Nouvel épisode dans le feuilleton de la Présidence d’EDF.
Si à chaque jour suffit sa peine, de source proche du dossier on affirme désormais qu’un conseil d’administration du groupe est prévu dimanche soir à 20h00.
Lequel devra se prononcer sur le maintien éventuel de Pierre Gadonneix à la tête de l’entreprise.
A l’heure actuelle, une porte-parole s’est toutefois abstenue de tout commentaire sur le sujet.
Alors que les plus récentes rumeurs laissaient entendre que Pierre Gadonneix pourrait pourrait garder son poste – malgré son « initiative » controversé concernant une hausse tarifaire – le journal Les Echos annonce dans son édition de mardi que l’Elysée a confirmé à Henri Proglio, l’actuel PDG de Veolia qu’il avait été « choisi » pour prendre les rênes du groupe énergétique.
Mais l’affaire n’est pas tout à fait dans le sac, la Tribune affirmant pour sa part vendredi la nomination éventuelle d’Anne-Marie Idrac, actuellement secrétaire d’Etat au Commerce extérieur.
Les noms de proches collaborateurs de Nicolas Sarkozy tels que Henri Guaino, Claude Gueant ou encore Xavier Musca ont également été cités.
Des altermoiements qui ne manquent pas de faire réagir les syndicats d’EDF.
Alors que le groupe EDF « vit maintenant au rythme des notations des agences, des exigences de court terme des actionnaires, des changements de réglementations », « l’Etat, lui, continue à faire comme avant » s’insurge ainsi sur son blog l’administrateur de la CFDT Philippe Pesteil.
Considérant même que l’Elysée « s’assoit sur les principes de bonne gouvernance », et « se prépare à appliquer le fait du Prince ».
Les administrateurs salariés souhaitent avant toute chose que le futur PDG puisse se consacrer entièrement à sa mission et à ce titre. Une position liée aux rumeurs d’une nomination d’Henri Proglio, lequel aurait exigé le cas échéant de pouvoir demeurer administrateur de Veolia.
Notons toutefois sur ce point que le Figaro précise pour sa part que le PDG de Veolia Environnement a été reçu vendredi soir par Nicolas Sarkozy. Lequel aurait clairement indiqué à Henri Proglio que la présidence opérationnelle d
Bonjour
J’ai un CIF Pages Jaunes. J’ai entendu des rumeurs selon lesquelles GOOGLE s’y intéresserait.
Je voulais avoir votre avis à savoir si je conserve ou si j’en achète davantage.
Merci
Cordialement,
A
Constellation Energy: le divorce qui pourrait coûter cher à EDF
Les négociations entre EDF et son partenaire américain, Constellation, sur la construction de deux réacteurs EPR aux Etats-Unis sont au plus mal. Un dossier qui pourrait coûter très cher à l’électricien français.
C’est un dossier noir pour EDF, et il pourrait lui coûter 2 milliards de dollars. Selon le magazine l’Expansion, les deux réacteurs nucléaires EPR de troisième génération que l’électricien français doit construire aux Etats-Unis sont remis en question. Constellation Energy, son partenaire américain, a gelé l’un des projets à Nine Mile Point (Etat de New York). Et il menace de réduire drastiquement son financement dans le second (Calvert Cliffs, Maryland). Sa participation passerait de 50 à 25%. Pour couronner le tout, ce projet nucléaire n’a toujours pas reçu de garantie de l’Etat fédéral.
« L’administration bloque sur des histoires d’assurance », dit-on en interne. Or, sans cette précieuse caution, il est impossible d’obtenir des prêts auprès des banques… EDF va-t-il jeter l’éponge ? Au siège parisien, avenue de Wagram, on y songe sérieusement. Mais l’on sait aussi que le terrain est miné. Car le groupe français ne peut pas divorcer à l’amiable, il est tenu à la gorge par son partenaire américain. Tout ça à cause d’une petite clause du contrat.
L’accord signé entre les deux électriciens, fin 2008, prévoit en effet que Constellation peut, jusqu’à la fin 2010, vendre certaines de ses centrales thermiques à EDF à un prix établi à l’avance : 2 milliards de dollars. Dans le jargon financier, on appelle cela un put. Le problème, c’est que ces actifs ont connu depuis une forte dépréciation.
