(37 commentaires)

  1. Je vous conseille vivement la lecture du NY Times du 21.3 (http://www.nytimes.com/2007/03/21/business/worldbusiness/21sanctions.html?_r=1&oref=slogin), où l’on apprend que l’Allemagne a quand même plus de 6 Milliards $US d’en-courts de crédits exports avec l’Iran et que Monsieur L’Ambassadeur des EU à Madrid conseillait vivement en février à Repsol de ne pas investir dans Pars Sud. Mais à Paris l’ambassadeur n’a pas cet entregent chez Total. D’où la question : qui pilote Philippe Courroye ? Ou autrement, a qui profitent les poux dans la tête de Margerie ?

  2. merci pour vos infos et votre position  » qui pilote Philippe Courroye  » , car le pb est bien là !!

  3. Sur Iran et Repsol ,egalement
    cf.
    Iran-nucléaire : Espagne-Russie dile que si / USA dile que no
    merci aussi pour l’info concernant USA et Repsol

  4. Halliburton vient de « déménager » à Dubai (Emirats Arabes Unis) … ce n’est certainement pas pour rien
    sur USA et Iran et pétroliers texans cf .
    Bush et Iran : ennemis intimes pour le pétrole

  5. Beaucoup de fausses informations dans cet article sans compter les détournements d’informations qui n’ont rien à voir avec l’Iran (contrat Chine, collaboration avec la Russie rapprochement avec MHI…).
    Mais rien d’étonnant, qu’il est facile de faire trembler les gens en manipulant des infos… Un conseil à tous : renseignez vous via Google economie et vous verrez que beaucoup de choses de cet article sont totalement fausses et détournées de leur contexte…

  6. Totu à fait d’accord avec Moderateur : en plus les commentaires sont faits par l’auteur !!!
    On s’auto-congratule de ses mensonges…
    Détournement d’infos : un blog à oublier très vite !!!

  7. Mais c’est quoi toutes ces conneries ??!!!!!!!!!!!!!!!
    Et le 11/09 c’était un coup des USA c’est ça ?? N’importe quoi cet article !

  8. merci de préciser les fausses infos , avec contre elements factuels à la clé bien sur , et sources associées
    car sinon vos remarques n’ont absolument AUCUNE valeur

  9. « sans compter les détournements d’informations qui n’ont rien à voir avec l’Iran  » … vous êtes bien naifs mon cher Monsier, Madame , peut être ?

  10. IRAN – Shell & Repsol Want To Develop South Pars Gas For LNG; But Face Trouble.
    Publication: APS Review Gas Market Trends
    Date: Dec 12 2005
    Subject: Petroleum industry, Offshore gas fields, Liquefied gases
    Company: National Iranian Oil Co., Pars Oil and Gas Co.
    Product: Crude Petroleum & Natural Gas
    Location: Iran
    Akbar Torkan, the CEO of Iran’s state-owned Pars Oil and Gas Co. (POGC) says his firm has signed a contract with Shell and Repsol/YPF of Spain on developing the downstream section of two phases of the offshore South Pars gas field. This calls for an onshore plant at Assaluyeh to produce LNG
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    for the European and Asian markets.
    Because of Washington’s sanctions, however, Iran cannot have the US liquefaction technology on which the LNG venture is to depend. Already an LNG project led by Total of France has been stalled since mid-2004 for the same reason. There are two other LNG export ventures in Iran – for a total of four JVs – which have been stalled.
    There is an equally – if not more – serious problem affecting the LNG and other ventures based on South Pars gas. The entire petroleum sector of Iran and its petrochemicals business will be taken over by a radical faction of the Islamic Revolutionary Guards Corps (IRGC), which is taking control of Iran through a gradual military coup d’etat. It is said this faction controls Iran’s nuclear development programme.
    Akbar Torkan, a former minister of defence and the IRGC, belongs to a pragmatic faction of the Shi’ite theocracy, a faction which is moderate and led by former President Ali Akbar Hashemi Rafsanjani. The latter is chairman of the Expediency Council (EC), which is supposed to be powerful but is facing trouble from IRGC’s radical faction. There is even the danger of Iran being attacked militarily on Western suspicions that it is developing nuclear weapons and the long-range missiles to deliver them to its enemies (see omt24-DubaiExchange-Dec12-05).

