Pour Jean-Louis Borloo, la nouvelle location est « illégale et inacceptable », « scandaleuse » pour le parti socialiste, « incompréhensible » pour les associations de consommateurs
pas etonnant , encore un droit social de moins sur la liste des reformes. tout le monde a bien compris que nos acquis sociaux degringolent les uns apres les autres. le gouvernement sait maintenant que l’alternance est inevitable et il reste encore 14 mois pour finir le boulot, c’est a dire donner le maximum de pouvoirs aux investissements et donc l’argent. les centaines de milliers voir millions de menages endettes vont connaitre les pires annees de leurs vie. il ne manque plus que l’inflation pour couronner le tout. ce qui est inquietant c’est le fatalisme des gens face a cette mutation si rapide. quand les gens descendrons dans la rue on dira oui mais vous savez la mondialisation etc… la hausse des salaire n’est pas pour demain, pourtant les banques centrales s’inquietent d’une eventuelle inflation ( certains affirment a 2 chiffres)bon courage tout le monde…
Quand j’entends des infos comme ça, ça me donne envie de couper des têtes. Heureusement que c’est un canulars n’est ce pas?
– Tres peu de riches disposant des centres villes, des meilleurs collèges, des meilleurs jobs. Contrôlant le système…
– une masse énorme de pauvres autour, dans des écoles pourries, mal éduqués donc incapable de réfléchir, corvéable à tache.
Ca sent le moyen-age non ?
Seigneurs et cerfs…
Pourquoi pas ? suffit d’être dans la bonne catégorie…
Arrêtez de voir les propriétaires comme de vilains requins capitalistes !
Avec mon épouse nous possédons un appart’ que nous louons à un titulaire du RMI depuis 2 ans et tout se passe très bien ! Il vient de donner son préavis car il a trouvé un bon boulot et va s’acheter son propre logement. Nous cherchons donc un nouveau locataire et si un CPE se présente, nous lui louerons l’appart’.
C’est une question de confiance, ce qui manque bcp à ce pays en ce moment je trouve…
Merci Stef , et je ne peux qu’approuver votre démarche …Il manque effectivement beaucoup d’humanité ….dans le marché immobilier.
Le délire inflationniste à malheureusement gagné la plupart des petits propriétaires , mais le contact direct permet quand même un rapport de confiance ….
les plus horribles personnes sont les agences immobilières qui s’occupent de gestion locative …
Misérables mentalités , concentré de toutes les tares des riches propriétaires qui ne prennent même pas le temps de gerer leur patrimoine immobilier…
Jose espérer que le crash leur donnera un peu plus d’humilité…
incroyable !
j’avais jamais entendu parler de ce truc de nouvelle location…c’est vraiment dégueu.
je ne mets pas ts les bailleurs dans le même panier pour autant. après 15 ans de location par agence, je suis enfin locataire directement avec mon bailleur et c’est très agréable. enfin un peu d’humain et des rapports qu’on essaye de batir sur la confiance mutuelle.
les agences, je n’en peux plus ! et l’UNPI j’ai envie de les scrontdju (censure)
Peut être faut il y voir un effet de la bulle immobiliere actuelle. Les rendements locatifs baissant (comparativement à la hausse des prix à la revente), les charges fixes augmentant (impôts fonciers, charges communales…), certains proprio plaideraient pour le même type d’idiotie que le CPE en locatif. En fait ils sont plutôt en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Leur locataire de rêve ressemble fortement, à mon avis à un futur propriétaire : il est solvable car gagne bien sa vie et peut encaisser régulierement des hausses de loyer…Un fantasme collectif je vous dit cette société française. Plus beaucoup de trace de pragmatisme et de réalité la dedans…Inquietant !!