« La situation est donc simple, résume un cadre dirigeant d’EDF. Soit nous décidons de quitter les Etats-Unis et Constellation ne se gênera pas pour lever cette option de vente qui nous est défavorable. Soit nous poursuivons le projet de réacteur dans le Maryland. Mais, dans ce cas, nous devrons débourser à peu près 1,5 milliard d’euros supplémentaires pour boucler le tour de table. Dans les deux cas, on est marrons ! »
Un sujet qu’Henri Proglio, le PDG d’EDF, n’a pas dû manquer d’évoquer, à Montréal, mi-septembre, lors du dernier Congrès mondial de l’énergie, avec son prédécesseur, Pierre Gadonneix, l’auteur du deal. En attendant, Proglio a fait passer une provision « pour risques » de 1,1 milliard d’euros pour le dossier américain au premier semestre.
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-entreprise/constellation-energy-le-divorce-qui-pourrait-couter-cher-a-edf_239545.html
La crise économique associé à l’arrivée du gaz non conventionnel ont considérablement amoindri l’intérêt des Etats-Unis pour le nucléaire. L’exploitation de nouveaux gisements de gaz ont fait baissé les cours, rendant ce dernier nettement plus attractif. Les investisseurs potentiels risquent alors de délaisser le nucléaire qui nécessite des coûts fixes très importants.
Déjà en juillet, Thomas Piquemal, le directeur financier d’EDF expliquait que « les prix du gaz et de l’électricité sont bas (aux Etats-Unis) et ce niveau de prix fait courir un risque sur la rentabilité des projets ». A tel point que Constellation Energy envisagerait d’abandonner les projets nucléaires qu’il menait en commun avec EDF.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20100730.REU5526/edf-cede-ses-reseaux-britanniques-patit-d-une-provision-aux-usa.html
Une autre façon pour les entreprises publiques de nous coûter de l’argent : l’incompétence de leurs énarques de dirigeants, qui n’ont jamais appris à gagner de l’argent, juste à administrer.
En effet Dadounet, plutôt que d’accuser petits fonctionnaires, syndicalistes, et autres révolutionnaires de gauches, il serait intéressant et judicieux de critiquer ces énarques et autres capitaines d’industries totalement à côté de la plaque ainsi que ces pelotons de hauts cadres qui ont fait les meilleures écoles de commerce soit disant et qui dans ce cas là se sont fait berner par une législation et un contrat nord américain.
On nous rabâche sans cesse les oreilles avec le cout des grèves et tutti quanti… par contre la presse standard est assez silencieuse sur les erreurs de gestions de nos capitaines d’industries…
Au fait ce proglio c’est pas le gars qui était PDG de 2 sociétés du CAC 40. Et qui expliquait pour sa défense qu’il était supérieurement intelligent et qu’il s’occuperait de toutes les sociétés à temps plein et qu’il n’y aurait aucunes conséquence jamais au grand jamais.
Après dans les journaux le discours des économistes et autres idiots libéraux à largement été dans son sens en expliquant que la plèbe moyenne n’était pas à même de comprendre la haute valeur ajouté d’un génie comme celui là puis la même presse à rapidement évolué sur le coup des retraites le cout des grèves, la chienlit des fonctionnaires et syndicalistes qui ruine la nation….
Je ne suis ni syndicaliste ni fonctionnaire ni révolutionnaire de gauche, mais quand je vois ce genre de gabegie par incompétence et manque de travail et de sérieux, je commence sérieusement à penser que ce sont les fameux syndicalistes qui sont dans le vrai, et que les enfants gâtés ne sont pas forcément ceux qui sont pointés du doigt à longueur de presse et de blog
Louis, on a réussi à vous faire croire que les économistes de cour sont libéraux.
Ils le sont par rapport à des marxistes, bien sûr, mais seulement à moitié : ils sont inféodés au pouvoir, ils n’ont accès à la télé que dans la mesure où ils défendent la politique d’immigration, la baisse des contraintes pour les entreprises, surtout celles qui servent de pantouflage à des énarques ; mais ils ne le sont pas en ce qu’ils ne remettent pas en cause l’intervention étatique dans l’économie.
Or c’est celle-ci qui est si nuisible.
D’autre part, les syndicalistes ne s’opposent pas à l’état non plus, ils vivent d’une rente de situation aux dépens des entreprises, donc de leurs acheteurs et de leurs employés, donc, finalement de tout le monde, d’où la ruine des pays socialistes. Ils n’améliorent la vie (et uniquement en permettant de moins travailler) que des gens titulaires d’un CDI, ou mieux, fonctionnaires, mais en ruinant les CDD, les indépendants et en créant du chômage et de la délocalisation.
Et les grèves ruinent effectivement la France.
