Alors que Christine Lagarde s’époumonne actuellement pour tenter de nous faire croire que la France est sur la pente ascendante de la croissance, l’Allemagne affiche une vigoureuse santé, laquelle a même surpris les spécialistes.
Une situation qui n’aura toutefois pas suffi à redresser la barre à la Bourse de Francfort, les marchés demeurant inquiets de la faiblesse de la reprise américaine.
Vendredi, la ministre de l’Economie – Christine Lagarde – a annoncé que l’économie française a enregistré une croissance de 0,6% au deuxième trimestre. Fécilitons au passage les statisticiens qui ont permis d’obtenir – de justesse – ce chiffre positif …
Mais l’Allemagne, quant à elle fait, beaucoup mieux, affichant une croissance pour le deuxième trimestre en hausse de 2,2%. Un montant record qui n’avait plus été observé depuis la réunification … certes obtenu au « prix » de l’augmentation du nombre d’emplois précaires, ne l’oublions pas. S’agissant du premier trimestre, le taux a été révisé à la hausse, à 0,5%, le précédent chiffre faisant état d’un timide + 0,2%.
En glissement annuel, la croissance entre avril et juin s’affiche à 4,1%.
La méthode miracle ? les exportations et une consommation publique et privée conséquente.
Sources : AFP, Reuters
Sans doute un effet collatéral de la croissance allemande à moins que cela soit l’approche des élections, le SPD va retarder de 3 ans le mise en oeuvre de sa réforme des retraites qui prévoyait le passage progressif à la retraite à 67 ans d’ici 2030.
Le SPD maintient fondamentalement la retraite à 67 ans, mais il veut en différer la mise en
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