Qui l’eut cru il y a peine quelques semaines ? Le cours du pétrole s’établit désormais au dessous des 90 dollars. Si les consommateurs finals et néanmoins finauds ne peuvent que s’en réjouir, l’affaire est d’importance car susceptible de mener à mal régimes et pays dont l’économie est basée sur la manne pétrolière. Lesquels, compte-tenu de la baisse de leurs ressources en valeur, pourraient réduire leurs achats, impactant en boule de neige les entreprises d’ampleur internationale.
Les prix du pétrole ont chuté sous les 90 dollars lundi à New York. Sur le Nymex, le baril de « light sweet crude » pour livraison en novembre a fini à 87,81 dollars, en baisse de 6,07 dollars par rapport à la clôture de vendredi. Il est tombé en séance à 87,56 dollars, un niveau plus vu depuis début février 2008, et affiche désormais une chute de 40% par rapport à son record, à 147 dollars, atteint le 11 juillet. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a chuté de 6,57 dollars, terminant à 83,68 dollars. Il a touché 83,36 dollars en séance.
Princiale raison de cette chute vertigineuse : l’extension de la crise financière à l’Europe renforce le scénario d’un ralentissement économique mondial durable, voire d’une récession, et entame les perspectives de demande énergétique.
L’adoption vendredi par les Congrès américain du plan de 700 milliards de dollars pour soutenir les banques n’a pas suffi à rassurer les opérateurs. La réunion samedi à Paris d’un G4 entre dirigeants allemand, britanniques, français et italiens, n’a pas eu d’effet, n’étant pas allée au-delà des déclarations d’intention. On pouvait malheureusement s’y attendre …
« Le pétrole avait connu une période sans précédent d’emballement de la demande, qui avait commencé par les Etats-Unis et s’était répandue à la Chine et au reste du monde« , a relevé Phil Flynn, d’Alaron Trading. « L’affaiblissement de la croissance de la demande a débuté aux Etats-Unis et va prendre le même chemin« , a-t-il ajouté.
Or, selon les statistiques du Département américain à l’Energie, la consommation de produits pétroliers du pays a chuté de 7,1% sur les quatre dernières semaines par rapport à l’an dernier, à 19 millions de barils par jour.
Signe avant-coureur : la Chine ne va pas importer d’essence en octobre, pour le deuxième mois consécutif. Or, l’Empire du Milieu est considéré comme un des principaux moteurs de la demande actuelle en pétrole brut.
A noter également que dans un contexte de panique financière, les fonds spéculatifs, qui avaient acheté du pétrole en début d’année pour se protéger contre la dépréciation du dollar et diversifier leur placements, désertent le marché. Beaucoup de spéculateurs se sont également retirés, ne trouvant plus de liquidités ni de crédits en raison de la crise » financière.
Autre fait marquant : le dollar reprend du poil de la bête, touchant un nouveau plus haut depuis plus quatorze mois face à l’euro, tombé sous 1,35 dollar. Dans ce contexte, le pétrole voit ses qualités de valeur anti-inflation diminuer.
Source : AFP, algerie-dz.com
On est encore très loin du pétrole bon marché. Il y a quelques mois on fremissait de peur que le barril passe les 100$ et un peu avant on trouvait que le baril a 60$ etait deja tres cher. Bref, il y a encore de la marge pour la baisse…Cela dit ca ne baissera peut etre pas tant que ca dans les faits.
Les pays pétroliers comme l’Algérie récupère une partie de la baisse du baril grâce à la montée du dollar .
Ford Mustang ’67 , Camaro ’71 and Pontiac Trans am ’79…
encore quelques gouttes pour vous mes chéries..
princesses du bitume..
Vive le ralentissement économique et place a l’authenticité..
euh c’est combien une « » »PRIUS » »TOYOTA » » »…………………………….
Et pourtant. elle baisse
Le prix du brent à été presque divisé par deux en trois mois. Nous navons pas cependant limpression que cette baisse soit intégralement ni aussi vite répercutée à la pompe. Lanalyse des séries statistiques longues et crois…
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