  11. AREVA signe un contrat de vente de technologie avec la Russie
    Information diffusée par l

  12. Areva L’Iran a profité directement de l’enrichissement de l’uranium en Europe
    L’Iran a profité directement de l’enrichissement de l’uranium en Europe
    (presse)
    BERLIN (AFX) – L’Iran a profité directement de
    l’enrichissement de l’uranium en Europe grâce à sa participation dans une
    entreprise française, Eurodif, affirme le magazine allemand Der Spiegel à
    paraître lundi.
    Le magazine cite une étude diffusée par le parti des Verts européens, qui
    révèle des détails auparavant non publiés de l’accord de partenariat entre
    Téhéran et la société française. En 1974, l’Iran a investi plus d’un milliard de
    dollars dans la société commune spécialisée dans l’enrichissement de l’uranium
    Sofidif (Société Franco-Iranienne pour l’Enrichissement de l’Uranium par
    Diffusion Gazeuse). L’accord prévoyait, selon Der Spiegel, en contrepartie de
    cet investissement, la livraison de 10% du produit enrichi pour alimenter des
    centrales nucléaires.
    « L’Iran a une part indirecte et ultra-minoritaire dans Eurodif. Cette
    participation est de nature exclusivement financière et n’a jamais donné lieu à
    une livraison d’uranium enrichi à l’Iran », a déclaré à l’ un porte-parole
    d’Areva.
    « Tout ceci est connu et public et il n’y a là aucun secret, si ce n’est la
    volonté de déclencher une polémique bien inutile sur ce sujet », a-t-il ajouté.
    L’Iran, via l’Organisation de l’Energie atomique de l’Iran, possède 40% de
    Sofidif, qui elle-même détient 25% d’Eurodif. A l’arrivée, l’Iran détient
    indirectement environ 10% d’Eurodif qui est détenu à 60% par Areva.
    Selon le magazine allemand, l’organisation publique iranienne de l’Energie
    atomique, dirigée par le vice-président Gholamresa Aghasade, tire un bénéfice
    annuel de 7 millions d’euros de sa participation à hauteur de 40% dans Sofidif.
    La député européenne verte et spécialiste du nucléaire, Rebecca Harms, a
    estimé dans l’hebdomadaire qu’il était « absurde que l’ONU, sous la pression des
    Etats-Unis, décrète des sanctions commerciales contre l’Iran, alors que l’Europe
    fait des affaires avec lui sur le nucléaire ».
    Le Conseil de sécurité de l’ONU devait voter samedi sur un projet de
    résolution prévoyant de nouvelles sanctions économiques et commerciales contre
    l’Iran, pour son refus de suspendre ses activités nucléaires sensibles –
    enrichissement et retraitement de l’uranium – comme le demande la résolution 1737 votée le 23 décembre 2006.
    cyj/mc/ang

  13. En tout cas le Tom en haut, ce n’est pas moi, je post quand il y a des sujet sur le pétrole, mais pas toujours.

  14. ok, désolé, effectivement je croyais que c’était vous.
    merci beaucoup à vous de l’avoir précisé
    Très sincèrement

  15. donc : vous dites :
    cei n’est pas un blog conspirationniste…. mais les infos sont dispo partout sauf en langue française et don faites votre opinion ?
    ben dites le docn que vous etes conspirationniste et que tous les journaux français se taisent, car tenue par « la grande finance internationale  »
    ( on sait ou precisement ça debouche, ce genre de trucs … )

  16. donc : vous dites :
    cei n’est pas un blog conspirationniste…. mais les infos sont dispo partout sauf en langue française et don faites votre opinion ?
    ben dites le docn que vous etes conspirationniste et que tous les journaux français se taisent, car tenus par « la grande finance internationale  »
    ( on sait ou precisement ça debouche, ce genre de trucs … )

  17. Quand on voit par ailleurs le block out fait par Areva sur la grève qui a lieu depuis le 18 janvier, on imagine ce que cela est quand il s’agit d’infos plus « délicates »

  18. Précision : notre « ami » lecteur modérateur doit l’etre …d’un forum de la COGEMA Marcoule
    … ce qui peut peut être expliquer sa réaction « épidermique »

  19. et le « 1er Tom  » est forcement d’accord avec modérateur … puisqu’ils sont du même site, de là , a ce que cela ne soit une seule et même personne …
    donc, notre article dérange la COGEMA … c’est bon signe 🙂

  20. 1) On ne parle pas de livraison d’uranium (enrichi ou non) à l’Iran mais uniquement d’argent pour l’instant.
    2) En tant qu’actionnaire d’une société (Sofidif), il n’y a rien de scandaleux pour un actionnaire (même iranien) de toucher les dividendes qui lui reviennent de droit.
    3) Quel sera l’attitude de la France vis à vis de l’Iran suite à la dernière résolution de l’ONU ? Le gel des avoirs et des bénéfices iraniens comme dans les années 80 ?
    4) Les accords de 1991 entre la France et l’Iran devront bien un jour être appliqués par la France si l’Iran exige la livraison des 10% d’uranium enrichi lui revenant de droit. Tant que l’Iran n’a pas de centrale nucléaire, la France peut jouer l’attente mais plus pour très longtemps.