pour Marie Phoenix :
A Voir : des Messieurs (et ou des Dames) de BNP Paribas très sérieux qui vous expliquent que le marché immobilier espagnol est surévalué de 30%:
site de cortal consors https://www.cortalconsors.fr/euroWebFr/-
puis onglet : Info & Marché
puis sous-onglet : Actualités / macro economie
et alors en bas de page dans la rubrique : EcoWeek et Conjoncture
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-734511,36-752167@51-725561,0.html
« Les jeunes des banlieues qui se sont révoltés en novembre dernier sont déjà de l’autre côté de la barrière : dans leurs quartiers, le chômage des moins de 25 ans atteint parfois 40 %, ce qui n’est plus tolérable. Leur révolte est la révolte sociale classique des « classes dangereuses », qui cassent et qui brûlent. Le mouvement anti-CPE est, au fond, dans les classes moyennes, la réplique de celui des banlieues. Ces deux mondes se méfient l’un de l’autre – les jeunes des banlieues estiment que les étudiants sont mieux traités qu’eux et les étudiants craignent que les casseurs des banlieues viennent gâcher leurs manifestations -, mais leurs angoisses sont très proches : certains sont déjà dehors, les autres ont peur de les rejoindre. »
« C’est eux qui ont eu droit aux emplois précaires, c’est eux qui ont eu droit aux stages non rémunérés, c’est eux qui ont eu droit à l’intérim, et cela alors que l’écart de salaire entre les débuts et les fins de carrière n’a cessé d’augmenter. Peu à peu s’est installé le sentiment qu’une frontière intérieure séparait ceux qui sont dedans – qu’ils soient bien ou mal payés, ils peuvent anticiper leur vie, louer un appartement, faire un emprunt – de ceux qui sont dehors – le monde des banlieues ou ce monde juvénile étudiant des classes moyennes qui vit dans une incertitude croissante. Lorsque le chômage atteint 25 % d’une classe d’âge, on a vite le sentiment que l’on peut tomber du mauvais côté de la barrière. »
« Il y a aujourd’hui, dans le monde du travail, une « noblesse déchue » constituée de diplômés qui ont un emploi très inférieur à ce qu’ils espéraient. Cela crée des amertumes et des relations tendues avec la hiérarchie : dans une société qui croit tellement aux diplômes, obéir à quelqu’un qui a moins de titres que vous, c’est parfois difficile. Ces distorsions créent un mode d’entrée négatif dans le travail, qui oblige nombre de salariés, dans les premières années, à faire – parfois douloureusement – le deuil de leurs espérances. Après, beaucoup s’aperçoivent que le monde du travail offre finalement plus d’opportunités et de mobilité qu’ils ne le croyaient. »
Ca sert plus à grand chose d’étudier…
Moi ? je trouve ça plutôt positif !
Nous avons besoin d
pas etonnant , encore un droit social de moins sur la liste des reformes. tout le monde a bien compris que nos acquis sociaux degringolent les uns apres les autres. le gouvernement sait maintenant que l’alternance est inevitable et il reste encore 14 mois pour finir le boulot, c’est a dire donner le maximum de pouvoirs aux investissements et donc l’argent. les centaines de milliers voir millions de menages endettes vont connaitre les pires annees de leurs vie. il ne manque plus que l’inflation pour couronner le tout. ce qui est inquietant c’est le fatalisme des gens face a cette mutation si rapide. quand les gens descendrons dans la rue on dira oui mais vous savez la mondialisation etc… la hausse des salaire n’est pas pour demain, pourtant les banques centrales s’inquietent d’une eventuelle inflation ( certains affirment a 2 chiffres)bon courage tout le monde…
Quand j’entends des infos comme ça, ça me donne envie de couper des têtes. Heureusement que c’est un canulars n’est ce pas?
– Tres peu de riches disposant des centres villes, des meilleurs collèges, des meilleurs jobs. Contrôlant le système…
– une masse énorme de pauvres autour, dans des écoles pourries, mal éduqués donc incapable de réfléchir, corvéable à tache.
Ca sent le moyen-age non ?
Seigneurs et cerfs…
Pourquoi pas ? suffit d’être dans la bonne catégorie…
Arrêtez de voir les propriétaires comme de vilains requins capitalistes !
Avec mon épouse nous possédons un appart’ que nous louons à un titulaire du RMI depuis 2 ans et tout se passe très bien ! Il vient de donner son préavis car il a trouvé un bon boulot et va s’acheter son propre logement. Nous cherchons donc un nouveau locataire et si un CPE se présente, nous lui louerons l’appart’.
C’est une question de confiance, ce qui manque bcp à ce pays en ce moment je trouve…
Merci Stef , et je ne peux qu’approuver votre démarche …Il manque effectivement beaucoup d’humanité ….dans le marché immobilier.