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En fait, ce sont les deux branches d’une même pince qui comprime les revenus de la classe moyenne utile, celle qui ne trouve de travail que si une entreprise privée l’embauche pour un travail précis permettant à cette société de vendre, et donc de faciliter la vie de l’acheteur.
L’enrichissement est le résultat du capitalisme, le chômage et l’immigration ceux du socialisme.
Lisez Frédéric Bastiat, vous avez besoin de formation économique, et lui est simple pour commencer. http://bastiat.org/fr/
Pour rappel, les aventures d’EDF en Amérique Latine qui s’achevèrent en 2007
http://www.lefigaro.fr/societes-francaises/2007/12/29/04010-20071229ARTFIG00453-edf-tourne-la-page-de-l-amerique-latine-.php
Après avoir réalisé 865 millions d
On pourrait finir sur les pertes d’EDF sur les marchés financiers quand EDF jouait en bourse avec l
En fait, ce sont les deux branches d’une même pince qui comprime les revenus de la classe moyenne utile.
OK d’accord disons cela,
mais alors pourquoi vous acharnez vous contre les salariés du secteur privé qui harcelé et humiliés par une des mâchoire de la pince en viennent à se suicider.
alors que ce sont eux aussi la vraie classe moyenne besogneuse et productive, créatrice de richesse.
Et je dis bien du secteur privé même s’il travaillent dans une entreprise public.
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je ne comprends toujours pas votre discours sur les salariés qui se suicident.
A vous lire ce sont des enfants gâtés.
des salariés dont on a le droit de se moquer des salariés seraient incapable de supporter la pression du travail…
Ce genre de discours est particulièrement malsain, il est véhiculé par la grande bourgeoisie pour opposer les salariés entre eux, les diviser et ainsi mieux les exploiter.
Si vous avez des actions France Télécom et qu’elles baissent, tant pis, être rentier est moins moral qu’être travailleur.
et puis il fallait réagir quand un ancien pdg à acheté orange pour 40 Milliards d’euros en cash au plus haut de la bulle !!!
Un connerie bien plus grande que Constellation Energy avec EDF.
40 Milliards d’euros en cash
40 Milliards d’euros en cash
relisez bien cette somme plusieurs fois et essayer de réaliser combien ça fait….
Combien de pièce d’1 euros ça ferait en poids ou en volume.
Alors que l’achat d’une marque est quelque chose de complètement immatériel.
Et vous voulez me faire croire que ce sont les syndicats et salariés …
Il me semble que vous manquez sérieusement de discernement.
J’irais peut être lire ce Frédéric Bastiat.
Quand à vous essayer de revenir sur le plancher… 40 milliards d’euros pour un nom de couleur, on accuse pas les syndicalistes après.
en tout cas pas de participer à la ruine.
d’ailleurs quand France Télécom à été assez stupide pour acheter cette couleur, les actionnaires auraient du jeter l’équipe dirigeante en bloc c’était déjà le signe que la folie était au c
Ce ne sont pas les salariés qui se suicident, les enfants gâtés, mais bien ceux qui continuent leur vie peinard de fonctionnaire protégé sans vouloir admettre qu’ils le font aux dépens des travailleurs.
Disons qu’un passage par la case chômage-RSA leur ferait le plus grand bien.
Par contre, la racaille qui a foutu en l’air des milliards (pas 40, l’entreprise valait bien quelque chose) pour Orange, comme pour les investissements stupides d’EdF, l’écartèlement en place publique après avoir bu du plomb fondu en mettrait dans la cervelle à leurs successeurs.
Je me rappelle un article (mais pas d’où il venait) expliquant chiffres à l’appui que les entreprises familiales étaient mieux gérées que les grands groupes, car les dirigeants investissaient leur propre argent – à condition de ne pas gâtouiller comme Moulinex.
Mais s’il y a quelques dizaines de racaille financière qui mettent la France en coupe réglée (comme du temps d’Eltsine en URSS – et nous sommes toujours en attente d’un Poutine qui laisserait le pays se développer), il y a des millions de gens qui ne veulent rien savoir de la réalité économique et s’accrochent à un état, une bureaucratie, des impôts, des grèves qui ruinent le pays.
Je n’ai pas d’actions, n’ayant aucune confiance dans la racaille financière.
Ce ne sont pas les salariés qui se suicident, les enfants gâtés, mais bien ceux qui continuent leur vie peinard de fonctionnaire protégé sans vouloir admettre qu’ils le font aux dépens des travailleurs.
Disons qu’un passage par la case chômage-RSA leur ferait le plus grand bien.
Je préfère infiniment ce discours.
Le simple fait que l’état intervienne dans l’économie est une ruine.