  21. L’Iran effectue son premier versement pour la centrale nucléaire de Bushehr
    L’Iran a effectué son premier versement à l’entreprise d’Etat russe chargée de construire la centrale nucléaire de Bushehr, un projet régulièrement reporté, a annoncé lundi Atomstroiexport.
    « Le fait que nos partenaires iraniens aient surmonté leurs difficultés est positif », a déclaré l’entreprise dans un communiqué, précisant que ce règlement était « loin » de représenter le dédommagement complet pour le projet de la centrale nucléaire de Bushehr.
    Moscou et Téhéran étaient à couteaux tirés au sujet du financement de cette usine, la Russie ayant annoncé au début du mois que le combustible ne serait pas livré à l’Iran comme c’était prévu. Ces retards de paiement avaient poussé la Russie, qui construit la centrale dans le nord de l’Iran, à repousser le lancement du réacteur prévu en septembre.
    L’Iran a toujours démenti manquer à ses obligations et accusé la Russie de céder à la pression des Etats-Unis qui souhaitent accentuer la pression pour empêcher Téhéran de posséder l’arme nucléaire.
    Cette dispute intervenait alors que le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté samedi à l’unanimité une résolution imposant de nouvelles sanctions à l’Iran en raison de son refus de suspendre son programme d’enrichissement d’uranium.

  22. oui, concernant «  »L’Iran a une part indirecte et ultra-minoritaire dans Eurodif. Cette
    participation est de nature exclusivement financière et n’a jamais donné lieu à
    une livraison d’uranium enrichi à l’Iran », a déclaré à l’ un porte-parole
    d’Areva. » , je n’ai jamais même « imaginé » quelque chose de cette sorte
    mais c’est bien la livraison d’uranium enrichi qui est au coeur du pb aujourd’hui
    En tout état de cause, il y a bien un contrat, initialisé depuis fort longtemps.
    Si l’arriéve au pouvoir de Khomeiny a change bcp de choses, les contrats restent toujours valides
    Ce n’est pas pour rien que j’ai tenu à mettre en photo le site Georges Besse II , car , dans cette affaire, la France n’a peut être pas totalement le choix, d’eventuels attentats peuvent être à la clé.

  23. Bien sur à suivre de très très pres avec pb de TOTAL et de Margerie, on fait le point ce soir … en tenant compte d’Halliburton et d’Oriental Kich , car toutes les pièces du « puzzle » ou presque y sont désormais.
    reste position actuelle de British Petroleum qui lui aussi avait contacté avec l’Iran sur Pars South , mais difficile de trouver des articles même en anglais au delà de 2004 sur le sujet.

  24. la dernière pièce du puzzle …
    L’entreprise américaine Halliburton met fin à ses activités en Iran
    AFP 09.04.07 | 23h49
    L’entreprise américaine de services à l’industrie pétrolière Halliburton a indiqué lundi qu’elle avait mis un terme à toutes ses activités en Iran. Halliburton avait annoncé en janvier 2005 son intention de ne plus travailler en Iran mais qu’elle continuerait d’honorer les contrats déjà signés. Elle n’employait dans ce pays que de la main d’ouvre non-américaine en vertu de l’embargo dans les échanges commerciaux entre les Etats-Unis et l’Iran décrété par Washington. Halliburton, qui était dirigée entre 1995 et 2000 par Dick Cheney avant qu’il ne devienne vice-président des Etats-Unis, a souligné lundi que ses activités en Iran avant leur interruption « étaient de toute évidence autorisées par les loi et règlements applicables ». » Ceux-ci stipulent notamment que les entreprises américaines ne peuvent investir plus de 40 millions de dollars dans le secteur énergétique iranien sous peine de sanctions. Halliburton a indiqué que la valeur de ses contrats en Iran n’a jamais dépassé de 30 à 40 millions de dollars, les qualifiant elle-même de « minuscules ». Halliburton avait fait part début mars son intention de transférer son siège à Dubaï, aux Emirats arabes unis, afin de mieux assurer l’expansion de ses opération au Moyen-Orient et en Asie. Celui-ci se trouve actuellement à Houston (Texas, sud

