market Institute.
Lucas Papadémos fut pour sa part gouverneur de la Banque centrale grecque entre 1994 et 2002. A ce titre, il a lui aussi collaboré à l’opération de falsification des comptes réalisée par Goldman Sachs.
En février 2010, alors que certaines rumeurs laissaient entendre que des banques américaines – et non des moindres – pourraient être derrière les spéculations visant la Grèce, le New York Times affirmait de son côté que des banques de Wall Street – telles que Goldman Sachs – auraient usé d’instruments financiers complexes en vue « d’aider » Athènes à dissimuler l’ampleur de sa dette.
Des montages, précisait le journal, « de même ordre que ceux qui ont été à l’origine de la crise financière outre-Atlantique »
Selon le New York Times, citant « des personnes au courant de la transaction« , un montage élaboré par Goldman Sachs aurait ainsi permis en 2001 d’aider le gouvernement grec à emprunter des milliards. Un « soutien » qui serait intervenu quelques temps après l’adhésion d’Athènes à l’Union monétaire européenne.
Sous la forme d’une transaction sur devises, et non d’un prêt, l’opération aurait pu ainsi être tenue éloignée des yeux du public. Une méthode qui en diminuant de facto le montant officiel des emprunts contractés par la Grèce aurait également trompé les régulateurs et les investisseurs sur la réalité de l’endettement du pays.
L’action de la banque américaine aurait donc permis à Athènes de respecter les règles édictées par Bruxelles en matière de déficit …. tout en continuant de vivre au-dessus de ses moyens.
Goldman Sachs n’ayant rien d’un philanthrope, la banque aurait rémunéré ses « services » à hauteur de quelque 300 millions de dollars. C’est en tout cas ce qu’affirmait alors le NYT citant « plusieurs banquiers au courant de la transaction« .
Le journal précisait encore que début novembre 2009, une équipe de Goldman Sachs, dirigée par son président Gary Cohn, se serait rendue à Athènes en vue de lui proposer un autre montage financier, une sorte de méthode « miracle » pour s’affranchir à moyen terme du poids de la dette sociale. Le mécanisme n’ayant toutefois pas été retenu.
Certains affirmaient également alors que des banques US pourraient tirer les ficelles, histoire de plomber la zone euro. ….. et de pouvoir proposer à terme à la Grèce des emprunts à des taux prohibitifs.
Sources : Le Monde, AFP, Reuters, Courrier International, Il Fatto Quotidiano, Bloglibé
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