Le délire inflationniste à malheureusement gagné la plupart des petits propriétaires , mais le contact direct permet quand même un rapport de confiance ….
les plus horribles personnes sont les agences immobilières qui s’occupent de gestion locative …
Misérables mentalités , concentré de toutes les tares des riches propriétaires qui ne prennent même pas le temps de gerer leur patrimoine immobilier…
Jose espérer que le crash leur donnera un peu plus d’humilité…
incroyable !
j’avais jamais entendu parler de ce truc de nouvelle location…c’est vraiment dégueu.
je ne mets pas ts les bailleurs dans le même panier pour autant. après 15 ans de location par agence, je suis enfin locataire directement avec mon bailleur et c’est très agréable. enfin un peu d’humain et des rapports qu’on essaye de batir sur la confiance mutuelle.
les agences, je n’en peux plus ! et l’UNPI j’ai envie de les scrontdju (censure)
Peut être faut il y voir un effet de la bulle immobiliere actuelle. Les rendements locatifs baissant (comparativement à la hausse des prix à la revente), les charges fixes augmentant (impôts fonciers, charges communales…), certains proprio plaideraient pour le même type d’idiotie que le CPE en locatif. En fait ils sont plutôt en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Leur locataire de rêve ressemble fortement, à mon avis à un futur propriétaire : il est solvable car gagne bien sa vie et peut encaisser régulierement des hausses de loyer…Un fantasme collectif je vous dit cette société française. Plus beaucoup de trace de pragmatisme et de réalité la dedans…Inquietant !!
pour Marie Phoenix :
A Voir : des Messieurs (et ou des Dames) de BNP Paribas très sérieux qui vous expliquent que le marché immobilier espagnol est surévalué de 30%:
site de cortal consors
https://www.cortalconsors.fr/euroWebFr/-
puis onglet : Info & Marché
puis sous-onglet : Actualités / macro economie
et alors en bas de page dans la rubrique : EcoWeek et Conjoncture
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-734511,36-752167@51-725561,0.html
« Les jeunes des banlieues qui se sont révoltés en novembre dernier sont déjà de l’autre côté de la barrière : dans leurs quartiers, le chômage des moins de 25 ans atteint parfois 40 %, ce qui n’est plus tolérable. Leur révolte est la révolte sociale classique des « classes dangereuses », qui cassent et qui brûlent. Le mouvement anti-CPE est, au fond, dans les classes moyennes, la réplique de celui des banlieues. Ces deux mondes se méfient l’un de l’autre – les jeunes des banlieues estiment que les étudiants sont mieux traités qu’eux et les étudiants craignent que les casseurs des banlieues viennent gâcher leurs manifestations -, mais leurs angoisses sont très proches : certains sont déjà dehors, les autres ont peur de les rejoindre. »
« C’est eux qui ont eu droit aux emplois précaires, c’est eux qui ont eu droit aux stages non rémunérés, c’est eux qui ont eu droit à l’intérim, et cela alors que l’écart de salaire entre les débuts et les fins de carrière n’a cessé d’augmenter. Peu à peu s’est installé le sentiment qu’une frontière intérieure séparait ceux qui sont dedans – qu’ils soient bien ou mal payés, ils peuvent anticiper leur vie, louer un appartement, faire un emprunt – de ceux qui sont dehors – le monde des banlieues ou ce monde juvénile étudiant des classes moyennes qui vit dans une incertitude croissante. Lorsque le chômage atteint 25 % d’une classe d’âge, on a vite le sentiment que l’on peut tomber du mauvais côté de la barrière. »
« Il y a aujourd’hui, dans le monde du travail, une « noblesse déchue » constituée de diplômés qui ont un emploi très inférieur à ce qu’ils espéraient. Cela crée des amertumes et des relations tendues avec la hiérarchie : dans une société qui croit tellement aux diplômes, obéir à quelqu’un qui a moins de titres que vous, c’est parfois difficile. Ces distorsions créent un mode d’entrée négatif dans le travail, qui oblige nombre de salariés, dans les premières années, à faire – parfois douloureusement – le deuil de leurs espérances. Après, beaucoup s’aperçoivent que le monde du travail offre finalement plus d’opportunités et de mobilité qu’ils ne le croyaient. »
Ca sert plus à grand chose d’étudier…
Moi ? je trouve ça plutôt positif !
Nous avons besoin d