  25. Nucléaire iranien: Téhéran souhaite une médiation française
    BERNE – Le secrétaire du Conseil suprême iranien de la sécurité nationale, Ali Larijani, souhaite une médiation du président Nicolas Sarkozy dans la crise du nucléaire iranien. Ces propos ont été émis dans un entretien publié samedi par Le Figaro.
    « La France du nouveau président Nicolas Sarkozy pourrait jouer le rôle d’un ‘honest broker’ (intermédiaire sincère) car la France jouit d’une très bonne image chez nous », a estimé M. Larijani qui est le chef des négociateurs du nucléaire iranien.
    « S’il m’était possible de mener un dialogue constructif avec les Occidentaux, aujourd’hui bloqué par l’intransigeance d’une Amérique exigeant que nous suspendions au préalable notre enrichissement de l’uranium, je suis sûr que nous pourrions trouver ensemble de nombreux autres outils pour établir une confiance réciproque », a-t-il encore déclaré.
    « Je ne veux pas d’une course à l’arme nucléaire au Moyen-Orient qui serait catastrophique pour tous les états de la région », a-t-il dit en soulignant que « la bombe atomique n’intéresse pas l’Iran ».
    Les pays occidentaux soupçonnent pourtant l’Iran de développer un programme nucléaire visant à acquérir l’arme atomique.
    L’Iran est sous le coup de sanctions de l’ONU en raison de son refus de suspendre ses activités d’enrichissement d’uranium.
    La seconde résolution adoptée par l’ONU le 24 mars a fixé au 24 mai l’expiration du nouveau délai de 60 jours accordé à l’Iran pour suspendre toutes ses activités d’enrichissement, faute de quoi il fera face à un renforcement des sanctions.
    (ats / 26 mai 2007 05:47)

  26. A rapprocher de :
    (synthèse au plus tôt)
    —————————
    Rédigé par: el gringo | 21 mai 07 22:49:37
    Areva investit 610 M EUR dans de nouvelles usines de conversion d’uranium
    PARIS – Le groupe français Areva va investir 610 millions d’euros dans un projet destiné à le doter de nouvelles installations de conversion de l’uranium sur ses sites de Malvési à Narbonne (Aude) et du Tricastin (Drôme), une étape clef dans le cycle du combustible nucléaire.
    Avec ce projet, baptisé Comurhex II, Areva « a l’ambition de maintenir sa position de numéro un mondial de la conversion » du minerai d’uranium en hexafluorure, première étape de la transformation de l’uranium en combustible, précédant l’enrichissement, selon le communiqué.
    Quelque 400 personnes travailleront sur le chantier qui démarrera à l’été 2007. La première production industrielle est attendue en 2012, sur une base de 15.000 tonnes d’uranium par an, pouvant être étendue à 21.000 tonnes en fonction des besoins du marché, précise Areva.
    Le minerai d’uranium arrivera sur le site de Malvési « où il est transformé en tétrafluorure, puis celui-ci est transformé en hexafluorure sur le site du Tricastin », a expliqué à l’AFP un porte-parole du groupe.
    « Dans le secteur de la chimie de l’uranium, Areva est le premier acteur industriel à investir fortement pour renouveler et moderniser son outil industriel de conversion », a souligné la présidente du directoire d’Areva Anne Lauvergeon, citée dans le communiqué.
    Comurhex II, « conjugué à d’autres projets d’envergure –la future usine d’enrichissement Georges Besse II, la modernisation des installations de fabrication de combustible de l’usine FBFC (Franco-Belge de fabrication de combustible, spécialisée dans l’assemblage des combustibles, dont le siège est à Lyon, ndlr)– va renforcer la position du groupe dans l’amont du cycle du combustible et conforter notre business model d’offre intégrée », a ajouté Mme Lauvergeon.
    Areva est actuellement le numéro un mondial de la conversion avec une part de marché de 26%, selon le groupe.
    http://www.romandie.com/infos/news/070521164922.2wzh84vn.asp
    Rédigé par: Elisabeth | 21 mai 07 22:54:23
    ce qu’oublie de dire Areva c’est que le Tricastin … c’est anciennement Eurodif …
    Rédigé par: Elisabeth | 21 mai 07 22:56:24
    L’Iran la France et Eurodif
    Eurodif,est un Consortium propriétaire d’une usine d’enrichissement de l’uranium implantée dans le site nucléaire du Tricastin à Pierrelatte dans la Drôme, et exploitée par une filiale de Areva NC, Eurodif SA.
    L’uranium enrichi produit par Eurodif est utilisé comme combustible par les centrales nucléaires françaises et de nombreuses centrales étrangères. L’uranium enrichi produit par Eurodif alimente environ 90 réacteurs à eau pressurisée, la filière nucléaire la plus largement répandue dans le monde, dont 58 réacteurs français. L’usine produit à elle seule 25% de la consommation mondiale d’uranium enrichi. Eurodif SA compte parmi ses clients EDF et plus de 30 compagnies d’électricité.
    Eurodif est une coentreprise créée en 1973 entre 5 pays : la France, la Belgique, l’Italie, l’Espagne et la Suède.
    En 1975, la part suédoise de 10% dans Eurodif était parvenue à l’Iran à la suite d’un accord franco-iranien. La société française nationalisée Cogéma et le gouvernement iranien ont alors fondé la Sofidif (Société franco

