(15 commentaires)

  1. Ca me fait penser à la « vallée de la mort » au sud de Lyon … on ne fait qu’attendre l’accident(s) depuis des années !

  2. Euh oui mais… j’ai plutot l’impression que ca avait fait peur aux journalistes de la depeche du midi.
    Sinon on va finir par faire interdire les feux d’artifices à Castres pour ne pas se rappeler des tombés du 8.
    Il faut rappeler aussi que l’explosion n’est pas le seul élément fumeux de l’affaire, il y a aussi tout ce qui tourne autour de l’implantation et l’expansion de l’usine comme par exemple le risque limité de la proximité de la rocade parce que la vitesse limitait le temps passé de véhicules et donc le risque.

  3. Premiers commentaires sur le dernier livre de Marc Mennessier :
    Considérant que M. Mennessier est un journaliste scientifique comme cela est mentionnée en dos de couverture, ce livre me paraît très inégal.
    On sent tout d

  4. cf.
    http://femme-en-islam.over-blog.org/article-3262071.html
    « Louange à Allâh qui t’a fait agir conformément à ce qu’Il aime et ce que j’aime. Viens plus près de moi mon fils, que je puisse sentir et humer ton corps car cette rencontre est peut-être la dernière ».
    Désignant son armure, elle dit: « Ceci, mon fils, n’est pas l’accoutrement de celui qui desire le martyre.

  5. Disponible à Montpellier : chez Sauramps
    Je suis à demi-surpris que son editeur Seuil et la direction de son journal Le Figaro, ne soutiennent pas Marc Mennessier.
    Ce livre dérange beaucoup la justice Française et dénonce toute la mascarade en place dans l’affaire AZF mais il a aussi le mérite de dévoiler la complicité des responsables de la Commission d’Enquête Interne de Grande Paroisse dans l’établissement de ce mensonge d’Etat chimique. Là on cible quelques amis haut-placés en politique et bien introduits dans les réseaux internationaux.
    Même si Marc Mennessier a largement sous-évalué les magouilles des experts et des responsables scientifiques dépendant du CEA Militaire, même si la piste terroriste abordée par M. Mennessier mériterait largement plus d’investigation faute d’avoir vu toutes incohérences et tous les manquements sur les pistes sismiques et électromagnétiques, son attaque argumentée contre certaines personnes de Grande Paroisse et donc du groupe Total dérange énormément. Me Soulez-Larivière et Patrick Timbart, qui encore aujourd’hui feignent l’impuissance pour trouver une réponse technique devant l’origine de la catastrophe en sont d’autant plus ridicules !
    Il serait temps que M. Thierry Desmarest montre autre chose que ce qu’il semble savoir faire à merveille depuis l’Erika : toucher beaucoup d’argent pour négocier le silence d’Etat et surtout ne pas rechercher la vérité… mais question utilisation souterraine des terrains des ballastières et stockage non déclaré d’eau lourde encore dans les années 90, ses responsabilités administratives ne sont peut-être entièrement cachées derrière celle de la direction nationale de Grande Paroisse. Les accords militaires entre Total et la DGA pourraient bien se superposer à terme avec ces composantes encore très peu connues. Et puis M. Desmarest ne semble pas vouloir non plus trop froisser les responsables de la direction de la SNPE, qui protègent aussi, par leur silence, les responsables des événements gravissimes survenus dans l’enceinte de l’usine 6 heures avant l’explosion et dont une plainte attend toujours une réponse de la part des Procureurs informés !

  6. A noter dans le livre les attendus concernant le non lieu de Gilles F.
    très interessant, puisque que les attendus eux-mêmes mentionnent la possibilité qu’il y ait eu 2 explosions, la 1ere ayant lieu soit sur le site d’AZF soit sur un site voisin.
    Géant non, et les propos viennent de la justice elle-me^me !!!

  7. Attention Elisabeth, il y à là une interprétation hâtive du texte des attendus pour les simples raisons que la phrase est pauvre en ponctuation et qu’elle est mal tournée. Vient-elle de vous ou du livre de Mennessier ? Je n’ai pas percuté sur ce passage dans son bouquin.
    Voici extraite des attendus la phrase en question:
    « (Pour avoir) Involontairement causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à trois mois sur les personnes, victimes corporelles de l’explosion survenue le 21 septembre 2001 sur le site et à l’extérieur du site de l’usine AZF Grande Paroisse à Toulouse »
    Le texte vise les victimes corporelles sur le site et à l’extérieur du site et non pas une explosion à l’intérieur du site et une autre à l’extérieur. Vous remarquerez en outre qu’il est écrit une explosion, au singulier. Et l’on a du mal à concevoir UNE explosion se produire en deux endroits différents !
    Voilà pour cette phrase pour le moins maladroite. Ce n’est pas la seule de cette histoire.
    Dans cette affaire, tous les mots, chaque ponctuation, voire un simple S à la fin d’un mot peut changer beaucoup de choses et faire espérer là où il n’y à rien à attendre.
    Bien cordialement

  8. Bonsoir bastien31
    j’ai cherche le texte des attendus, et je n’ai pas trouvé
    c’est ce qui est mentionné dans le livre qui m’a fait tilté
    je retrouve le passage exact et le retranscris ici

  9. Selon la justice la catastrophe est due au déversement de produits chlorés pour piscines sur du nitrate d’ammonium entraînant la production de trichlorure d’azote (produit explosif volatile et très sensible) qui aurait provoqué l’explosion un quart d’heure plus tard.
    Une recherche rapide sur le trichlorure d’azote sur internet (google) donne les infos suivantes:
    Le trichlorure d’azote se rencontre dans les piscines par réaction entre le chlore et l’urée contenue dans l’urine des baigneurs. Due à sa faible solubilité dans l’eau, il est volatile et se retrouve donc dans l’air. Il donne l’odeur caractéristique des piscines couvertes. Toxique et très irritant, il est responsable de l’irritation oculaire et respiratoire ressentie par les personnes fréquentant les bassins. Il a de même été utilisé comme gaz lacrymogène.
    Ma question est: Comment se fait il que les personnes qui sont passé dans le hangar quelques minutes avant l’explosion (et après le déversement) n’aient pas senti d’odeur particuliaire comme une odeur de piscine (due à la présence de ce produit)? Ou peut être ont elles senti quelque chose mais aucune info n’existe à ce sujet. Ce serait peut être un point à approfondir.
    D’autre part si on regarde les causes des accidents industriels liés au nitrate d’ammonium (recherche sur internet) il n’y aurait apparemment que 2 causes: soit un incendie prolongé, soit un explosif dans la masse. A toulouse il n’y a pas eu incendie… Si quelqu’un a eu l’idée de mettre une charge de dynamite dans un des tas (reproduisant ainsi la catastrophe d’Oppau qui s’est produit 80 ans jour pour jour avant), peu de chance que ce soit un accident. C’est troublant mais bon je ne suis pas spécialiste et maintenant on ne sait plus trop où est la vérité après tout ce qui a été dit dessus…
    Voir:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d'accidents_industriels_impliquant_du_nitrate_d'ammonium

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