(12 commentaires)

  1. « 1 856 milliards d’euros du budget de l’état français » Gasp ! Are you sure ??? je croyais que le budget tournait entre 250 et 300 Mds

  2. franchement, je trouve malsain que des politiques, s’occupent de la fiannce internationale
    la finance internationale contrairement a ces politique, est bien huilé
    il y a des responsables, et des personnes qui encaissent le choc
    il n’y a pas de faux semblant
    Commence sérieusement a me chauffer ce gouvernement

  3. En bourse, une chose est sûre, c’est qu’il suffit que la majorité des intervenants pensent que la bourse augmente, pour qu’elle augmente et vis versa.
    Qui parie que les politiciens vont demander aux entreprises de tempérer leurs déboires?

  4. @ JC ; vous avez raison, je parlais du PIB. Erreur de plume corrigée maintenant !

  5. Qui parie que les politiciens vont demander aux entreprises de tempérer leurs déboires?
    ——————————————
    ils peuvent, mais comme jusqu’a preuve du contraire c’est le marché qui fais la loi, et non les politiques….

  6. Qui parie que les politiciens vont demander aux entreprises de tempérer leurs déboires?
    ——————————————
    ils peuvent, mais comme jusqu’a preuve du contraire c’est le marché qui fais la loi, et non les politiques….

  7. La définition stricte d’un krach, c’est -30% minimum. Il n’y a pas de contrainte de temps particulière. Regardez le graphique boursorama de l’indice immobilier européen EPRA et vous verrez ce qu’est un krach étalé sur plusieurs mois:
    http://www.boursorama.com/graphiques/graphique_histo.phtml?symbole=3uEPRA.L
    On est presque à -30%, ce qui donne tort aux théorie fumeuses de Miss Lagarde sur la « solidité de l’économie réelle »!

  8. @ Laurent : merci pour la précision. Inquiétant quand même.

  9. Nos politiques sont intimement imprégnés du sentiment d' »optimisme », qu’il se sentent obligés de véhiculer, ne serait ce que pour le moral des Français, indice de confiance je présume. Et pis ça ne coûte pas grand chose, une intervention rapide qui reste finalement dans les mémoires et assez bien perçue, à mon sens, par la population.
    D. Lagarde aurait pu ajouter qu’il était même judicieux de profiter de cette correction pour renforcer ses positions boursières.

  10. Et voilà, ça été rapide : satisfecit des 2 côtés. Comme de bien entendu…
    « Subprimes: Lagarde a reçu le directeur général de BNP après le gel de trois fonds
    La ministre de l’Economie Christine Lagarde a annoncé vendredi avoir reçu dans la matinée le directeur général de BNP Paribas Beaudoin Prot, au sujet des trois fonds d’investissements gelés par la banque en raison de la crise des subprimes, et évoqué leur réouverture « rapide ».
    « J’ai reçu tout à l’heure le directeur général de la BNP, qui m’a fourni des informations dont j’avais besoin concernant les trois fonds dont ils avaient la gestion », a déclaré la ministre sur Europe 1 à la mi-journée.
    « Je sais qu’ils font actuellement un travail actif pour procéder à la réouverture rapide de ces trois fonds », a-t-elle ajouté.
    « On se soucie de ce que font les opérateurs », a-t-elle expliqué, alors que l’annonce le 9 août par BNP Paribas du gel de trois fonds adossés à des portefeuilles de créances liées à des crédits à risques avait accentué la crise sur les marchés boursiers.
    Vendredi matin, Mme Lagarde avait indiqué sur RTL qu’elle souhaitait demander des « explications » à M. Prot « sur la manière dont ils ont délibérément géré ce moment là », en référence au gel des trois fonds.
    Une semaine auparavant, le directeur général de BNP Paribas avait assuré que la liquidité des trois fonds était « totalement assurée ».
    « Je pense que la stratégie adoptée était la leur. Elle était sans doute conforme. Je pense qu’ils sont actuellement en train de réexaminer la manière de communiquer et de gérer sur ce genre de questions », a commenté M. Lagarde.
    BNP Paribas avait assuré lundi travailler « activement à une réouverture dès que possible » des trois fonds, en principe « avant la fin du mois d’août ».
    L’encours de ces fonds, dont les clients sont des investisseurs institutionnels, était estimé par la banque à environ deux milliards d’euros. »

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