  27. nouvel incident …
    Une petite fuite d’uranium constatée sur le site nucléaire du Tricastin (Drôme)
    AP | 22.08.2008 | 22:19
    Une petite fuite d’uranium a été constatée jeudi par l’entreprise Comurhex, filiale d’Areva, à Pierrelatte, sur le site nucléaire du Tricastin (Drôme), annonce vendredi soir la préfecture de la Drôme dans un communiqué.
    « A la suite de tests d’étanchéité de la tuyauterie entre le laboratoire et l’atelier de traitement, l’exploitant a constaté une fuite qui peut être estimée à 250 grammes d’uranium sur une période d’un an maximum », précise la préfecture.
    « Selon l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), les risques environnementaux apparaissent très faibles d’après les données actuellement disponibles. Des études plus détaillées seront menées et leurs conclusions seront communiquées ».
    La préfecture ajoute que les services de la Direction régionale de l’industrie, de la recherche et

  28. Incident de Tricastin: choix de la stratégie d’ici « une à deux semaines »
    LYON – Le choix de la stratégie pour résoudre l’incident survenu le 8 septembre à la centrale nucléaire de Tricastin (Drôme) pourrait prendre encore « une à deux semaines », mais « la sûreté des installations et des personnes » est « totalement garantie », a déclaré lundi à l’AFP une porte-parole d’EDF.
    Lors d’une opération de déchargement de combustible dans l’unité de production n°2 de la centrale exploitée par EDF à Saint-Paul-Trois-Château (Drôme), deux des 157 assemblages de combustible étaient « restés suspendus », « désengagés au deux-tiers du coeur », selon l’Institut de Radioprotection et de Sûreté nucléaire (IRSN).
    « Deux dispositifs de sécurisation et d’évacuation des assemblages sont en cours d’étude et l’un d’eux sera mis en oeuvre après validation des experts EDF et de l’autorité de sûreté nucléaire », a indiqué la porte-parole, avançant un délais d' »une à deux semaines » car, a-t-elle dit, « il faut prendre le temps d’analyser ».
    « Les deux assemblages de combustible d’uranium sont toujours sous eau, accrochés au couvercle de la cuve et ils sont surveillés en salle de commande par des caméras », a ajouté EDF, précisant que « le bâtiment réacteur (était) toujours fermé par mesure de prévention et les accès limités ».
    « La situation est stable dans le réacteur, rien ne bouge et on a limité les accès au bâtiment réacteur et interrompu toutes les opérations », a-t-on souligné.
    Dimanche, le Réseau « Sortir du nucléaire », revendiquant 830 associations, avait « exigé » dans un communiqué la « vérité sur la gravité de l’événement en cours ».
    Le Réseau, redoutant la présence de plutonium, démentie par EDF, s’interrogeait en outre sur l’opportunité d’une évacuation des communes proches.
    « La décision d’évacuation revient aux pouvoirs public, mais très clairement aucun élément nouveau sur la centrale de Tricastin n’est de nature à conduire le préfet à exiger l’évacuation des populations », a assuré lundi EDF.
    Le 9 septembre, l’IRSN précisait dans un communiqué que « dans l’hypothèse de la chute des deux assemblages (de combustible) entraînant leur rupture complète » (…) les conséquences radiologiques à l’extérieur du site seraient extrêmement faibles et très inférieures aux valeurs nécessitant des actions de protection de la population et de l’environnement ».
    http://www.romandie.com/ats/news/080922183240.g41gt0c0.asp
    A lire aussi :
    Au Tricastin, deux barres de combustible s

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