Le gouvernement français a démenti mercredi toute entrée de l’Etat au capital de l’équipementier Alcatel-Lucent, qualifiant cette information de presse de « pures spéculations ».
Le magazine Challenges évoque quant à lui « le scénario d’une entrée, directe ou indirecte, de l’Etat au capital d’Alcatel-Lucent ».
Toujours selon le magazine, le président Nicolas Sarkozy devrait faire une annonce sur ce dossier sensible lundi 3 mars à l’occasion de l’inauguration du salon CeBit des hautes technologies, à Hanovre (Allemagne).
Interrogé lors d’un point de presse, Laurent Wauquiez, porte-parole du gouvernement, a répondu: « J’ai entendu comme vous ces rumeurs (…) ce sont de pures spéculations et je les démens de la façon la plus ferme ».
L’entrée de l’Etat au capital de l’équipementier « n’est pas du tout envisagée », a-t-on abondé au ministère de l’Economie et des Finances.
Pourtant, sur son site, Challenges cite les propos d’un conseiller de Bercy selon lequel « toutes les options sont ouvertes », même si le scénario d’une prise de participation n’est « actuellement pas privilégié ». Selon Capital,