Yémen-Pétrole : 5 morts dans des attentats déjoués

Yemenblocks_4Les forces de sécurité au Yémen ont mis en échec vendredi un double attentat suicide contre deux installations pétrolières au Yémen, a indiqué une source sécuritaire yéménite en précisant que les quatre « terroristes » et un gardien avaient été tués.

La première tentative, menée par deux terroristes à bord de deux voitures piégées aurait visé la raffinerie de pétrole de Safer à Maareb (250 km à l’est de Sanaa) tandis que la seconde, menée par deux terroristes à bord de deux voitures piégées aurait visé des réservoirs de pétrole au terminal d’al-Dhabba, dans l’Hadramaout, à l

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  1. Otages français: le président Saleh s’est engagé à régler le problème des ravisseurs AFP 17.09.06 | 10h40
    Le président yéménite, Ali Abdallah Saleh, s’est engagé personnellement à régler le problème des ravisseurs pour assurer pacifiquement la libération des quatre touristes français pris en otages dans la province de Chabwa (sud-est), a-t-on appris dimanche auprès d’un médiateur.
    « Les revendications des ravisseurs ne seront pas étudiées maintenant, mais il y a eu un engagement du président Saleh en personne pour régler le problème des ravisseurs », a déclaré le médiateur.
    Il a précisé que « cet engagement a été transmis aux notables de la tribu des ravisseurs ».
    Jeudi, une source tribale proche des ravisseurs avait indiqué que ceux-ci avaient informé les médiateurs qu’ils attendaient toujours une réponse positive des autorités locales concernant l’échange des otages contre quatre enfants de responsables locaux et du chef du centre de détention où sont retenus des membres de la tribu dont ils exigent la libération.
    « Ils ont refusé de discuter de toute autre solution », avait ajouté la même source.
    D’après un notable ayant participé aux négociations, les ravisseurs avaient accepté d’échanger leurs otages contre ces quatre enfants. « Mais le chef du centre de détention a refusé au dernier moment de présenter l’un de ses fils à la tribu des ravisseurs, qui ont alors refusé à leur tour de libérer les otages français, considérant que le marché n’était ni sérieux ni crédible ».
    Samedi, le ministre yéménite de l’Intérieur, Rachad Mohammad al-Alimi, a indiqué lors d’une conférence de presse que le président français Jacques Chirac avait demandé aux autorités yéménites de ne pas recourir à la force pour libérer les quatre touristes français.
    Les touristes, dont l’identité n’a pas été révélée, ont été enlevés avec leur guide yéménite dimanche à Ataq, chef-lieu de la province de Chabwa, par des éléments tribaux qui les ont conduits dans leur repaire à une soixantaine de km de là, selon des sources tribales.

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