Il vole des gens qui dépenseraient mieux leur propre argent, il fait proliférer des intermédiaires inutiles, il permet à la racaille de se planquer, il pourrit la monnaie, il empêche les investisseurs de prévoir, donc d’investir à bon escient…
C’est pourquoi les pays développés les plus riches sont les moins socialistes.
Il n’y a pas d’opposition entre capitalistes et employés, ceci est le mensonge qui nous fait le plus de mal, il y a une opposition entre gens utiles et inutiles.
Constellation Energy se retire d’un projet nucléaire avec EDF
Constellation Energy Group s’est retiré d’un accord portant sur la construction d’un réacteur nucléaire dans l’Etat du Maryland avec EDF, ce qui devrait sans doute mettre un terme à ce projet de plusieurs milliards de dollars.
Constellation a en effet déclaré vendredi avoir dit au département américain de l’Energie que les modalités et les conditions de la procédure de garantie du prêt pour le projet Calvert Cliffs 3 étaient impossibles à respecter.
Constellation a notamment dit au département de l’Energie que le coût de la garantie du prêt calculé par le Bureau de gestion et du budget (OMB) constituait un poids qui n’était pas raisonnable et allait occasionner des risques et des coûts inacceptables.
« Il y a un problème important dans le calcul du coût du crédit de l’OMB », a déclaré l’entreprise américaine.
« Après plusieurs tentatives infructueuses pour résoudre le problème avec le département de l’Energie et l’OMB, nous ne voyons plus comment trouver dans les temps un ensemble de modalités et de conditions que l’on puisse appliquer. »
EDF s’est dit choqué par la décision de Constellation.
« Constellation sait que nous étions sur le point d’aboutir dans les discussions avec le département de l’Energie et que nous progressions de manière significative », a déclaré samedi EDF dans un communiqué.
« Constellation s’est retiré de Calvert Cliffs 3 malgré nos efforts répétés visant à réduire considérablement leur exposition et leur risque au projet. »
Une porte-parole d’EDF a en outre dit qu’il était « incertain à ce stade de savoir si le projet allait avancer compte tenu de la décision surprenante de Constellation. »
Constellation, qui n’a pas précisé quel était le montant attendu du coût du réacteur nucléaire, a indiqué au département de l’Energie qu’il ne s’agissait que de son propre avis et qu’EDF était au courant de sa position.
Le groupe américain a déclaré qu’UniStar, le partenariat formé par Constellation et EDF pour développer des réacteurs de nouvelle génération aux Etats-Unis, n’avait pas retiré sa demande de garantie fédérale pour un prêt et qu’aucune décision n’avait été prise concernant l’avenir de Calvert Cliffs 3.
La décision de Constellation constitue un nouveau point de discorde avec EDF, les deux groupes étant déjà en conflit, des sources proches du dossier ayant dit à Reuters en septembre que le groupe américain envisageait d’exercer l’option d’un précédent accord l’autorisant à vendre à l’électricien français jusqu’à deux milliards de dollars d’actifs.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/reuters_00288077-constellation-energy-se-retire-d-un-projet-nucleaire-avec-edf.htm
Constellation propose à EDF de lui céder sa part dans Unistar
Le groupe énergétique américain Constellation a proposé, vendredi 15 octobre, à son partenaire français EDF de lui céder sa part de 50 % dans leur coentreprise nucléaire Unistar, pour 117 millions de dollars. « Nous proposons un transfert de notre part dans Unistar à EDF à un prix bien en dessous de sa valeur de marché afin de permettre au projet de centrale nucléaire de Calvert Cliffs, dans le Maryland, d’aller de l’avant », écrit le vice-président du conseil d’administration de Constellation à son homologue chez EDF, Thomas Piquemal.
Constellation « souhaite seulement le remboursement des 117 millions de dollars liés à sa participation dans le développement et la conception de l’EPR américain à ce jour », détaille-t-il. « Cela ne représente qu’une faible portion des 817 millions de dollars investis par EDF et Constellation pour construire la centrale », fait-il valoir.
Constellation avait annoncé le week-end dernier qu’il mettait fin à ses démarches visant à obtenir auprès du département américain de l’énergie une garantie de prêt pour la construction du réacteur nucléaire de Calvert Cliffs. EDF avait alors proposé mercredi à Constellation Energy de lui racheter sa part dans Unistar afin de sauver le projet de Calvert Cliffs et, plus généralement, leur alliance.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/10/15/constellation-propose-a-edf-de-lui-ceder-sa-part-dans-unistar_1426964_3234.html