Ah les rumeurs … que devriendrions nous sans elles ?
Alors que la Grèce doit faire face à des rumeurs pour le moins alarmantes, tel n’est pas le cas de Palm.
L’action du fabricant d’agendas électroniques et de terminaux mobiles, dont le « smartphone » s’est littéralement envolée à la Bourse de New York mercredi, bénéficiant de bruits concernant un possible rachat.
Le titre Palm a ainsi progressé de 20 % en une seule journée, s’échangeant désormais à 4,62 dollars. Une fabuleuse aubaine pour les actionnaires du groupe alors que ce dernier accumule de lourdes pertes ces derniers mois.
Le faible niveau de ventes opérées par le groupe conduit actuelelment les marchés à s’interroger sur sa viabilité et donc son avenir … Tant et si bien que le rachat semble désormais être la meilleur solution aux yeux de ceratins analystes.
Mais quel pourrait être l’éventuel acquéreur ? Le nom de Lenovo a circulé mercredi.
Certains experts ne souhaitent toutefois accorder aucune crédibilité aux spéculations, considérant avant tout le groupe comme une entreprise « non rentable qui consomme de la trésorerie et perd des parts de marché ».
« Nous pensons que les ennuis de Palm ne peuvent que s’aggraver car les opérateurs de télécommunications et les fournisseurs remettent de plus en plus en question sa solvabilité et lui retirent leur soutien. Avec environ 12 mois de trésorerie disponible, des flux négatifs de plus en plus élevés, un manque total de visibilité sur les résultats, un montant considérable de dettes et de titres préférentiels, nous pensons que l’action ordinaire n’a plus aucune valeur », déclarait pour sa part Morgan Joseph le 19 mars dernier, après publication des prévisions et chiffres de ventes concernant les smartphones.
A cette date le titre s’était effondré de 18,94% à 4,58 dollars, le fabricant de smartphones annonçant un objectif de ventes trimestrielles particulièrement décevants. Pour le quatrième trimestre, le groupe table ainsi sur un chiffre d’affaires de 150 millions de dollars, inférieur de moitié au consensus. Une situtation qui serait due à la nécessite pour les clients opérateurs de Palm d’épurer leurs stocks. Si le groupe a en effet livré 960 000 smartphones au cours du trimestre précédent, seulement 408 000 ont été effectivement vendus aux consommateurs.
Sources : AFP, Reuters, Dow Jones Newswire, AOF
Shares of Palm Inc. jumped 20 percent Wednesday on reports that Lenovo Group might be interested in buying the company.
Sunnyvale-based Palm (NASDAQ:PALM) closed at $4.62 after going as high as $4.74 during the day’s trading.
That was the highest closing price for the wireless device maker since March 18. Palm stock has tumbled about 60 percent this year as the company struggles with disappointing sales of its Pre and Pixi smartphones.
Lenovo Group, based in China, is a computer technology company.
Kaufman Bros. analyst Shaw Wu told Marketwatch that he wasn’t sure Lenovo could pull off a ourchase of Palm, suggesting that other possible buyers include Hewlett-Packard Inc. (NYSE:HPQ), Dell Inc. (NASDAQ:DELL) and Cisco Systems Inc. (NASDAQ:CSCO).
« HP is definitely more plausible, » the news site quoted Wu as saying.
Read more: Palm shares jump on takeover speculation – Silicon Valley / San Jose Business Journal:
The spark behind Wednesday’s trading, according to Dow Jones Newswires, was a rumor that Chinese computer maker Lenovo was eyeing the company for a potential takeover bid.
The company made no official announcement. But Lenovo CEO Yang Yuanqing told a German newspaper that the company was considering making more acquisitions to build out its mobile Internet business, though Palm was never mentioned. The CEO has made similar comments in past interviews with other publications.
Digits: Battle for the Mobile Ad Space Heats UpThe Federal Trade Commission appears to be laying the groundwork for an antitrust challenge to Google’s proposed purchase of mobile-advertising company AdMob. Plus, WSJ’s Katherine Boehret joins Digits with a rundown of what she says are standout iPad apps.
Some analysts believe that Palm’s only hope to salvage some value may be through a buyout, though many are skeptical that a buyer would be interested given the company’s current struggles to sell its handsets.
But for a company looking to break into the U.S. wireless business, Palm offers the attractive combination of a new mobile operating platform and relationships with carriers.
« If you want a seat in the U.S. market, i.e. carrier relationships and an established brand, than you have to buy in, » said Matt Thornton of Avian Securities on Wednesday. « Lenovo has no shot doing it on their own. »
Jeudi 8 avril 2010 :
Grèce : les Grecs au guichet pour retirer leur argent.
La situation de la Grèce angoisse ses habitants, qui auraient déjà retiré auprès des quatre principales banques environ 10 milliards d’euros. Les banques grecques demandent à l’Etat de les aider, au moment où les taux obligataires sont au plus haut.
Sur les seuls deux premiers mois de l’année, les Grecs ont retiré de leurs comptes bancaires environ 4,5 % du total de l’argent dans le système bancaire du pays, d’après la Banque centrale grecque.
Les quatre plus grosses banques grecques – National Bank of Greece, EFG Eurobank, Alpha Bank et Piraeus Bank – déplorent l’évaporation d’environ 10 milliards d’euros des comptes de dépôts, et implorent le gouvernement de les aider, rapporte le Financial Times dans son édition de jeudi.
George Papaconstantinou, le ministre des Finances, a indiqué mercredi que l’ensemble des banques avaient demandé les 28 milliards d’euros restants du plan de soutien financier apporté par l’Etat aux banques au plus fort de la crise en 2008.
Ces appels au secours interviennent alors que les taux d’intérêts grecs ont battu des records cette semaine. Ce jeudi, le rendement (taux) de l’obligation grecque à 10 ans a atteint 7,31 %. Un record historique.
Les rendements grecs s’éloignent ainsi du taux de référence, le Bund allemand, le fossé entre les deux se creusant à plus de 400 points de base (4 points de pourcentage).
Les marchés ont réagi au jugement d’Athènes, selon lequel les mesures proposées par le FMI sont trop sévères. «C’est une des raisons, mais il y en a d’autres, comme des investisseurs qui se trouvent forcés de vendre parce que les taux sont maintenant trop élevés», explique Jean-François Robin, analyste chez Natixis.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/04/08/04016-20100408ARTFIG00381-les-grecs-au-guichet-pour-retirer-leur-argent-.php
Jeudi 8 avril 2010 :
le taux de l’obligation d’Etat grecque à 10 ans était à 7,350 %, contre 7,161 % la veille à la même heure. Le différentiel obligation grecque / Bund allemand à 10 ans, particulièrement suivi par le marché, s’est élargi à plus de 426 points de base, là encore un record.
http://www.romandie.com/infos/news/201004081923210AWP.asp
Lundi 29 mars : l