Rien – ou presque – ne semble pouvoir arrêter la chute du prix du baril, les marchés demeurant inquiets quant à une reprise de plus en plus incertaine, les récents propos de la Fed à ce sujet les ayant largement refroidis. Vendredi, le prix du brut a chuté une nouvelle fois, affichant une baisse depuis désormais quatre séances d’affilée.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en septembre a ainsi terminé à 75,39 dollars, en recul de 35 cents par rapport à la veille.
La perte se chiffre désormais à plus de six dollars, en régression de 7,5% sur les quatre dernières séances.
Des indicateurs économiques décevants, une prévision de la demande revue à la baisse et la progression des stocks détournent actuellement les investisseurs des marchés pétroliers.
Si l’indice de la confiance des consommateurs américains mesuré par l’Université du Michigan a quelque peu rebondi en août, il demeure inférieur aux estimations initiales. Les ventes de détail et les prix à la consommation ne sont remontés que très légèrement quant à eux, après plusieurs mois de baisse.
Sources : AFP, Reuters
Et en France, on s’enflamme à la vue d’un taux de croissance plus proche de 0 qu’autre chose…
Ce n’est pas demain que cette crise mondiale se terminera !
Non, elle ne fait que rellement commencer pour la plupart d’entre nous
Bravo à l’Allemagne
Mais les prix à la pompe reste figés et ce, d’autant plus que le dollar chute, les ventes de voitures chutent aussi, sans compter les moindres kilomètres parcourus en raison de la crise. L’offre est pléthorique et les majors continuent d’engranger des supers bénéfices. Les goinfres ! Jamais rassasiés.
chute des prix du baril qui influe beaucoup sur les valeurs pétrolières à la bourse et ne devrait pas enchanter les pays du Golfe (encore moins la Russie!)