Le pétrole semble faire fi de la crise … et beaucoup moins des spéculations ?
Porté – nous dit-on pas – par des vents favorables issus de la publication de bons indicateurs de l’autre côté de l’Atlantique, le prix du baril poursuit ainsi sa progression entamée depuis quelques jours.
Le cours du brut a ainsi légèrement progressé mardi à New York, le baril dépassant mêmele seuil des 87 dollars, valeur qui n’avait plus été observée depuis octobre 2008.
Au final, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en mai a terminé à 86,84 dollars, en hausse de 22 cents par rapport à la clôture de lundi.
Le cours a suivi un large mouvement de balancier durant la journée, oscillant une grande partie de la journée autour de l’équilibre, atteignant même 87,09 dollars.
Le marché pétrolier a semble-t-il une nouvelle fois profité des chiffres mensuels de l’emploi aux Etats-Unis, diffusés vendredi. Ces derniers ont en effet établi que 162.000 emplois avaient été créés dans le pays en mars dernier, une première depuis trois ans.
Certains analystes estiment toutefois qu’une telle tendance n’est pas synonyme d’un rebond rapide de la demande mais qu’il s’agit plutôt d’une stabilisation des cours.
Allant dans ce sens, l’administration américaine d’information sur l’
Spéculation toujours ,
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